- Kakariki a front rouge
-
Kakariki à front rouge
Cyanoramphus
novaezelandiaePerruche de Sparrman ou
Kakariki à front rouge
(Cyanoramphus novaezelandiae)Classification classique Règne Animalia Embranchement Chordata Classe Aves Ordre Psittaciformes Famille Psittacidae Sous-famille Psittacinae Genre Cyanoramphus Nom binominal Cyanoramphus novaezelandiae
(Sparrman, 1787)Statut de conservation IUCN :
Statut CITES : Annexe II ,
Révision du 01/07/75Retrouvez ce taxon sur Wikispecies
D'autres documents multimédia
sont disponibles sur CommonsParcourez la biologie sur Wikipédia : Le Kakariki à front rouge ou Perruche de Sparrman (Cyanoramphus novaezelandiae) est l'espèce la plus commune du genre. Le nom de Sparrman commémore le descripteur de l'espèce, le naturaliste suédois Anders Sparrman (1748-1820).
Sommaire
Sous-espèces
Le Kakariki à front rouge comporte six sous-espèces (dont deux éteintes)[1],[2],[3] :
- Cyanoramphus novaezelandiae chathamensis Oliver 1930 des îles Chatham, mesurant environ 28 cm et présentant la tête vert émeraude brillant et l'abdomen un peu plus jaune que la forme nominale ;
- Cyanoramphus novaezelandiae cyanurus Salvadori, 1891 des îles Kermadec, sous-espèce au plumage un peu moins jaunâtre sur le dessous du corps que la sous-espèce type et mesurant environ 29 cm ;
- Cyanoramphus novaezelandiae erythrotis† (Wagler, 1832) de l'ïle Macquarie ;
- Cyanoramphus novaezelandiae hochstetteri (Reischek, 1889) des îles Antipodes ;
- Cyanoramphus novaezelandiae novaezelandiae (Sparrman, 1787) de Nouvelle-Zélande, sous-espèce mesurant environ 27 cm ;
- Cyanoramphus novaezelandiae subflavescens† Salvadori, 1891 de l'île de Lord Howe (disparu vers 1870).
D'autres taxons, auparavant considérés comme des sous-espèces, sont actuellement élevés au rang d'espèce : Kakariki de Nouvelle-Calédonie, Kakariki de Norfolk et Kakariki de Malherbe.
Description
Cet oiseau présente un plumage essentiellement vert. Le front est rouge. Cette coloration s'étend au-delà des yeux sous la forme d'une virgule. Les rémiges sont bleues.
Le mâle est un peu plus grand que la femelle et possède un bec plus massif.
Cette espèce pèse entre 43 et 113 g[4].
Répartition
Celle-ci est détaillée au paragraphe Sous-espèces.
Alimentation
Cet oiseau s'alimente fréquemment au sol de graines, d'invertébrés et parfois de cadavres[5].
Captivité
Cet oiseau est un Psittacinae très commun dans les élevages sous sa forme sauvage et ses mutations (panachée et lutino).
Notes et références
- ↑ Mario D. & Conzo G., (2004) Le grand livre des perroquets. de Vecchi, Paris.
- ↑ del Hoyo J., Elliott A. & Sargatal J. (1997) Handbook of the Birds of the World, Volume 4, Sandgrouse to Cuckoos. BirdLife International, Lynx Edicions, Barcelona.
- ↑ Campagne A. (2207) Kakariki. La famille des cyanoramphus. Revue Oiseaux Exotiques, 320 : 64-69.
- ↑ Todd F.S. & Genevois F. (2006) Oiseaux & Mammifères antarctiques et des îles de l'océan austral. Kameleo, Paris, 144 p.
- ↑ Todd F.S. & Genevois F. (2006) Oiseaux & Mammifères antarctiques et des îles de l'océan austral. Kameleo, Paris, 144 p.
Références externes
- Référence Alan P. Peterson : Cyanoramphus novaezelandiae dans Psittaciformes (en)
- Référence Catalogue of Life : Cyanoramphus novaezelandiae (Sparrman, 1787) (en)
- Référence Avibase : Cyanoramphus novaezelandiae (+répartition) (fr+en)
- Référence ITIS : Cyanoramphus novaezelandiae (Sparrman, 1787) (fr) ( (en))
- Référence Animal Diversity Web : Cyanoramphus novaezelandiae (en)
- Référence NCBI : Cyanoramphus novaezelandiae (en)
- Référence IUCN : espèce Cyanoramphus novaezelandiae (Sparrman, 1787) (en)
- Référence CITES : espèce Cyanoramphus novaezelandiae (Sparrman, 1787) (+répartition) (sur le site de l’UNEP-WCMC) (fr+en)
- Référence Fonds documentaire ARKive : Cyanoramphus novaezelandiae (en)
- Portail de l’ornithologie
Catégories : Statut IUCN Vulnérable | CITES annexe II | Oiseau (nom vernaculaire) | Psittacidae
Wikimedia Foundation. 2010.