- Tristesse (nouvelle)
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Tristesse est une nouvelle d’Anton Tchekhov.
Sommaire
Historique
Tristesse fut initialement publié dans la revue russe Le Journal de Pétersbourg, numéro 26 du 27 janvier 1886, sous le pseudonyme A.Tchékhonté. Autre traduction Le Cafard[1].
Résumé
Le cocher Iona Potatov attend sous la neige depuis plusieurs heures, un officier monte dans le traineau « Rue de Vyborg ! » Le traineau démarre doucement, il ne tient pas sa droite et les passants le rabrouent. Potatov annonce à l’officier que son fils est mort cette semaine, il voudrait parler mais l’officier a fermé les yeux.
De nouveau l’attente, une heure, deux heures, trois jeunes gens montent dans le traineau : « Cocher, au pont de la Police » ; les jeunes gens sont éméchés, ils se plaignent de la lenteur et l’un d’entre eux frappe Potatov, cela le distrait pendant quelques instants.
Attendre encore, son fils est mort et lui est en vie, « La mort s’est trompée de porte ». Il rentre dans son logis, il voudrait tant parler, raconter, se vider, il va à l’écurie et raconte tout à son cheval.
Notes et références
- ISBN 978 2 296 11343 5) Dictionnaire Tchekhov, page 43, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (
Édition française
- Tristesse, traduit par Madeleine Durand et Édouard Parayre, révision de Lily Dennis, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1967 (ISBN 978 2 07 0105 49 6).
Catégories :- Nouvelle d'Anton Tchekhov
- Nouvelle parue en 1886
- Nouvelle publiée dans Le Journal de Pétersbourg
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