Villeurbanne

Villeurbanne

45° 46′ 00″ N 4° 52′ 49″ E / 45.766667, 4.880278

Villeurbanne
Le répit de l'agriculteur, dû à Jules Pendariès, rue Henri-Barbusse dans le quartier Gratte-Ciel.
Le répit de l'agriculteur, dû à Jules Pendariès, rue Henri-Barbusse dans le quartier Gratte-Ciel.
Armoiries
Détail
logo
Détail
Administration
Pays France
Région Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Canton Villeurbanne-Centre
Villeurbanne-Nord
Villeurbanne-Sud
Code commune 69266
Code postal 69100
Maire
Mandat en cours
Jean-Paul Bret
2008 - 2014
Intercommunalité Grand Lyon
Site web http://www.villeurbanne.fr/
Démographie
Population 141 106 hab. (2008[1])
Densité 9 718 hab./km²
Gentilé Villeurbannaises, Villeurbannais
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 00″ Nord
       4° 52′ 49″ Est
/ 45.766667, 4.880278
Altitudes mini. 165 m — maxi. 189 m
Superficie 14,52 km2

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Voir la carte administrative

Villeurbanne est une commune française, limitrophe de Lyon, située dans le département du Rhône et la région Rhône-Alpes.

Les habitants de Villeurbanne sont appelés les Villeurbannais[2].

Sommaire

Géographie

Situation

Villeurbanne est une ville de France située en banlieue de Lyon et qui forme aujourd'hui l'intra-muros avec cette dernière.

Elle est desservie par le réseau de transports en commun lyonnais et notamment, depuis 1978 par la ligne A du métro et la ligne B du métro, depuis 2001 par le tramway Tramway de Lyon Ligne T1, et depuis 2006 par le tramway Tramway de Lyon Ligne T3.

Communes limitrophes

La commune est délimitée à l'ouest par le parc de la Tête d'Or (6e arrondissement de Lyon), au sud par le 3e arrondissement de Lyon, à l'est par Bron et Vaulx-en-Velin et au nord par le Rhône.

Hydrographie

Géologie et relief

Climat

Voies de communication et transports

Voies routières

  • L'autoroute A42 relie Villeurbanne à Pont d'Ain et à l'autoroute A40 en direction de Bourg-en-Bresse ou Genêve. Elle est ainsi reliée au boulevard Laurent Bonnevay, périphérique Est de Lyon, qui longe Villeurbanne par l'Est et le Nord.
  • À 3 km à l'Est, elle rejoint l'A46 et la N346, qui constituent le contournement Est de Lyon, reliant l'A7 (direction Orange) à Chasse-sur-Rhône au Sud de Lyon, à L'A6 (direction paris) au niveau de Villefranche-sur-Saône au Nord de Lyon, desservant ainsi une grande partie de la banlieue Est-Lyonnaise.
  • Le périphérique de Lyon dessert de nombreux quartiers de Villeurbanne, longeant la ville au Nord et à l'Est, rejoignant l'A6 à L'Ouest de Lyon ainsi que l'A7 au Sud.
  • Les départementales D137 et D29 terminent leur course dans Villeurbanne.
  • Les principaux axes intra-muros sont, du Nord au Sud, le boulevard du 11 novembre 1918 et l'avenue Albert Einstein, l'avenue Roger-Salengro, le cours Émile-Zola, le cours Tolstoï, la rue Jean-Jaurès et la rue Léon-Blum, la route de Genas, et sont tous plus ou moins orientés Est-Ouest. L'axe Nord-Sud est principalement servi par le boulevard Laurent Bonnevay (périphérique), et secondairement par de multiples petites rues.

Pistes cyclables

Transport ferroviaire

L'ancienne gare de Villeurbanne derrière la ligne de tramway T3.

Aujourd'hui, aucune ligne de chemin de fer ne dessert la ville. L'ancienne ligne de l'Est-Lyonnais a été désaffectée puis réaménagée en ligne de tramway (T3 et RhôneExpress). Une des stations est aménagée dans l'ancienne gare ferroviaire et porte toujours le nom de "gare de Villeurbanne".
- Néanmoins, les lignes de tramway T1 et T3, la ligne de Trolleybus C3, et plusieurs lignes de bus relient les différents quartiers Villeurbannais à la gare Part-Dieu.
- La ligne de métro A relie la ville à la Gare de Lyon-Perrache.
- La ligne de métro B et la ligne de bus C11 relie Villeurbanne au stade de Gerland, et prochainement jusqu'à Oullins.
- La ligne de Trolleybus C3 relie la ville à la gare de Lyon Saint-Paul.

Transports en commun

Deux lignes du métro de Lyon desservent Villeurbanne. La ligne A relie Vaulx-en-Velin à l'est à la gare de Lyon-Perrache à l'ouest. Six stations sont situées sur le territoire communal de Villeurbanne. La ligne B relie la station Charpennes-Charles Hernu, située à la limite du 6e arrondissemnt de Lyon et de Villeurbanne, au 3e et au 7e arrondissements de Lyon. Elle dessert notamment la gare de Lyon Part-Dieu et ne compte sur le territoire de Villeurbanne que la station Charpennes-Charles Hernu.

- Le tramway T1 dessert le Nord de Villeurbanne sur 8 stations, dont 5 au sein du Campus de la Doua, domaine scientifique rattaché à l'université Claude Bernard Lyon 1. Il rejoint notamment la Gare Part-Dieu de Lyon.
- Le trolleybus C3 traverse Villeurbanne d'Ouest en Est au Sud de la ville, reliant la gare St Paul, dans le quartier du "Vieux-Lyon" , au Nord de Vaulx-en-Velin, et desservant 11 stations eu sein de la ville.
- Le tramway T3, reliant la gare Part-Dieu à la ville de Meyzieu, dessert 4 stations au sud de Villeurbanne.
Le tramway RhôneExpress, utilisant cette même ligne (ancienne ligne de chemin de fer de l'Est Lyonnais), relie la gare Part-Dieu à l'aéroport Lyon Saint-Exupéry en desservant la station "Vaulx-en-Velin La Soie" à la limite de Villeurbanne et Vaux-en-Velin, et assurant ainsi la correspondance entre l'aéroport et la ligne de métro A.
- Enfin, plus d'une dizaine de ligne de Bus du réseau TCL ainsi qu'une ligne du réseau départemental desservent les différents quartiers de la ville.

Transports aériens

Urbanisme

Morphologie urbaine

Quartiers

Le territoire de la commune comporte plusieurs quartiers historiques. Ils peuvent être regroupés en trois zones :

  • au nord du cours Émile-Zola, qui passe à travers toute la ville dans la direction est - ouest puis nord-ouest - sud-est, on trouve les quartiers Charpennes, Tonkin, Croix-Luizet, Buers, Cusset et le campus de La Doua ;
  • au sud du cours Émile-Zola, les quartiers Dedieu, Gratte-ciel, Perralière, Charmettes, Ferrandière, Maisons-Neuves et Grandclément ;
  • à l'est du Boulevard périphérique de Lyon (boulevard Laurent Bonnevay), les quartiers Saint-Jean (entre les canaux de Jonage et de Miribel), Laurent Bonnevay (au sud du canal de Jonage), Bel-Air, Cyprian et Les Brosses.

Afin de rationaliser son organisation administrative, la commune a eu tendance, à compter de 1997, à regrouper la gestion des quartiers : Charpennes - Tonkin ; Gratte-ciel - Dedieu - Charmettes ; Ferrandière - Maisons-Neuves ; Perralière - Grandclément ; Buers - Croix-Luizet ; Saint-Jean ; Cusset - Bonnevay ; Cyprian - Les Brosses (et Bel-air) [3] et à mettre en place des instances inter-quartiers[4] thématiques (Chemin de fer de l’est lyonnais ; Carré de soie ; Vélo ; Mémoires et patrimoine).

Parcs et espaces verts

Le parc du Centre situé au nord du quartier des Gratte-ciel.

Villeurbanne est située immédiatement à l'est du parc de la Tête d'Or, plus grand parc urbain de France avec une superficie de 117 hectares -- celui-ci appartient à la commune de Lyon depuis 1894 (avant cette date le parc était partagé entre les deux communes). Au Nord du campus de la Doua, sur les bords du Rhône, se trouve le parc de la Feyssine, d'une superficie de 40 hectares. Le principal autre espace vert est le parc de la Commune de Paris dans le quartier de Cusset.

Logement

Projets d'aménagements

Toponymie

Son nom vient du latin villa urbana, qui désignait une grosse ferme datant de l'époque romaine (env. -40) et située aux environs de l’actuelle Poste de la place Grandclément.

Histoire

Le fleuve Rhône constituant la frontière naturelle, Villeurbanne était intégrée au Dauphiné, acheté par le roi de France en 1349. (Villeurbanne rejoint le royaume de France en 1355, lorsque son suzerain le comte de Savoie échange les territoires qu'il possédait entre la vallée du Guiers et Lyon, contre la vallée du Faucigny).

À la Révolution, la commune de Villeurbanne se détache du mandement de Vaulx-en-Velin, avec Étienne Debourg comme premier maire. Essentiellement agricole, la commune gagne en importance avec l'établissement en 1837 de digues pour contenir le Rhône, dont les crues épisodiques recouvraient jusqu'alors une grande partie de la plaine. La ville fit d'abord partie du département de l'Isère, avant d'être rattachée à celui du Rhône en 1852[5]. Elle refuse cependant à cette époque son rattachement à la ville de Lyon, à l'encontre des autres faubourgs comme Vaise, la Guillotière ou la Croix-Rousse. Lyon s'est cependant approprié, en faisant passer une loi en 1894, la partie du Parc de la Tête d'or située sur la commune de Villeurbanne pour poursuivre sa politique d'absorption de sa périphérie.

Vue de l'aval de la centrale hydroélectrique de Cusset en 2009.

Vers la fin du XIXe siècle, Villeurbanne se développe rapidement comme banlieue ouvrière de Lyon (caractéristique qui se traduit encore aujourd'hui par un ancrage politique de gauche). À partir de 1899[6], Villeurbanne profite de la proximité de l'usine de Cusset sur le canal de Jonage, centrale hydroélectrique de basse chute. Villeurbanne participe ainsi à l'expansion lyonnaise, l'électricité dynamisant textiles, mécanique et chimie, en ajoutant ses activités propres. Durant la guerre de 14-18, entreprises lyonnaises et entreprises repliées se lancent dans le matériel radio (construit d'abord rue Racine), l'émission longue distance (à La Doua, à partir de fin 1914), et diverses sous-traitances innovantes comme l'électricité automobile. La main-d'œuvre manque, les traitements sont modestes mais les promotions rapides. Outre les ouvriers réformés ou rappelés du front, on embauche des femmes, puis des coloniaux ou des étrangers. Le quartier du Tonkin loge de nombreux ouvriers vietnamiens, requis pour les industries chimiques lyonnaises. Villeurbanne voit également s'installer une importante colonie italienne.

En 1927, Lazare Goujon lance la construction des premiers gratte-ciel. C'est à la fois un programme social et un programme urbanistique créant un nouveau centre, en vue d'accélérer la fusion des villages constitutifs.

En 1944, libérée par les FTP-MOI peu avant l'arrivée des troupes débarquées en Provence, Villeurbanne sera reprise par les Allemands et de nouveau libérée.

Sur le terrain d'une ancienne caserne commence en 1957 l'édification de l'INSA de Lyon, Il est rejoint plus tard par l'Université Claude Bernard, constituant ainsi à la Doua un campus d'une centaine d'hectares.

Depuis 1960, les usines et petites propriétés sont progressivement remplacées par des immeubles d'habitation, facilitant le logement des classes moyennes.

Héraldique

De gueules à une villa d’argent sur un fleuve (le Rhône), surmontée d’un dauphin (qui figurait dans les armes des princes du Dauphiné) et d’un lion affrontés d’or.

Le dauphin rappelle l’appartenance de la commune à l’Isère jusqu’en 1852, date de son attachement au Rhône. Le lion rappelle l’influence de Lyon sur la ville.

Administration, police, etc.

Réticent à l'égard de l'efficacité alléguée de la vidéosurveillance, le maire Jean-Paul Bret (PS, depuis 2001) a doublé les effectifs de la police municipale, qui sont passés de 18 en 2001 à 40 en 2010[7]. »

. Parallèlement, l'État a réduit les effectifs de la police nationale (200 agents dans sa commune en 2002, 152 en 2010)[7].

Municipalité

Plaque sur l'église Saint-Athanase, anciennement Saint-Julien de Cusset, commémorant l'élection du premier maire de Villeurbanne
Liste des maires successifs depuis 1944
Période Identité Étiquette Qualité
2001   Jean-Paul Bret PS  
1998 2001 Gilbert Chabroux PS  
1997 1998 Raymond Terracher PS  
1990 1997 Gilbert Chabroux PS  
1977 1990 Charles Hernu PS  
1954 1977 Étienne Gagnaire MDSF  
1947 1954 Lazare Goujon SFIO  
1944 1947 Georges Lévy PCF  

Urbanisme

Selon le recensement de 1999, 93 % des habitants de Villeurbanne vivent dans des immeubles collectifs.

Jumelages

Au 3 février 2010, Villeurbanne est jumelée avec :

Par ailleurs, Villeurbanne a signé des accords de coopération[8] avec les communes de Radom en Pologne en 2000, de Sfax en Tunisie en 2001, de la province de Ganzouzour au Burkina Faso et de la commune de Dire Dawa en Éthiopie en 2009.

Démographie

Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 1 617 1 654 1 834 2 136 2 826 2 998 3 677 4 252 5 395
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 5 339 5 850 6 663 7 474 9 033 11 176 14 715 17 940 21 714
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 29 220 33 890 42 526 56 110 63 775 82 038 81 322 82 399 81 769
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
Population 105 416 119 879 116 535 115 960 116 872 124 215 134 500 138 151 141 106
Notes, sources, ...
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes - Sources : Cassini-LDH de l’EHESS[9] et Insee[10]

La ville de Villeurbanne est la deuxième ville du département du Rhône, la quatrième ville de la région Rhône-Alpes, la 27e ville la plus peuplée de France, la deuxième aire urbaine de France. C'est aussi la plus grande ville française à n'être que chef-lieu de canton et à ne pas être une ville-centre.

Économie

La ville possède une antenne de la chambre de commerce et d’industrie de Lyon.

Selon le recensement de 1999, 19 % de la population travaille dans l'industrie, 6 % dans la construction et 74 % dans le secteur tertiaire.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

Le palais du Travail abritant le Théâtre national populaire, place Lazare-Goujon

Du fait de la destruction du château de la Ferrandière et du développement récent de la ville, le plus ancien monument de Villeurbanne est l’église Saint-Athanase.

Église Saint-Julien de Cusset/Saint-Athanase

(cf. galerie de photos). À l’origine, simple chapelle érigée peut-être vers l’an 800, par les mariniers du Rhône dont un bras navigable passait au pied de cette butte, cette ancienne église paroissiale du XVIe siècle fut longtemps connue sous le vocable de Saint-Julien de Cusset. On y rédigea des cahiers de doléance, on y tint les premières assemblées municipales. Appelée à présent église Saint-Athanase, elle est utilisée par les uniates (catholiques ukrainiens de rite byzantin). Elle abrite un patrimoine religieux ancien[précision nécessaire] (vierge en bois doré) et ukrainien (iconostase, icônes, etc.).

Centre-ville

Ensemble monumental construit à l’initiative du maire Lazare Goujon.

Article détaillé : Gratte-ciel (Villeurbanne).

Culture

À la fin des années 1980, une médiathèque, appelée Maison du livre, de l’image et du son, a été construite d'après des plans de Mario Botta.

Le Rize[11], équipement culturel et de recherche, a ouvert ses portes le 16 février 2008 au 23-25 rue Valentin-Haüy (quartier Grandclément). Lieu de débats, de rencontres et d'échanges, il réunit sur 2 660 m² les archives municipales, une médiathèque et des espaces d'actions culturelles et pédagogiques. Le Rize propose à tous les publics des clefs de lecture pour mieux comprendre la ville d'aujourd'hui et imaginer celle de demain.

Villeurbanne abrite l'Institut d'art contemporain de Villeurbanne, qui est le fonds régional d'art contemporain (FRAC) de la région Rhône-Alpes.

Villeurbanne est désormais doté d'un Centre métropolitain des arts urbains: Les Ateliers Frappaz. C'est cette structure qui, depuis 2002, co-organise avec les services culturels de Villeurbanne le festival Les Invites de Villeurbanne. À la mi-juin, ce festival gratuit et déambulatoire, mêlant musique et arts de la rue, attire en moyenne, 80 000 spectateurs selon les organisateurs.

Œuvre monumentale sur un gratte-ciel réalisée par l'artiste Guillaume Bottazzi.

Lieux de culte

  • culte évangélique
  • culte catholique : la ville comporte de nombreuses églises catholiques.
  • culte juif : la ville a la plus importante communauté juive de Rhône-Alpes.
  • culte musulman
    • la ville compte 14 lieux de cultes musulmans, mosquées et salles de prière. La ville inaugure une grande mosquée en 2007, la mosquée ottomane qui peut accueillir 900 fidèles et qui compte également une bibliothèque et une école de langue arabe pouvant recevoir au moins 250 élèves[12].
  • culte bouddhiste : il y a un temple rue Raspail à Gratte-ciel[13].
  • culte mormon : l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours compte deux paroisses, Lyon Villeurbanne et Lyon Gerland dans le même lieu situé rue Jean Bourgey.

Sport

La municipalité possède dix-neuf stades, treize salles de sports (dont trois de plus de mille cinq cents places), quatre boulodromes, trois piscines, cinq murs d’escalade et une dizaine de terrains de proximité. La ville compte plus de 200 clubs sportifs.

La ville de Villeurbanne héberge un club omnisports, l'ASVEL, dont la section basket évolue depuis longtemps en Pro A (17 titres de champion de France de basket). Elle héberge aussi le Villeurbanne Handball qui est en D2M (2e division).

Le Lyon-Villeurbanne Rhône XIII (Les Lions, jouant au Stade Georges-Lyvet) est un club de rugby à XIII évoluant en deuxième division (l'Élite 2).

Le C.A.M.N. de Villeurbanne est un club d'athlétisme qui fut créé par des sportifs, dont le Président Thibaudier en a été le responsable au XXe siècle. On y retrouva de nombreux champions du lyonnais de sprint et demi-fond, et deux championnes d'Europe de 100 mètres. Dans les créateurs, Jean Chaintreuil, ancien du L.O.U., reste un des plus connus, à la fois sportif, responsable et entraîneur. Louis Challandon fût entraîneur dans les années 60, et c'est l'entraîneur Pelletier qui a généré les derniers accords entre clubs comme l'ASVEL Athlétisme, ou Miribel-Ain.

Au mois de mars chaque année, la ville organise les foulées de Villeurbanne, une course de 10 km et une autre de 5 km à travers la ville.

Festivités et évènements

  • Mars : Reflets du Cinéma ibérique et latino-américain, au Zola, cinéma d'art et d'essai d'architecture 1930
    Le cinéma Le Zola
  • Mars : les foulées de Villeurbanne, course pédestre
  • Avril : Fête du livre jeunesse
  • Mai : les bons plants de Villeurbanne, journées de découverte de l'environnement local
  • Mai : Les 24 heures de l'INSA de Lyon, week-end de festivités diverses sur tout le campus de la Doua
  • Mi-juin : Festival des Invites de Villeurbanne
  • Mi-novembre : Festival du film court de Villeurbanne

Enseignement Supérieur

Plan public du campus de la Doua.

Villeurbanne abrite le campus de la Doua, qui est un des plus importants sites universitaires de l'agglomération lyonnaise. S'y trouvent notamment :

Hors du campus de la Doua :

  • l’École Nationale de Musique (ENM)

Personnalités célèbres

Félix Baudy un ouvrier maçon creusois qui a travaillé à Villeurbanne au début du XX siècle et qui a été fusillé pour l'exemple en 1915. Une rue porte son nom.

Tony Parker Joueur international de Basket-ball, actionnaire du groupe ASVEL.

Personnalités nées à Villeurbanne

Personnalités mortes à Villeurbanne

Galerie de photos

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

Notes et références

  1. Populations légales 2008 de la commune : Villeurbanne sur le site de l'Insee
  2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
  3. http://www.mairie-villeurbanne.fr/TTMEL_dans_mon_quartier.comm
  4. http://www.mairie-villeurbanne.fr/je_participe_quartier_interquartiers.html
  5. Décret du 24 mars 1852, Bulletin des lois premier semestre 1852, p. 850
  6. Usine sans fin, « Le canal de Jonage ». Consulté le 12 octobre 2010
  7. a et b "Vidéosurveillance imposée" : le maire de Villeurbanne voit rouge, Lyon Capitale, 3 mars 2010
  8. a, b, c, d, e, f et g Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures sur Ministère des affaires étrangères
  9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 3 février 2010
  10. Recensement de la population au 1er janvier 2007 sur INSEE. Consulté le 3 février 2010
  11. site internet du Rize
  12. Site du Figaro
  13. Bouddhisme - Lyon Web sur lyonweb.net

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Villeurbanne de Wikipédia en français (auteurs)

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