- Stéphanie Hochet
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Stéphanie Hochet est un écrivain français né à Paris en 1975. Après une maîtrise sur le théâtre élisabéthain, elle a enseigné en Grande-Bretagne. Stéphanie Hochet travaille pour Le Jeudi (hebdomadaire du Luxembourg), elle collabore aussi à des sites littéraires ainsi qu'au Magazine des livres.
Bibliographie
- Moutarde douce, éditions Robert Laffont, 2001
- Le Néant de Léon, éditions Stock, 2003
- L'Apocalypse selon Embrun, éditions Stock, 2004
- Les Infernales, éditions Stock, 2005
- Je ne connais pas ma force, éditions Fayard, 2007
- Combat de l'amour et de la faim, éditions Fayard, 2009 (Prix Lilas)
- La distribution des lumières, Flammarion, 2010 (Prix Thyde Monnier de la Société des Gens de Lettres)
Née en 1975, Stéphanie Hochet est écrivain et critique.
Elle publie son premier roman, Moutarde douce (Robert Laffont) à l’âge de 26 ans. Puis aux éditions Stock : Le Néant de Léon (2003), L’apocalypse selon Embrun (2004), et Les Infernales (2005).
Je ne connais pas ma force paraît en 2007 aux éditions Fayard. Elle reçoit le Prix Lilas 2009 pour Combat de l’amour et de la faim (Fayard).
La distribution des lumières paru aux éditions Flammarion pour la rentrée littéraire en septembre 2010 obtient le Prix Thyde Monnier de la Société des Gens de Lettres.
Dans « Je » est bon parce qu’il est moi, texte publié dans Libération en juillet 2009 puis aux éditions du Seuil, elle met en scène le délire de toute-puissance d’un chef d’État qui se sent au dessus des lois et des hommes.
Elle participe à des projets collectifs comme Collection irraisonnée de préfaces à des livres fétiches publié en 2009 chez Intervalles ainsi qu'au Dictionnaire des séries télévisées écrit sous la direction de Benjamin Fau et Nils Ahl, paru aux éditions Philippe Rey en octobre 2011.
Elle tient une chronique au Magazine des livres, BSC News (un journal culturel internet), écrit pour Le Jeudi du Luxembourg, a également collaboré à Libération et à Muze.
Au sujet de...
- Je ne connais pas ma force
Pierrette Fleutiaux, romancière : « Son livre est une métaphore de l'adolescence et de ses fascinations envahissantes, dont on finit par sortir comme d'un rêve. C'est époustouflant, la progression est inexorable, le style acéré comme les instruments de chirurgie. Elle m'a bluffée, Stéphanie. Jamais rien lu comme ça. Pas sentimental pour un clou, rien que du dur, très très bien. »
- L'Apocalypse selon Embrun
Amélie Nothomb, romancière : « Le style tendu et retenu de Stéphanie Hochet excelle à distiller, à la manière du Polanski de Rosemary's Baby, un climat de subtile inquiétude métaphysique. »
Liens externes
Catégories :- Écrivain français du XXIe siècle
- Naissance en 1975
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