- À chacun son enfer
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À chacun son enfer est un film franco-allemand d'André Cayatte réalisé en 1976 et sorti en 1977.
Sommaire
Synopsis
La petite Laurence a été enlevée. Sa mère, Madeleine, affronte sa famille, la presse, la police, rassemble la rançon, mais en vain. Cayatte nous présente le calvaire et la douleur de cette mère.
Fiche technique
- Titre : À chacun son enfer
- Réalisation : André Cayatte
- Scénario : André Cayatte (histoire) et Jean Curtelin (dialogue)
- Montage : Paul Cayatte
- Musique : Vladimir Cosma
- Photographie : Maurice Fellous et Ennio Guarnieri
- Pays : France et Allemagne
- Format : Couleurs
- Durée : 100 minutes (1 h 40)
- Date de sortie : 2 février 1977
Distribution
- Annie Girardot : Madeleine Girard
- Bernard Fresson : Bernard Girard
- Hardy Krüger : Le commissaire Bolar
- Stéphane Hillel : Michel
- Fernand Ledoux : Le beau-père de Madeleine
- Édith Scob : La "folle"
- Astrid Frank : Sylvie
- Anne-Marie Hanschke : La mère de Madeleine
- Leila Fréchet : Laurence
- François Perrot : Le directeur de la T.V.
- Jacques Zanetti : Un conducteur
- Roger Mirmont : Un policier
- Marius Laurey : Un gardien
- Jean-Louis Lescène : Un speaker T.V.
- Florence Giorgetti : Une secrétaire
- Alain Chevallier : Un speaker T.V.
- Jean-Paul Tribout : Un reporter T.V.
- François Timmerman : Un journaliste T.V.
- Jean-Claude Magret : Un journaliste T.V.
- Alain Beregi : Un journaliste
- Liza Braconnier : Une journaliste
- Claudine Berg
- Françoise Bonneau
- Jacques Bouanich (sous le nom de Jean-Jacques Bouanich)
- Dominique Briand
- Michel Degand
- Georges-Fréderic Dehlen (sous le nom de Georges Dehlen)
- Marguerite Grimprel
- Daniel Guillaume
- Emmanuelle Lugten
- Léo Peltier (sous le nom de Léo Pelletier)
- Paul Rieger
- Marthe Villalonga
Critiques et commentaires
«Selon que l'on accepte ou non cette conception du spectacle et, pour notre part, nous ne l'acceptons pas, on jugera Annie Girardot bouleversante ou insupportable. L'actrice provoque les larmes avec toutes les ressources d'un métier dont il n'y a plus à faire la démonstration. Utilisant le cliché qui convient à ces performances où l'on s'arrache les tripes, on peut dire qu'Annie Girardot "vit intensément son rôle". Mais Cayatte l'a poussée dans la voie d'un pathétique qui devient indécent et gênant tant il met à nu des réactions intimes qui devraient, pourtant, commander le respect»[1].
Références
- Jacques Siclier. Le Monde du 5 février 1977.
Voir aussi
Catégories :- Film sorti en 1977
- Film dramatique
- Film français
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