Enfants de la guerre

Un enfant de la guerre est un enfant de mère de la nationalité d’un pays occupé et d’un père qui appartient à une armée étrangère (normalemant des soldats occupants, mais aussi des soldats stationnés à une base dans un autre pays). Un enfant de la guerre peut aussi appartenir à une famille en collaboration dans l'Europe occupée par les nazis avec les soldats de l’armée étrangère. Avoir un enfant d’un membre de l’armée étrangère était dans l’histoire et dans les civilisations souvent regardé comme traîtrise des valeurs sociaux. Normalement les mères sont par cela coupées de la famille, des amis et des liens sociaux. Le mot enfants de la guerre est normalement utilisé pour les enfants qui étaien nés pendant la Seconde Guerre mondiale et après.

Destin pour les mères et enfants

Discrimination

Les enfants d’un père de l’armée de l’Occupation où d’une famille collaborante étaient naturellement innocent de ce qui se passait pendant la guerre. Mais ces enfants ont eu l’impression d’être coupable des crimes qui étaient découvris par les investigations qui suivaient. Pendant leurs adolescence ils éprouvaient être coupable et plein d’honte.

Aide pour les mères et enfants

Depuis 2005 il y a en France et est même connu en Allemagne la societé „Amicale Nationale des Enfants de la Guerre“ (A.N.E.G.) Une autre organisation française qui cherche les membres de la famille des enfants français des soldats allemands se nomme "Coeurs Sans Frontières/Herzen ohne Grenzen". ^[1] Depuis l’an 2009 le gouvernement allemand donne sur demande la nationalité allemande pour les enfants de la guerre des soldats allemands de L’Occupation en France pendant la Seconde guerre Mondiale. ^[2]
[3] Concernant les soldats allemands il y a pour les demandes de recherche en paternité le Service Deutsche Dienststelle (WAST) à Berlin. ^[4]

D'autres pays concernés

Il y a «les enfants de la guerre» de la Seconde Guerre Mondiale aussi au Danemark ^[5], à la Norvège ^[6], dans les Pay-Bas ^[7]. Plus tard après la Seconde Guerre Mondiale suivaient les enfants des soldats alliés et plus tard les enfants des soldats américains en Asie.

Conventions des Nations unies

La conscience de ce qui peut passer de dur aux enfants et aux mères amenait en 1989 à l'adoption de la Convention internationale des droits de l'enfant. Depuis 2008 le Conseil de sécurité des Nations unies met au ban comme crime la violence sexuelle en cas de guerre . Cet évènement était nommé par l'hebdomadaire allemand Die Zeit un acte historique. ^[8]

Littérature

• (fr) Suzannne Lardreau: Orgueilleuse. Éditions Robert Laffont. Paris 2005
• (fr) Roberte Colonel: Où es-tu maman? Éditions Grand Caractère, 2005
• (fr) Jean-Paul Picaper et Ludwig Norz: Enfants Maudits. Édition des Syrtes, Paris 2004. ISBN 2-84545-088-5 (enfants de la guerre en France)
• (fr) Christophe Weber et Olivier Truc: Enfants de Boches.
• (de) Ebba D. Drolshagen, Nicht ungeschoren davonkommen. Das Schicksal der Frauen in den besetzten Ländern, die Wehrmachtssoldaten liebten, Hamburg (Hoffmann und Campe) 1998; ISBN 3-455-11262-5.
• (de) Ebba D. Drolshagen, Wehrmachtskinder. Auf der Suche nach dem nie gekannten Vater, München (Droemer) 2005; ISBN 3-426-27357-8.
• (en) Olga Rains, Lloyd Rains, Melynda Jarratt: Voices of the Left Behind (2006) ISBN 1-55002-585-6 (enfants de la guerre au Canda)
• (en) Maria Hohn: GIs and Fräuleins: The German-American Encounter in 1950s West Germany (2001) ISBN 0-8078-5375-5
• (de) Kare Olsen: Vater: Deutscher. - Das Schicksal der norwegischen Lebensbornkinder und ihrer Mütter von 1940 bis heute. Published 2002. (la source ultimative de Lebensborn en Norvège dans le texte norvégien: Krigens barn: De norske krigsbarna og deres mødre. Published: Aschehoug 1998. ISBN 82-03-29090-6)
• (fr) Eystein Eggen The Boy from Gimle, 1993 traduit en français.

Reférances