- Réacteur de Aïn Oussara
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Réacteur de Aïn Oussara
Réacteur de Aïn Oussara 
Le réacteur de Aïn Oussara photographié par un satellite de reconnaissance de l'US Air Force (7 mai 2000)Administration Pays 
AlgérieRégion Wilaya de Djelfa Province Commune Aïn Oussara Opérateur Statut en fonction Année de construction fin des années 1980 Date de mise en service commerciale 1993 Latitude
LongitudeRéacteurs Fournisseurs Type Réacteurs actifs Production d'électricité Puissance nominale 15 MW Electricité générée annuelle Electricité moyenne Production totale Source froide Architecte {{{architecte}}} Coût {{{coût}}} Web url Géolocalisation sur la carte : [[]]
Réacteur de Aïn OussaraGéolocalisation sur la carte : Algérie
Réacteur de Aïn Oussara
- Centrale nucléaire - énergieLa centrale Es Salam (qui signifie la paix) est une centrale nucléaire algérienne qui peut délivrer une puissance de 15 mégawatts[1]. Elle fut construite en coopération avec la Chine[2] dans la région de Aïn Oussara, à 150 km au sud d’Alger. Elle est en service depuis 1993[2].
Le réacteur à eau lourde, particulièrement protégé, avait suscité des craintes dans le gouvernement américain de l'époque à cause de sa taille et de la large défense aérienne dont il bénéficie. Une enquête de la CIA avait conclu à « une possibilité d'utilisation militaire » de ce réacteur nucléaire[1]. Les 15 mégawatts du réacteur permettraient de produire 3 à 5 kilos de plutonium par an, ce qui est suffisant pour fabriquer une bombe nucléaire[1].
Cependant depuis 1992, l’Algérie a soumis ses installations nucléaires au contrôle de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) de Vienne, dont elle est membre du conseil des gouverneurs. La première centrale nucléaire verra le jour en 2020, un accord a été signé avec la France, les États-Unis, etc[3] , [4].
Références
- ↑ a , b et c Bruno Tertrais, Le marché noir de la bombe : Enquête sur la prolifération nucléaire, Buchet-Chastel, 2009. (ISBN 978-2283023914)
- ↑ a et b El Salam Reactor / Ain Oussera sur GlobalSecurity.org. Consulté le 19 septembre 2009.
- ↑ Jeune Afrique
- ↑ Afric
Voir aussi
- Programme nucléaire de l'Algérie
- Centrale nucléaire de Draria
- Programme nucléaire de l'Argentine
- Programme nucléaire de la Chine
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