- Institut de la maison royale de France
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Soucieux de son rôle de « chef de la maison de France » (point de vue des orléanistes) - ou de futur duc d'Orléans (point de vue légitimiste) -, Henri d'Orléans, roi de jure « Henri VII de France », (1933-), « comte de Clermont », alors fils de l'aîné des Orléans, décide de créer le Centre d'études et de réflexion sur le monde contemporain. Cette association qu'il préside possède des bureaux en province et organise des débats sur différents sujets d'actualités. En 1999, Henri d'Orléans (1908-1999), « comte de Paris », meurt dans sa demeure de Cherisy, près de Dreux. Dès cette date, le « comte de Clermont » prend les titres de « comte de Paris » et de « duc de France ». Il est nommé président d'honneur de la Fondation Saint-Louis.
Point de vue des orléanistes
Soucieux de rendre plus proche l'héritage historique qu'il représente auprès des Français, il remplace le CERMC par l'Institut de la Maison royale de France, l'IMRF dont il assume la présidence. Il s'entoure de différents conseillers spécialisés en agriculture, en industrie, énergie, audiovisuel (Stéphane Bern, Emmanuel Delhoume), stratégie et communication, juridique (Me Jean-Pierre Lussan), sur les institutions (...), d'un secrétaire général Richard Finell et d'un responsable des relations extérieures . L'IMRF organise des voyages en province et à l'étranger pour faire connaître les opinions de son président. L'IMRF a donc un but politique mais également un but humanitaire. En effet, l'épouse du prince Henri d'Orléans, Micaela, « comtesse de Paris », est présidente des œuvres humanitaires de l'IMRF.
Lien externe
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