- Dialogues avec l'ange
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Dialogues avec l'ange Auteur Gitta Mallasz (recueilli par) Pays d'origine France Lieu de parution Paris Éditeur Aubier Montaigne Date de parution 1976 (1ère édition), 1990 (Édition intégrale) Nombre de pages 396 ISBN 978-2700728330 Dialogues avec l'ange est la transcription d'une expérience spirituelle vécue pendant la Seconde Guerre mondiale par quatre amis hongrois : Pendant dix sept mois, de juin 1943 à novembre 1944, alors que les nazis envahissent leur pays et déportent les juifs en masse à partir d'avril 1944, Hanna Dallos transmet au cours de 88 entretiens des paroles qu'elle dit ne pas émaner d'elle. Ces paroles sont retranscrites par Gitta Mallasz et Lili Strausz. Trois d'entre eux, juifs, périront en déportation. Seule survivante, Gitta Mallasz, réfugiée en France en 1960, traduira ces entretiens en français. Une première édition sera publiée en 1976, suivie en 1990 d'une seconde édition, intégrale. Le livre a été un grand succès de librairie[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9], fréquemment cité en référence pour illustrer le regain d'intérêt contemporain pour les anges dans la littérature spirituelle et ésotérique contemporaine[10],[11] et traduit en plus de 12 langues.
Sommaire
Le contexte historique
Pendant 17 mois, dans la Hongrie de 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, quatre amis hongrois (Gitta Mallasz, Lili Strausz, Hanna Dallos et son mari Joseph Kreutzer) ont reçu des paroles constituant un enseignement et qu'ils disaient émaner d’"autre part", d’un maître intérieur ou d’un ange. Gitta Mallasz avait reçu une vague éducation catholique, les trois autres, d’origine juive, n’avaient pas reçu d'éducation religieuse particulière.
Jusqu’alors les juifs ont été plutôt protégés par le régime Horthy, pourtant allié des puissances de l’axe. Mais le climat est menaçant. Il devient franchement angoissant quand en mars 1944, les allemands envahissent la Hongrie. Commencent dès lors les déportations sous la direction d’Eichmann, d’abord en province, avant la mise en place d’un ghetto à Budapest. Et elles seront terribles : sur une population de 825 000 juifs, moins d’un tiers survivra à la Shoah[12].
En 1943, les quatre amis se retrouvent dans une petite maison louée par Hanna et Joseph à Budaliget dans les environs de la capitale, où ils essaient de trouver un peu de sérénité. Leurs rencontres sont l'occasion de s’interroger ensemble sur la situation et d'écrire leurs impressions. Le 25 juin 1943, alors que Gitta avait lu à Hanna un texte de réflexion, celle-ci prévient « Attention ! Ce n’est plus moi qui parle » (p. 23) qui marquera alors le début du premier des 88 entretiens hebdomadaires qui forment les Dialogues avec l'ange.
Seuls les 40 premiers auront lieu à Budaliget, car après l'invasion de la Hongrie le 19 mars 1944 par l'armée allemande, pensant qu’ils seront plus en sécurité à Budapest où les persécutions n’ont pas encore commencé, Joseph et Hanna décident de s’installer dans la partie Pest de la capitale, dans l’appartement des parents de Hanna qui ont fui la Hongrie. En vain. Joseph part le 3 juin 1944 pour ne plus revenir.
Gitta cherche alors à sauver ses amies du ghetto, quand on lui propose de prendre le commandement d’un atelier de confection militaire monté par un de ses amis et un prêtre catholique, le père Klinda, pour sauver des juives. Gitta accepte à condition que soient rajoutés à la liste des ouvrières les noms de Lili et Hanna. L’atelier est installé dans l'ancien collège Sainte Catherine (Katalin), dans le quartier résidentiel de Buda. Les trois amies s’y installent à la mi-juin 44. Gitta aménagera dans le jardin une cabane dans laquelle se dérouleront les derniers entretiens.
Les Croix fléchées (parti fasciste hongrois) surveillent de près ce drôle d’atelier. Le 2 décembre 1944, ils font irruption à Katalin. Quasiment toutes les ouvrières réussiront à s’enfuir. Restent treize d’entre elles, dont Hanna et Lili qui ont décidé de se livrer pour sauver Gitta, persuadées qu’elle seule pourra transmettre les enseignements spirituels dispensés lors des entretiens. Hanna et Lili seront déportées à Ravensbrück. Une seule des ouvrières déportées, Eva Langley-Dános, est revenue. Elle a raconté dans Prison on wheels[13] la lente agonie des femmes entassées dans un wagon lors d'un transfert interminable entre deux camps. Joseph mourut à la même époque que sa femme dans un "camp" en Hongrie. Gitta restera, seule avec les petits cahiers de moleskine noire. Après quinze ans sous le régime communiste, elle s’installera en France en 1960 et commencera à travailler à la traduction puis la diffusion des Dialogues avec l'ange jusqu’à sa mort en 1992.
Les protagonistes
Hanna, Gitta, Joseph et Lili
Gitta Mallasz était fille d'un général de l’armée hongroise. Elle avait un caractère indépendant et aventureux. Toute jeune, elle devint championne de natation, une gloire nationale, puis, rejetant cette adulation grisante et « dégoûtée de ses activités uniquement sportives » (p 18), elle retourna à une carrière artistique. Hanna Dallos, qu'elle avait connue à l'École des Arts Décoratifs de Budapest et avec laquelle elle était restée très liée, lui réapprit à dessiner.
Hanna était indéniablement l'âme du groupe (p.19). Elle avait épousé un ami d’enfance, Joseph Kreutzer, très réservé. Tous trois partageaient un atelier d'arts décoratifs.
Gitta Mallasz avait connu Lili Strausz quand elle pratiquait la natation. Enseigner l’expression corporelle n’était guère chose courante à cette époque. Dernière fille non désirée d’une famille nombreuse, elle avait souffert dans l’enfance d’un manque d’amour qui la marqua profondément.
Les anges
Au début des entretiens, Hanna avertit Gitta, seule présente à ce moment-là : « Attention, ce n'est plus moi qui parle » (p. 23). Et Gitta déclare ; « C'est bien la voix de Hanna, mais je suis absolument sûre que ce n'est pas elle qui parle : celui qui parle se sert de sa voix comme d'une espèce d'instrument conscient » (p. 23). Gitta précise par ailleurs que « jamais Hanna n'a été en transe, ni dans un état particulier, ni même les yeux fermés pendant les entretiens[14] ». Dans la suite du livre, le mot "ange" apparait fréquemment dans les commentaires de Gitta, moins souvent dans le texte lui-même.
Gitta définit l'ange comme son « pareil de lumière[15] », en référence à la parole qui lui était destinée : « Tu es mon pareil plus dense » (p. 75). À la lecture des Dialogues, on peut s'apercevoir que chacun a "son ange". Celui de Lili, « celui qui aide » (p. 36) s’exprime avec tendresse, celui de Gitta, « celui qui rayonne » (p. 201), leur semble beaucoup plus sévère.
À Budapest, alors que la déportation massive des juifs a commencé, les « anges instructeurs », selon Gitta Mallasz, cédèrent la place au « chœur des anges (...) des êtres puissants, infiniment lointains[16] ».
Toujours, selon les explications de Gitta, les anges voyaient avec acuité ce qui se passait intérieurement chez les quatre amis, avaient des pouvoirs guérisseurs et leur enseignement pouvait être accompagné de visions. Mais elle affirme aussi que la nature de l’ange est difficile à saisir, qu’il est à la fois l’être le plus proche de l’humain, mais qu’en une seconde il peut se retrouver dans des régions inaccessibles. Alors que Lili demande au sien ce qu’est l’âme, il lui est répondu : « Tout est corps. Ce qui est insaisissable pour toi, l’"âme", pour moi est un mur épais » (p. 106).
Gitta évoque une loi qui lierait les anges aux hommes : la réciprocité. Elle raconte que lorsqu’ils apprirent les horreurs de l’extermination raciale, les anges furent aussi désespérés que les quatre amis.
« Car notre chemin est devenu un : ou nous périssons avec vous, ou nous nous purifions avec vous » (p. 252).
Les Dialogues
Les Dialogues avec l’ange comportent 88 entretiens qui débutent le 25 juin 1943 pour s’achever le 24 novembre 1944. Le langage est poétique, dense, souvent énigmatique[17] et prend parfois des accents prophétiques. Des schémas esquissés par Hanna après les entretiens[18] et des commentaires de Gitta accompagnent le texte. La forme et le contenu évoluent avec les événements qui secouent la Hongrie. À Budaliget, Gitta, Lili et Joseph reçoivent des réponses à leurs questions. Quand commencent les déportations, et qu'ils retournent à Budapest, le ton change. Il n'y a plus de questions. Alors qu’à Budaliget, les rencontres se tenaient régulièrement le vendredi à 15 heures, les messages parviennent à tout moment et ne sont plus personnalisés.
L'enseignement
Les propos apparaissent universels : certaines phrases pourraient être prononcées par un moine zen ou un maître du Védanta[19] ; la symbolique de la menorah (le chandelier à sept branches des juifs) est reprise et réinterprétée[20] ; enfin, les références au christianisme sont nombreuses : les rencontres ont lieu le vendredi à 15 heures, heure de la mort du Christ, et les fêtes chrétiennes - Noël, Pâques, Pentecôte ou la Saint Michel - donnent lieu à des entretiens qui s’y référent[21]. Jésus, est fréquemment cité, surtout dans les derniers entretiens. Mais pour Gitta Mallasz, les Dialogues avec l’ange vont au-delà des religions[22].
Il est difficile de dégager l’essence même de l’enseignement tant les thèmes sont foisonnants. Les auteurs qui se sont livré à l’exercice n’ont pas retenu les mêmes points. Pour Henri Blanquart, l’enseignement peut se résumer à ces points principaux[23] :
- La mort n’existe pas ;
- Ce que nous appelons notre « vie » n’est que rêve, illusion ;
- Il y a identité entre LUI[24] (Dieu, le Tout, « Cela » des hindouistes) d’une part, l’Ange (l’Etincelle divine en nous, « Christ en nous » de Saint Paul) et enfin, le petit « moi » ;
- Il faut « être vigilants », « faire attention », « être attentifs ».
De son côté, Patrice Van Eersel a relevé ces « éléments d’une morale angélique »[25] :
- La souffrance et la peur sont inutiles ;
- « Vouloir le bien » est un leurre ;
- Le mental est prisonnier du temps ;
- Tout est bon ;
- Demander et donner.
Gitta Mallasz elle-même a répondu un jour à un journaliste qui lui demandait « une définition précise de l’essentiel du message des anges » que c’était impossible, car c’est « une force dynamique qui met en mouvement, indéfinissable »[26]. Selon elle, les Dialogues avec l'ange sont « un guide pratique pour notre époque de transition »[27]. « Ce n’est pas une philosophie, ce n’est pas une religion, ce n’est pas un enseignement de groupe, c’est un enseignement de vie individuel »[28]. « Un livre de notre temps et des temps à venir, qui s’adresse à tous ceux qui ont soif d’une dimension spirituelle et s’interrogent sur leur propre évolution comme sur celle du monde »[29].
Les éditions
Les Dialogues avec l'ange ont d'abord été publiés en français, avant d'être édités dans leur langue d'origine, le hongrois, et d'être traduits en plus de 12 langues.
Il y a deux éditions françaises :
- Dialogues avec l'ange. Les quatre messagers, document recueilli par Gitta Mallasz et présenté par Claude Mettra, traduit du hongrois par Gitta Mallasz (avec la collaboration d'Hélène Boyer). Aubier-Montaigne, Paris, 1976
- Dialogues avec l'ange. Édition intégrale, un document recueilli par Gitta Mallasz, traduit du hongrois par Hélène Boyer et Gitta Mallasz, nouvelle version revue par Dominique Raoul-Duval, Aubier, Paris, 1990 (ISBN 2-7007-2833-5)
Il y a deux éditions en hongrois :
- Mallasz Gitta, Az angyal válaszol, Daimon Verlag, Einsiedeln, 1989 (ISBN 963-500-549-0)
- Mallász Gitta (lejegyezte), Az angyal válaszol, Fekete Sas Kiadó, Budapest, 2005 (ISBN 963-460-873-6)
Le livre a été traduit en allemand[30], néerlandais[31], anglais[32], italien[33], espagnol[34], grec[35], brésilien[36], portugais[37], suédois[38], norvégien[39], catalan[40], russe[41], ukrainien[41] (Les traductions ukrainienne et russe sont l'œuvre du dissident soviétique Leonid Pliouchtch et de sa femme Tatiania[42]), roumain[43], slovène[44], basque[45].
Les lecteurs
Le livre a fait le tour du monde et son audience a débordé les cercles habituels de lecture de ce type d'ouvrage. Le violoniste Yehudi Menuhin fut un des premiers lecteurs[46], ainsi que Pierre Emmanuel et le père Bruckberger[47] . Le guitariste Narciso Yepes s'impliqua dans la traduction espagnole[48]. Diverses personnalités, artistiques en particulier, comme Juliette Binoche[49],[50], mais également Françoise Hardy ou Ludmila Mikaël en France en ont parlé comme d'un ouvrage important dans leur vie privée[51]. Michel Cressole, critique à Libération, commenta en 1990 après sa lecture : « C’est le manifeste esthétique radical[52] ! ». Elisabeth Kübler-Ross, la célèbre psychiatre américaine, « l'a lu et relu sans jamais se lasser[32] ».
Notes et Références
- Jean-François Mayer, Les nouvelles voies spirituelles: enquête sur la religiosité parallèle en Suisse, L’âge d’homme, 1993 [présentation en ligne], p. 65 « S’il y a un livre qui vous paraît très important, veuillez en préciser le titre (…) quels étaient les titres revenant à plusieurs reprises ? (…) Les dialogues avec l’ange de Gitta Mallasz »
- Yves Roullière de Christus (revue des pères jésuites), Le retour des anges, IHS n° 174, 1997, p. 242 « le succès jamais démenti des dialogues avec l’ange » (…) « dans la littérature angéologique, « les dialogues avec l’ange » ont une place à part »
- Gérard Siegwalt, Dogmatique pour la catholicité évangélique: Système mystagogique de la foi chrétienne Volume 4,Partie 2, Labor et Fides, 2005 [présentation en ligne], p. 388 « Les exceptionnels dialogues avec l’ange »
- Maurice Berger, L'ésotérisme spirituel, Fernand Lanore, 1997 [présentation en ligne], p. 216 « (Il y a ) un regain d’intérêt pour l’ange gardien. Des livres à succès s’y rapportant ont été écrits comme les dialogues avec l’ange »
- Alain Buisine, L’ange et la souris, Zulma, 1997 [présentation en ligne], p. 103, 108, 109 « p. 103 « les célèbres dialogues avec l’ange qui connurent un succès foudroyant » p. 108 « vont conduire Gitta Mallasz à se lancer dans un véritable enseignement angélique » p. 109 « ils inspirent une méthodologie de développement personnel »
- Claude Labrecque, Une religion américaine, Médiaspaul, 1994 [présentation en ligne] « Des manifestations (d’entité) qui ont engendré, comme il fallait s’y attendre, plusieurs succès de librairie « les dialogues avec l’ange, antérieurs au nouvel-âge mais encore très à la mode »
- Fédération internationale des professeurs de français, Le Français dans le monde, Volume 15, Hachette et Larousse, 1996 [[http:// présentation en ligne]] « Les dialogues avec l’ange font plus que jamais recette »
- Frédéric Lenoir, « Connaissez-vous les dialogues avec l’Ange ? » sur lexpress.fr. Consulté le 22 octobre 2010 « Frédéric Lenoir, philosophe et sociologue des religions : « Alors qu'elle avait quasi disparu, la dévotion aux anges connaît un très fort regain (…) ». Frédéric Lenoir pointe une autre raison du succès fou des Dialogues : «Ils font écho au désir actuel d'une expérience spirituelle personnelle : on veut éprouver le divin en soi, et non plus prier un Dieu barbu extérieur à nous-mêmes, qui nous dicterait un dogme rigide ». Quant à justifier le fait que plus un artiste ou presque ne donne d'interview sans citer les Dialogues avec l'ange (Binoche, mais aussi Françoise Hardy, etc.,) (…), Frédéric Lenoir a son idée. « Je suis certain de leur sincérité : ils en parlent pour témoigner du bien que ça leur a fait. L'expérience spirituelle s'est démocratisée, aidée par le succès du développement personnel (avec la vogue du yoga, de la psychologie grand public...) » Katell Pouliquen –
- Charles Mopsik, Chemins de la cabale: vingt-cinq études sur la mystique juive, éditions de l’éclat, 2004 [présentation en ligne]. « Le très célèbre dialogues avec l’ange »
- Archives de sciences sociales des religions, Centre national de la recherche scientifique, Volume 50, Numéros 129 à 132, 2005 [présentation en ligne]
- Jean Biès, Quelle spiritualité pour l'homme d'aujourd'hui ?, 2005 [présentation en ligne], p. 222
- LA HONGRIE APRÈS L'OCCUPATION ALLEMANDE » sur memorial-wlc.recette.lbn.fr. Consulté le 23 octobre 2010 Mémorial de la Shoah, Paris, France, «
- (en) Eva Langley-Dános, Prison on wheels, Daimon Verlag, Einsiedeln, 2000 (ISBN 978-3-85630-585-7) Prison on wheels sur Google Livres
- Gitta Mallasz, Les dialogues tels que je les ai vécus, p.169
- Gitta Mallasz, Les dialogues ou le saut dans l'inconnu, p.23
- Gitta Mallasz, Les dialogues tels que je les ai vécus, p. 20.
- « Le lecteur matérialiste sera sensible à la tension de ces énigmes scandées, qui expriment un état de tension limite. » (Michel Cressole, Libération), dans Gitta Mallaz, Les Dialogues tels que je les ai vécus (p. 125)
- Gitta Mallasz, Les Dialogues tels que je les ai vécus (p. 139)
- Carlos Castaneda. » Henri Blanquart, La spiritualité fondamentale dans les Dialogues avec l'ange (p 15) « Ce qui est tout à fait frappant, à la lecture de ces Dialogues, c’est l’universalisme de cet enseignement. Certaine phrases pourraient être mises dans la bouche d’un maître du Védanta, dans celle d’un maître zen ou dans celle de Don Juan, le « sorcier » mexicain qui initia
- Dialogues avec l’ange, 1990, (p. 235, 256, 305, 382)
- Vendredi 24 décembre 1943, Entretien 27 avec Lili, Noël (p. 161). Dimanche 9 avril 1944, Entretien 43, Pâques (p. 253). Dimanche 28 mai 1944, Entretien 54, Pentecôte (p. 278). Vendredi 29 septembre 1944, Entretien 76, fête de l’archange Michaël (p. 340)
- Michel Cazenave, FR3, 1993 « L’essentiel des religions n’est pas oublié, mais surpassé. Les religions sont un tremplin pour une nouvelle évolution ». Gitta Mallasz ou le scribe des anges, entretien video avec
- Henri Blanquart, La spiritualité fondamentale dans les Dialogues avec l'ange, (p. 18-25)
- LUI est la traduction du pronom hongrois Ő, ni masculin ni féminin, et qui désigne ici Dieu
- Patrice Van Eersel, La source blanche. L'étonnante histoire des Dialogues avec l'Ange, chapitre IV/3
- Gitta Mallasz, Les Dialogues tels que je les ai vécus (p. 171)
- Gitta Mallasz, Les Dialogues tels que je les ai vécus, (p. 9).
- Michel Cazenave, FR3, 1993 Gitta Mallasz ou le scribe des anges, entretien video avec
- Gitta Mallasz, Les Dialogues tels que je les ai vécus, quatrième de couverture
- Die Antwort der Engel, Daimon Verlag, Einsiedeln, 1981
- Gesprek met de Engelen, Lemniscaat, Rotterdam, 1986
- Talking with angels, Daimon Verlag, Einsiedeln, 1988
- Dialoghi con l'Angelo, Edium, Milan, 1979 et Mediterranee, Rome, 2007
- La respuesta des Angel, Editorial Sirio, Malaga, 1990
- Συνομιλίες με αγγέλους, Assimakis Publ., Athènes, 1997
- Diálogos com o anjo, Editora de Cultura, Sao Paulo, 2003
- Diálogo com os Anjos, Estrela Polar, Lisbonne, 2006
- Samtal med änglar, Bokförlaget Mynta, 2001
- Samtaler med engler, Emilia, Oslo, 2002
- Converses amb àngels, Editorial Mediterrània, Barcelone, 2005
- Fact Publishers, Kiev, 2006
- Préface à l'édition Ukrainienne des Dialogues avec l'ange
- Dialoguri inspiratoare cu ingerii, SC Firul Ariadnei SRL, Bucarest, 2010
- Odgovor angelov, Irena Roglič Kononenko, Ljubljana, 2010
- ISBN 978-290-624-179-4) Aingeruekin solasean, Edition Maiatz, Bayonne, 2010 (
- ISBN 978-2-8445-4114-7), p 61 Bernard Montaud, Patricia Montaud, et Lydia Müller, La vie et la mort de Gitta Mallasz, Dervy, Paris, 2001 (
- « Voilà le livre que j'attendais depuis toujours. Je sais que je le lirai et le relirai sans cesse jusqu'à ma mort » Cité en quatrième de couverture de : Gitta Mallasz, Les dialogues tels que je les ai vécus, Aubier, Paris, 1984
- ISBN 978-2-8445-4114-7), p 58-61 Bernard Montaud, Patricia Montaud, et Lydia Müller, La vie et la mort de Gitta Mallasz, Dervy, Paris, 2001 (
- Interview de Julilette Binoche sur "dialogues avec l'ange"
- Interview de Juliette Binoche par Thierry Ardisson dans Tout le monde en parle, 13/03/2002
- TV5Monde - Littérature - Gitta Mallasz - Dialogues avec l'ange
- Nouvelles Clés - De la nature de l’ange - Par Patrice van Eersel
Voir aussi
Bibliographie
- Patrice Van Eersel, La source blanche. L'étonnante histoire des Dialogues avec l'Ange, Grasset, Paris, 1996 (ISBN 978-2-2464-8881-1)
- Gitta Mallasz avec Françoise Maupin, Les Dialogues tels que je les ai vécus, Aubier, Paris, 1984 (ISBN 2-7007-0378-2)
- Gitta Mallasz avec Roger Bret, Les Dialogues, ou l'enfant né sans parents, Aubier, Paris, 1986 (ISBN 2-7007-2630-8)
- Gitta Mallasz avec Dominique Raoul-Duval, Les Dialogues, ou le saut dans l'inconnu, Aubier, Paris, 1988 (ISBN 2-7007-2816-5)
- Gitta Mallasz avec Dominique Raoul-Duval, Petits Dialogues d'hier et d'aujourd'hui, Aubier, Paris, 1991 (ISBN 2-7007-2841-6)
- Henri Blanquart, La spiritualité fondamentale dans les Dialogues avec l'ange, le Léopard d'Or, Paris, 1995 (ISBN 2-86377-129-9)
- Bernard Montaud, Patricia Montaud, et Lydia Müller, La vie et la mort de Gitta Mallasz, Dervy, Paris, 2001 (ISBN 978-2-8445-4114-7)
- Michèle Bara et Françoise Van Aerde, Lumière sur Dialogues avec l'Ange de Gitta Mallasz, Dervy, Paris, 2005 (ISBN 978-2-8445-4402-5)
Radio, cinéma, télévision, théâtre
- Les quatre messagers, entretien de Gitta Mallasz avec Claude Mettra, Les vivants et les dieux, France Culture, 1976
- Entretien de Gitta Mallasz avec Jacques Chancel, Radioscopie, France Inter, 10 mars 1977, Extrait sonore de l'INA
- Entretien de Gitta Mallasz avec Olivier Germain-Thomas pour son livre Les dialogues tels que je les ai vécus, Agora, France-Culture, 11 octobre 1984, Archive audio de l'Ina
- Dites-moi, Gitta Mallasz, entretien video avec Michèle Cédric, RTBF, 1989.
- Entretien de Gitta Mallasz avec Olivier Germain-Thomas pour son livre Les dialogues ou le saut dans l'inconnu, Agora, France-Culture, 22 mars 1989, Archive audio de l'Ina
- Entretien de Gitta Mallasz avec Olivier Germain-Thomas pour son livre Petits dialogues d'hier et d'aujourd'hui, Agora, France-Culture, 24 décembre 1991, Archive audio de l'Ina
- Gitta Mallasz, ou le scribe des anges, entretien video avec Michel Cazenave, FR3, 1993.
- Talking with angels, pièce de théâtre de Shelley Mitchell à partir du livre, 2002, Site, Video.
- Dialogues avec l'ange, pièce de théâtre adaptée et mise en scène par Maud Buquet. Compagnie des Nouveaux Mondes, 2009, Site.
Article connexe
Lien externe
- Documents sur les Dialogues avec l'ange
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