Le Scaphandre Et Le Papillon

Le Scaphandre Et Le Papillon

Le Scaphandre et le Papillon

Le Scaphandre et le Papillon est un ouvrage autobiographique de Jean-Dominique Bauby paru en 1997.

Il y raconte sa vie avant son attaque cérébrale et son expérience du locked-in syndrome qui l'a enfermé dans un corps ne répondant plus à son esprit, d' la métaphore du titre.

En mai 2007, une adaptation au cinéma, également titrée Le Scaphandre et le Papillon, réalisée par Julian Schnabel, est sortie en salles.

Résumé

  • Prologue : lauteur nous raconte ses premiers moments dans son L.I.S. Il nous décrit les souvenirs de ses proches. Il nous parle de sa paralysie en nous disant que seule sa paupière gauche peut bouger. Il nous raconte aussi le début dune journée type dans la chambre 119 à lHôpital maritime de Berck. Lauteur nous fait comprendre que seul son esprit peut « bouger » car son corps est totalement paralysé. Il raconte le moment linfirmière vient le réveiller : il est 7 heures du matin.
  • Le fauteuil : Il nous confie quil navait jamais autant vu autant de blouses blanches et il ne comprend pas encore le lien entre lui et un fauteuil roulant. Plus tard dans le chapitre il comprend quil est en fait un « handicapé ». Il demande ensuite à une « blouse blanche » de lui allumer la télé pour regarder Des Chiffres et des Lettres.
  • La prière : il nous dit quà Berck ils ne sont que 2 personnes ayant un L.I.S. J.D peut pivoter la tête. Il espère pouvoir récupérer une alimentation plus normale pour manger sans une sonde gastrique et pense quà long terme il pourra reparler. Il raconte que les parties de son corps sont dédiées à toutes sortes de culte (l'œil droit à un marabout camerounais par exemple).
  • Le bain : A 8h30 la kiné Brigitte vient faire bouger ses bras et ses jambes gagnés par lankylose. Il a perdu 30kg en 20 semaines. Il peut désormais faire pivoter sa tête à 90°.

La séance de kiné se termine par un massage facial. Il prend un bain par semaine. A 10h30 il doit se diriger vers la salle de rééducation.

  • Lalphabet : Son alphabet est E S A R I N T U L O M D P C F B V H G J Q Z Y X K W, ce qui est en fait l'ordre des lettres de la plus courante à la moins courante en français. On lui lit lalphabet et lorsquil entend la lettre il cligne de lœil gauche.
  • Limpératrice : Il nous informe que limpératrice Eugénie, femme de Napoléon III, était la marraine de létablissement. Et il nous parle de la galerie de lHôpital Berck. Il y a eu une visite impériale le 4 mai 1864. Lauteur simagine aux cotés dEugénie. Un jour il voit un reflet quil trouve moche : bouche tordue, nez accidenté, cheveux en bataille, et ensuite il comprend que cet homme cest en fait lui. Il se rend compte quil est handicapé mais aussi moche.
  • Cinecita : cest en fait une région imaginaire, inventée par lauteur, de lhôpital maritime de Berck. Berck se situe dans le Pas de Calais. Lhôpital a été créé sous le second empire. J.D. est dans le pavillon Sorel. Il découvre un coin de lhôpital lon peut voir un phare, lauteur nomme ce coin Cinecita.
  • Les touristes : J.D. nous dit que lhôpital a abandonné ses fonctions pédiatriques pour soccuper des misères de lâge. Il y a vingt comateux dans lhôpital, des vieillards en déshérence et on y trouve quelques obèses. Les touristes sont ceux qui ne restent pas longtemps dans lhôpital, qui viennent juste pour réparer leurs membres brisés, comme les sportifs, les accidentés de la route, etc. Pour lui la salle de kiné est le meilleur poste dobservation des patients qui suivent une rééducation, il nous décrit certaines de ces personnes. Et toutes les personnes détournent leur regard lorsque J.D. les regarde.
  • Le saucisson : Ses essais alimentaires ne sont pas des réussites car un peu de yaourt sest égaré dans ses voies respiratoires. Sa seule façon de manger est une sonde reliée à lestomac qui lui donne à « manger » une substance brunâtre pour son apport en calories journalier. Il pense que lui il cultive lart des souvenirs. Ensuite il nous raconte comment il se remémore des souvenirs en se servant dune image : en faisant la cuisine (« si je fais la cuisine, cest toujours réussi », « selon mon humeur je moffre une douzaine descargots », etc.). Le saucisson est un souvenir qui est ancré dans sa mémoire. La femme qui lui vendait les saucissons a aussi épousé son grand-père.
  • Lange gardien : La femme qui a conçu lalphabet qui permet à J.D. de communiquer est Sandrine, lorthophoniste. Il dit que seules Sandrine et une psychologue arrivent à pratiquer son alphabet et que même si ses amis lont appris, ils ne le pratiquent pas. Il raconte que quelquun qui lui rendait visite lui a éteint la télé alors quil regardait le match de foot Bordeaux-Munich. Il était rédacteur en chef du journal féminin ELLE. Au téléphone, sa fille Céleste (9 ans dans 5 mois) lui raconte des ballades à dos de poney, son père traverse sa 93ème année (cest-à-dire quil a 92 ans).
  • La photographie : la dernière fois quil a vu son père cest la semaine avant laccident, il le rasait. Dans ce début de chapitre il décrit son père. J.D. était un cancre. Son père lui téléphone de temps à autre. La photographie est une photo dun mini-golf ou il était allé avec ses parents saérer, dans une bourgade venteuse et pas très gaie pendant un week-end de printemps. Au dos il était écrit Berck-sur-Mer, avril 1963.
  • Une autre coïncidence : Lauteur sidentifie à Noirtier de Villefort, personnage du Comte de Monte-Cristo, car ce personnage est sur une chaise à roulettes et doit cligner 1 fois de lœil pour dire oui et 2 fois pour dire non (en fait cest le premier L.I.S apparu en littérature). Il aurait voulu écrire une transposition moderne de ce livre mais Monte-Cristo serait une femme. Certains soirs il a limpression que « bon papa Noirtier » vient patrouiller dans les couloirs.
  • Le rêve : Il se souvient dun rêve dans lequel il neige à gros flocons, et son ami Bernard et lui essaient de regagner la France qui est paralysée par une grève générale. Ensuite ils ont rendez-vous avec un puissant homme daffaires italien qui a installé son QG dans le pilier dun viaduc loin des regards indiscrets. En entrant dans le QG il rencontre Radovan Karadzic, le leader serbe. Bernard lui dit que J.D a du mal à respirer et le leader serbe lui fait une trachéotomie. Pour boire dans ce repère, cest comme les masques à oxygènes qui tombent du plafond. Ils ont été drogués. Plus tard dans le rêve la police arrive et il séchappe de ce lieu. J.D aimerait bien senfuir mais dès quil en a la possibilité il est statufié, momifié et une seule porte le sépare de la liberté. Il a peur que ses amis tombent dans le même piège mais ne peut pas les prévenir, il est incapable de prononcer la moindre parole.
  • La voix off : Il raconte quun matin en se réveillant, un homme était en train de coudre sa paupière droite avec du fil et une aiguille. J.D. devra garder sa paupière cousue pendant six mois parce que la paupière ne jouait plus son rôle de store mobile et protecteur et qu'il risquait une ulcération de la cornée. Il simagine en train de créer une pièce de théâtre quil pourrait appeler Lœil ou Le scaphandre ou La Cocotte-Minute, dans laquelle un homme apprendrait à vivre avec un L.I.S. à cause dun grave accident cardio-vasculaire. Dans cette pièce il y aura une voix off reproduisant le monologue intérieur de cet homme. Il imagine déjà la dernière scène dans laquelle lhomme se réveille, marche et se dit « Merde, cétait un rêve. ».
  • Jour de chance : Au début un méchant sort sacharne sur la chambre 119 : depuis 1/2h lalarme de lappareil qui sert à réguler son alimentation sest mise à sonner dans le vide. En plus sa transpiration a décollé le sparadrap qui ferme sa paupière droite, et enfin lembout de sa sonde urinaire sest déboité et il est complètement inondé.
  • La trace du serpent : Ce chapitre parle du pèlerinage à Lourdes de J.D. et de Joséphine, son amie de lépoque, dans les années 1970. Pendant le voyage ils vont se disputer plusieurs fois. Plus tard dans un magasin J.D. achètera une Sainte Vierge quil voudrait offrir à Joséphine mais celle-ci va le quitter. En voulant lire son livre La Trace du Serpent il remarque que Joséphine lui a laissé un mot prenant au moins 2 chapitres de son livre ou il est écrit « Je taime, Ducon. Ne fais pas souffrir ta Joséphine. ».
  • Le rideau : J.D. reçoit la visite de ses enfants Théophile et Céleste qui viennent pour la Fête des Pères. Ils sinstallent au Beach Club. J.D. tombe dans une grande tristesse parce que son fils assis à 50 cm de lui le regarde sagement et lui, son père, ne peut pas passer ses mains dans les cheveux drus de son fils. Cest une fatalité quil décrit comme dégueulasse. Ils jouent au pendu, et cest Théophile qui remporte la partie. En même temps, Céleste fait des cabrioles et impressionne les spectateurs. Mais Théophile considère cela comme une honte.
  • Paris : Il trouve que son ancienne vie brûle encore en lui mais se réduit de plus en plus aux cendres du souvenir. Depuis quil est enfermé dans son scaphandre il a fait deux voyages éclairs à Paris en milieu hospitalier pour recueillir les avis de nombreux médecins. Il raconte que la première fois quil était de passage à Paris, il est passé par hasard en ambulance devant limmeuble ultra-moderne il exerçait son métier de rédacteur en chef de "ELLE", ce qui lui a procuré une émotion qui la submergé. La deuxième fois quil y est allé (4 mois plus tard) il était devenu indifférent devant cet immeuble. Sa visite de Paris ne lui a fait ni chaud ni froid. Il dit que rien ne manquait sauf lui : il était ailleurs.
  • Le légume : Le 8 juin ça fera 6 mois que sa nouvelle vie a commencé. Il nous récite les premières phrases de la lettre quil a décidé denvoyer à ses amis et relations (une soixantaine de personnes). Il nous déclare que des rumeurs ont circulé sur lui au Café de Flore une personne disait « Sais-tu que B. est transformé en légume ? » et lautre répondait « Evidemment, je suis au courant. Un légume, oui, un légume. ». Il poursuit de mois en mois une correspondance collective qui lui permet de toujours être en communion avec ceux quil aime. Il reçoit des lettres quil lit lui-même scrupuleusement et les garde toutes comme un trésor.
  • La promenade : J.D. aimerait sortir de lhôpital, car cela fait peut être des semaines ou des mois quil nest pas sorti pour se promener sur lesplanade qui longe de bord de mer. Pour lui la balade est un parcours du combattant, car il faut traverser 3 parkings dont les revêtements rugueux met ses fesses à rude épreuve, et des plaques dégout, des nids de poule et des voitures garées sur le trottoir sont autant d'obstacles pour cette promenade. Il décrit la mer avec ses parasols, ses planches à voile, etc. Il dit quà Berck le fauteuil roulant est aussi courant que la Ferrari à Monte-Carlo. Il raconte sa promenade avec Brice et Claude, il en connait une depuis 15 jours et lautre depuis 25 ans. Son univers est divisé entre les personnes qui lont connu avant et celles qui lont connu après. Ils rentrent dans le bar de la plage et dans celui-ci ils croisent Fangio, une curiosité de lhôpital qui ne peut pas sasseoir et est donc condamné à resté debout ou couché. J.D. commande des frites et dit quil ne se lasse jamais de leur odeur.
  • Vingt contre un : Le cheval sappelait Mithra-Grandchamp. Il raconte qu'il y a plus de 10 ans, Vincent et lui tenaient les rênes dun quotidien du matin maintenant disparu. Dans ce chapitre il raconte 2 histoires en même temps, celle de larrivée de Vincent à Berck pour lui rendre visite et une histoire ou Vincent et lui était allé voir une course de cheval. Ils allaient parier sur Mithra-Grandchamp mais le guichet des paris sest fermé avant quils puissent faire leur pari. A la fin cest ce cheval qui lemporta. Pour Vincent et lui ce fut une occasion manquée. Pour lui Mithra-Grandchamp,c' est les femmes quils nont pas su aimer, les chances quils nont pas saisi, les instants de bonheur quils ont laissé senvoler. Il nous dit quà propos ils sen sont tirés en remboursant toutes les mises.
  • La chasse au canard : Il nous dit que tous les bruits de lhôpital, de la plage et de la rue le dérangent beaucoup. J.D. se souvient dun voisin quil avait eu dans lhôpital et à qui on avait offert un canard en peluche muni dun système de détection sophistiqué. A chaque fois que lon entrait dans la chambre, il émettait une musique aigrelette et lancinante c'est-à-dire 80 fois par jour. Et loin de ces raffuts il peut écouter les papillons qui volent à travers sa tête. Il entend de mieux en mieux les papillons dans sa tête.
  • Dimanche : Il nous informe que étant jeune, en 4e, il aimait bien le grec. Il nous raconte un dimanche et nous dit que rien ne se passe ce jour-, ni kiné, ni orthophoniste, ni psy. Ces jours- cest le jour des pique-niques familiaux et du ball-trap ou de pêche à la crevette. Il nous dit quil faut bien allumer la télé et ne pas rater son coup car il risque de se passer 3h ou 4h avant que ne revienne quelqu'un pour changer la chaîne. Il préfère les documentaires sur lart, lhistoire et les animaux. Dans son univers les heures sétirent et les mois passent comme des éclairs, il nen revient pas dêtre en août.
  • Les demoiselles de Hong Kong : J.D. a adoré voyager. Chaque matin à laube il senvole pour Hong Kong se tient le séminaire des éditions internationales de son journal. Il compte les pays ou est édité son journal pour faire passer le temps (28 pays).
  • Le message : Dans ce chapitre il nous dit que sur une table il y a des gobelets vides et une machine à écrire avec des feuilles de papier rose engagée de travers. Il attend que quelquun inscrive un message dessus à son attention.
  • Au musée Grévin : Pendant une nuit J.D. a visité le musée Grévin en songe. Pour lui il avait beaucoup changé. Il nous décrit lentrée du musée et narrive pas à reconnaitre les premières statues de cire, qui sont en fait les aides-soignants ou infirmières qui se succèdent à son chevet du matin au soir. Il méprise certaines de ces personnes car il y en a qui lui ont tordu un bras ou laissé la télé allumé le soir. Chaque personnes de lhôpital à un surnom que seul J.D. connait. En fait il les aime tous bien, ses bourreaux. Dans la salle suivante du musée il a découvert sa chambre dhôpital maritime reproduite à lidentique. Assis sur un tabouret, Michel remplissait le cahier ou mes visiteurs mettent tous leur propos. Anne-Marie arrange un bouquet de quarante roses. Bernard tient le Journal dun attaché dambassade de Paul Morand. Florence épingle les dessins denfants et Patrick, adossé à un mur, semble perdu dans ses pensées. J.D. a voulu continuait sa visite mais un gardien la interpellé. J.D. clignait des yeux et au réveil une vraie infirmière se penchait sur lui et dit : « Votre cachet pour dormir, je vous le donne maintenant ou dans une heure ? ».
  • Le fanfaron : Dans ce chapitre J.D. se souvient dun camarade de classe mythomane, Olivier. Il se prenait de en temps pour un ami de Johnny Halliday, ou bien il était allé à Londres pour voir le nouveau James Bond à moins quon lui ait prêté la nouvelle Honda. Olivier exerce dans la pub son inépuisable talent de doreur de pilule. De temps en temps il leur sortait de grosses rodomontades ou des salades. A la fin de ce chapitre J.D. simagine trois destins de substitution : pilote de Formule 1, soldat et coureur cycliste. Il envie en fait son ami Olivier et sa maîtrise dans lart de se raconter des histoires.
  • « A Day in the life »: J.D. décide de nous parler du Vendredi 8/12/1995, ce sinistre souvenir : cétait la grève, il entamait avec Florence se nouvelle journée, aujourdhui il devait aller essayer un nouveau modèle dune firme automobile. Tout au long de son voyage en voiture il écoutait les Beatles (« A Day in the life »). Arrivé à son travail il découvre un message demandant de téléphoner à Simone V., ancienne ministre de la santé, elle nétait pas contente de sa photo dans le dernier numéro. Il repart en voiture et après 1h30 de route il arrive devant son ancienne maison, il avait vécu pendant 10 ans. Théophile lattendait à lentrée. Quand Théophile fut monté à bord, ils se partirent au théâtre. Sa vue commençait à se troubler et ses idées sembrouillaient. Il se rangea donc sur le côté au 1er carrefour. Il saffala sur le siège arrière et demanda à Théophile daller chercher Diane, sa belle-sœur. Elle était infirmière. Arrivée sur place, elle lexamina et décida de lemmener à la clinique la plus proche. Il fut accueilli par tout un tas de médecins. Il eut juste le temps de se demander était Théophile puis il sombra dans le coma.
  • La rentrée : Lété tire à sa fin. J.D. na que des échos de la rentrée littéraire, rentrée des classes, rentrée parisienne. Claude relit les textes quils ont écrits ensemble depuis deux mois. Il se demande si dans le cosmos il y a une clé qui peut déverrouiller son scaphandre, une ligne de métro sans terminus, une monnaie assez forte pour racheter sa liberté ? « Il faut chercher autre part. Jy vais. »

Références

  • Robert Laffont (ISBN 978-2-221-08172-3)
  • Pocket (édition de poche) (ISBN 978-2-266-08059-0)

Voir aussi

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