- Droit successoral de la femme dans le monde juif
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Droit juif des successions
Droits de succession des femmes restreint préxistants dans diverses civilisations
Tout comme dans le Code Napoléon de 1804 appliqué dans les pays européens[1] [2], la veuve ne benéficiait d'aucun droit en matière de succession de son conjoint. Ce droit était tirait sa préexistance sous l’empire romain, du fait que l’homme avait tous les droits sur sa famille. Même celui de vie et de mort sur sa femme et ses enfants, sans devoir rendre de comptes. En Angleterre, elle n’était toujours pas considérée comme citoyenne jusqu’en 1805, l’homme avait par exemple le droit de vendre sa femme.
Sources de droit juif en matière de droit successoral
La succession au début du Judaïsme
Les droits attachés à la succession
Les causes de la successibilité
Les héritiers à asaba parmi les descendants
Les héritiers à asaba parmi les frères
Les parts successorales
Les parts dévolues aux descendants
La part dévolue au père
La part dévolue à la mère
La part dévolue à la fille
La part dévolue à l’époux
La part dévolue à l’épouse
La part dévolue à la sœur
Les particularismes
Voir aussi
Articles connexes
- Droit successoral
- Droit musulman des successions
- Droit juif des successions
- Droit des successions en France
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