- Prem Rawat
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Prem Rawat Nom de naissance Prem Pal Singh Rawat Naissance 10 décembre 1957
Haridwar, IndeAscendants Sri Hans Ji Maharaj Prem Pal Singh Rawat (né le 10 décembre 1957 à Kankhal, Inde du Nord), plus connu sous les noms de Prem Rawat ou Maharaji[Notes 1], est arrivé en Occident au début des années 1970, proposant quatre techniques de méditation qu'il appelle « la Connaissance »[1] qui apporterait, selon lui, la paix et la satisfaction intérieures[Notes 2]. Certains le considèrent comme le leader d'un nouveau mouvement religieux[2],[3], d'autres comme un ambassadeur de la paix[4],[5]. Les évolutions notables de son discours et des associations qui relaient son message, ainsi que son train de vie, ont suscité bien des interrogations et des controverses. Néanmoins, malgré les polémiques qui l'accompagnent depuis son enfance, il a acquis une certaine reconnaissance internationale pour son action en faveur de la paix[6], responsabilité individuelle, affirme-t-il, plutôt que des institutions[Notes 3].
Sommaire
Les débuts
Prem Rawat est le plus jeune des quatre fils de Sri Hans Ji Maharaj, maître indien d'une certaine renommée[7]. Dès l'âge de 4 ans, il commence à parler en public dans les meetings de son père et l'accompagnera ensuite régulièrement lors de ses tournées. En 1966, à la suite de la mort de son père, Prem Rawat est désigné pour lui succéder. Il n'a alors que 8 ans. Selon Prem Rawat, Shri Hans Ji Maharaj avait exprimé à plusieurs reprises que son plus jeune fils serait appelé à porter son message au-delà des frontières de l'Inde. C'est dans ce but qu'il l'avait inscrit à l'école catholique Saint-Joseph de Dehradun pour y apprendre l'anglais[8].
En plein essor des pratiques spirituelles venues d’Inde, quelques jeunes occidentaux se rendent en 1968 à l'ashram du jeune Maharaji et y reçoivent la Connaissance. De retour chez eux, dès 1971, ils l'invitent à venir donner des conférences en Europe et aux États-Unis. Prem Rawat a alors 13 ans[8].
La période de la Mission de la Lumière Divine
The Divine Light Mission (Divya Sandesh Parishad) est fondé en 1960 en Inde par Shri Hans Ji Maharaj, à la demande d'un groupe de ses disciples[9]. À la mort de celui-ci, en raison du très jeune âge de Prem Rawat, la direction est un temps répartie entre les membres de la famille et quelques disciples proches. À l'âge de 16 ans, il prit le contrôle administratif de la branche américaine du mouvement, jusque-là administrée par des membres de sa famille. Le mouvement organise à l'époque de nombreux festivals issus de l'hindouisme comme Holi, Guru Puja et Hans Jayanti. Ce dernier festival, en 1972, attira 500 000 participants[10]. En 1973, la section britannique du mouvement, organise le « Festival of Love » à l'Alexandra Palace de Londres. Quelques critiques négatives commencèrent à apparaître dès cette époque. La plus importante se rapportait à l'impression que Prem Rawat donnait d'être le nouveau Messie[11]. Ce que niait Prem Rawat[12]. En 1974, Rawat se marie avec Marolyn Johnson, une disciple de 24 ans de San Diego[13]. À la suite de ce mariage, Rawat devient « mineur émancipé ». Sa mère considère que ce mariage avec une occidentale enfreint les règles spirituelles de sa lignée et que son fils est devenu un « playboy ». Ce mariage controversé et l'échec du dernier festival marqua la fin de la croissance du mouvement pour plusieurs années.[14],[15],[16]
L'occidentalisation du mouvement et Élan Vital
À la suite du conflit avec sa mère et la chute de fréquentation du mouvement (qui était alors passé de 6 millions à 1,2 million, selon certaines sources[17] que certains observateurs attribuent à la publicité négative que les médias font de Rawat à cette époque, où les premières accusations de secte apparaissent[18]), Rawat annonce qu'il va défaire le mouvement de son empreinte indienne. Il commence à porter des costumes occidentaux et la terminologie hindoue est remplacée par des termes occidentaux.
C'est à cette époque, au moment où apparaissent les premières associations antisectes américaines[Notes 4], que plusieurs membres du mouvement vont subir des séances de deprogramming[19],[20]et quelques anciens membres, dont l'ancien fondateur américain du mouvement, Bob Mishler, commencent à critiquer le leader[21],[22]. Mishler alla jusqu'à décrire des comportements qu'il apparentait à ceux du Temple du Peuple de Jim Jones[23]. Mais ces accusations ne reçurent alors que peu d'échos[24].
En 1983, le mouvement prend le nom d'Élan vital[25],[26]. Prem Rawat demande alors qu'on l'appelle "Maharaji" [Notes 5] plutôt que "Guru Maharaj Ji".
Des organisations similaires verront le jour dans de nombreux pays. Ce changement de nom correspond, selon Prem Rawat, a la nécessité de donner une connotation universelle à son message : « Ce message est simple. Il n’est lié à aucune religion. Il n’est lié à aucune philosophie. Il s’adresse aux personnes vivantes qui veulent faire l’expérience de la chose vivante qui se trouve en elles. »[27].
La globalisation du message avec TPRF et WOPG
La biographie de Prem Rawat mentionne que dès 1972, il commença à prendre des leçons de pilotage aéronautique pour finalement acquérir un premier avion en 1979, un vieux Boeing 707 acheté d’occasion[8]. Depuis lors, c’est aux commandes d'un jet privé de location, qu’il se déplace, allant jusqu’à parcourir 250 000 miles par an[1]. Pour indication, sur la période 2004-2006, il aurait donné environ 62 conférences dans 37 villes et 21 pays. Sur la période 2007-2009, ces chiffres seraient passés à 156 conférences dans 101 villes et 29 pays[28].
En 2001, une nouvelle étape est franchie par Prem Rawat qui, selon ses dires, aurait concrétisé là une aspiration qu'il avait eu dans le milieu des années 1970[8] : il créée une fondation humanitaire The Prem Rawat Foundation (TPRF)[29] dont la devise est « Dignité, Paix et Prospérité ». Aux États-Unis, cette fondation est reconnue d’utilité publique par le Better Business Bureau depuis février 2009[30]. À fin 2010, la fondation TPRF déclare avoir participé au financement de 116 actions humanitaires, dans 34 pays sur les 5 continents, en partenariat avec 55 autres ONG[31]. Par ailleurs, elle a démarré depuis 2006 son propre programme d’aide alimentaire, Food For People, en Inde et au Népal[32]. En mai 2011, Charity Navigator, premier organisme d'évaluation des ONG aux USA, a décerné à TPRF, pour la troisième année consécutive, sa meilleure note de 4 étoiles pour l’efficacité et la transparence de sa gestion[33].
En 2008, Prem Rawat regroupe les activités ayant pour vocation la diffusion de son message de paix au niveau mondial au sein d’une deuxième fondation ayant son siège aux Pays-Bas : Words of Peace Global (WOPG). Elle fonctionne principalement à partir d’un site internet centralisant toutes les informations relatives à ses conférences.
Une émission de télévision intitulée Words of Peace (Paroles de Paix) est retransmise sur des télévisions locales ou nationales dans une trentaine de pays et a été primée deux fois au Brésil et une fois aux États-Unis[34]. Composée d'extraits de conférences de Prem Rawat, elle est aussi diffusée dans des prisons en Afrique, en Inde, en Nouvelle-Zélande, au Mexique, en Grande-Bretagne et en Amérique du Sud. Des responsables de différentes administrations pénitentiaires ont témoigné de l'impact positif de ce programme sur le comportement des détenus[35].
En France, depuis l'arrêt d’Élan Vital le message de Prem Rawat est diffusé par l’association La Connaissance.
Prem Rawat déclare que les associations qui relaient son message sont entièrement soutenues par des contributions volontaires ou la vente de produits de diffusion de son message, qu'il ne reçoit aucune rémunération pour ses conférences et la vente des produits diffusés et que l’initiation à la Connaissance est entièrement gratuite. Lui-même et sa famille seraient financièrement autonomes[8].
Prem Rawat a donné des conférences dans des universités comme Harvard, Salamanque, Oxford, ou devant des assemblées internationales, comme l'ONU à New York en 2006 à l'occasion du soutien financier apporté par TPRF au Programme des Nations Unies pour le Développement des ressources en eau au Ghana[36] et le Parlement européen de Bruxelles en juin 2010 pour une conférence internationale intitulée « Paroles de paix pour l’Europe »[37].
Enseignement
Prem Rawat résume son enseignement comme ceci : « Je montre aux gens comment se tourner vers l’intérieur de soi et trouver la paix. Sans cela, ce que je dis serait une philosophie. »[38]
La base de cet enseignement serait issue du Sant Mat[39] qui professe que les rituels sont inutiles et que la vraie religion est celle de l'amour et de la soumission à Dieu dans son cœur[40],[41]. Mais d'autres sources la situent dans la lignée de l'Advait Mat, un ensemble de courants issus de la doctrine d'Ishwar Totapuri[42]. Il semblerait enfin que Prem Rawat ait accordé de moins en moins d'importance à la lignée au fil du temps[43]. Débarrassé de son inspiration indienne, l’enseignement de Prem Rawat n’en demeure pas moins centré sur la pratique de la méditation et le fait de se tourner « vers l'intérieur » afin de trouver la paix et la joie. Cette pratique repose sur quatre techniques appelées à l’origine Lumière, Harmonie, Nectar et Nom. Prem Rawat abandonnera ces appellations à la fin des années 1980, pour les nommer simplement techniques n° 1, 2, 3 et 4. Il appelle ces techniques et l'expérience qui découle de leur pratique la « Connaissance ». Cette méthode est présentée comme un moyen pratique de trouver la paix intérieure ou « paix spirituelle »[44].
Dans une interview donnée au magazine Leaders en avril 2002, répondant à une question de David Schner, Prem Rawat explique le processus qu'il propose : « Au départ, il s’agit de se familiariser avec ce que j’offre en assistant, par exemple, à une conférence de présentation. Les gens m’écoutent et si cela les intéresse, ils approfondissent en continuant à écouter mes conférences. Ils ne passent à l’étape suivante que lorsqu’ils sont convaincus que c’est vraiment pour eux. Chacun avance à son propre rythme. Cela peut prendre quelques semaines, plusieurs mois et, dans certains cas, des années. Une fois qu’ils sont certains d’être intéressés, je leur enseigne des techniques qui leur permettent d’entrer en contact avec la simplicité qui se trouve à l’intérieur de chacun d’entre nous. »
Pour se préparer et recevoir la Connaissance, Prem Rawat a conçu lui-même un ensemble de six coffrets de DVD intitulé Les Clés. Les cinq premières Clés (distribuées sous forme de prêt) servent à la préparation et la sixième fait l'objet de l'initiation elle-même lors d'une session particulière.
Emilio Colombo, ancien Président du Parlement européen et ancien Premier ministre d’Italie, termine ainsi l'avant-propos qu'il a signé de la biographie La paix est possible : « Prem Rawat nous invite à comprendre les fondements mêmes de la vie, à découvrir ce qui se trouve profondément en nous, puis à le projeter dans notre environnement » [8].
Controverses
D'anciens disciples[45] (les disciples étant appelés les premies, les anciens devenus critiques se sont fait appelés les ex-premies) ont créé une association pour exprimer leurs griefs à son égard[46]. Ils affirment notamment qu'il a encouragé ses disciples à se prosterner à ses pieds ou à lui embrasser les pieds[Notes 6], se faisant appeler « seigneur de l'univers », qu'il aurait eu des relations extra-conjugales, qu'il encourage ses disciples vivant à l'ashram,( la plupart ont été fermés il y a 25 ans) à mener une vie austère alors que lui-même vit dans le luxe. Ces ex-disciples ne faisant pas la différence entre ce qui est mis à sa disposition pour son travail (avion, bases de travail pour ses voyages) et ce qu'il possède, lui reprochent d'avoir accumulé une véritable fortune (« diverses demeures de grand luxe[47], une flotte de voitures de luxe, un yacht de sept millions de dollars, un jet privé ») issue de dons ou d'héritages légués par ses disciples[48]. Ils lui attribuent aussi d'avoir couvert une affaire de pédophilie concernant un ancien Mahatma (affaire qui n'a fait l'objet d'aucune poursuite judiciaire)[49]. Élan Vital avait néanmoins pris, à l'époque, des mesures préventives pour inciter les victimes de tels agissements à les leur signaler[50].
Pour eux, la « Connaissance », base de l'enseignement de Prem Rawat, « est constituée de quatre techniques de yoga librement enseignées par de nombreux groupes religieux en Inde. Ces techniques sont montrées aux adeptes […] sans les explications et sans les contrôles appropriés qui les accompagnent normalement dans leur enseignement classique, ce qui rend ces techniques potentiellement dangereuses. »[48]
En réponse aux allégations de ce groupe d'anciens disciples, quelques sympathisants de Prem Rawat font une mise au point sur un site, en précisant qu'ils agissent en leurs noms propres. Ils révèlent notamment comment l'un des ex-premies s'est repenti et produisent sa déposition faite sous serment en 2005 à Bangkok[51]. L'association française La Connaissance a elle aussi réagi aux accusations d'un groupe (qui ne serait composé, selon elle, que d'une vingtaine de membres) en dénonçant ses méthodes et agissements[52].
Une autre controverse est en rapport avec le prétendu statut de leader religieux de Prem Rawat, qu'il aurait souhaité abandonner au profit de celui, plus profane, d'« inspirationnal speaker » (un orateur qui serait source d'inspiration). Certains observateurs considèrent cependant que la transformation ne serait pas aussi radicale qu'il le prétend et qu'il n'a pas su se défaire du statut de gourou[53].
Quant à Prem Rawat, il a commenté les controverses dont il fait l'objet de la façon suivante : « Heureusement, ou malheureusement, je suis exposé à cette situation depuis l’âge de huit ans. Lorsque j’ai commencé, certains ne pouvaient pas croire que c’était vraiment moi qui parlais. On m’a même accusé d’avoir caché un magnétophone. La controverse n’est donc pas quelque chose qui m’est étranger »[54].
Un rapport de la commission d’enquête parlementaires sur les sectes en France du 20 décembre 1995 et remis au président de l'Assemblée nationale, a classé la Fondation Élan vital parmi les mouvements sectaires comptant de 50 à 500 adeptes[55]. Cependant devant les critiques qu’a suscité ce rapport (autant en France[56] qu’à l’étranger[57]) le gouvernement a réorienté sa politique, en créant en 2002 la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES). Dans une circulaire du 27 mai 2005 relative à la lutte contre les dérives sectaires, le texte signé du Premier Ministre de l'époque rend cette liste caduque : « Aussi a-t-il été décidé, plutôt que de mettre certains groupements à l'index, d'exercer une vigilance particulière sur toute organisation qui paraît exercer une emprise dangereuse pour la liberté individuelle de ses membres […] et le recours à des listes de groupements sera évité au profit de l'utilisation de faisceaux de critères »[58].
Sources
- Cagan, Andrea, (2009) - La paix est possible : La vie et le message de Prem Rawat, Éditions Albatros, ISBN 978-3-85219-036-5 [59]
- Cameron, Charles, (Ed.), (1973) - Who Is Guru Maharaj Ji?, Bantam Books, Inc.
- Downton, James V., (1979) - Sacred journeys: The conversion of young Americans to Divine Light Mission, Columbia University Press. ISBN 0-231-04198-5
- Collier, Sophia, (1978) - Soul rush: The odyssey of a young woman of the '70s, Morrow, ISBN 0-688-03276-1
- DuPertuis, Lucy, (1986) - How people recognize charisma: the case of darshan in Radhasoami and Divine Light Mission, Sociological Analysis, University of Guam, vol. 47, n° 2.
- Geaves, Ron, (2002) - From Divine Light Mission to Elan Vital and Beyond: an Exploration of Change and Adaptation, 2002 International Conference on Minority Religions, Social Change and Freedom of Conscience, University of Utah at Salt Lake City.
- Geaves, Ron, « Globalization, charisma, innovation, and tradition: An exploration of the transformations in the organisational vehicles for the transmission of the teachings of Prem Rawat (Maharaji) », 2006 - Journal of Alternative Spiritualities and New Age Studies, 2 44-62.
- Hadden, Jeffrey K. et Elliot III, Eugene M., (2002) - « Divine Light Mission/Elan Vital » in Melton, Gordon J. et Bauman, Martin (Eds.) Religions of the world: A Comprehensive Encyclopedia of beliefs and practices ABC-CLIO, ISBN 1-57607-223-1
- Rawat, Prem et Wolf, Burt, (2005) - Inner Journey: A spirited conversation about self-discovery (DVD). ISBN 0-9740627-0-7
- Rawat, Prem, (2004) - Maharaji at Griffith University, ISBN 0-9740627-2-3
- (2005) The Prem Rawat Foundation presents: Maharaji at Sanders Theatre, Harvard University ISBN 0-9740627-3-1
Liens externes
- Site Words of Peace Global
- Site de la Prem Rawat Foundation
- Site de Maharaji
- Prem Rawat en France
- Site d'ex-disciples de Prem Rawat
- L'association La Connaissance sur prevensectes.com
Notes
- également "Guru Maharaj Ji" dans les années 1970
- « Comme beaucoup de gens je m'intéresse à la paix intérieure et à la connaissance de soi. Mais en tant que journaliste, je suis particulièrement sceptique sur le fait que quelqu'un veuille me montrer comment y parvenir. Malgré mes doutes, j'ai assisté à deux conférences de Prem Rawat et j'ai trouvé que son message était actuel, plutôt pertinent et plaisant. » Burt Wolf, 2005
- « Le temps de la paix est arrivé et nous devons agir. Ce n'est pas l'affaire des gouvernements ; cela concerne chacun d'entre nous. » Prem Rawat, septembre 2010, Argentine
- Cult Awareness Network et American Family Foundation Voir
- qui signifie « grand roi » en Sanskrit
- Le rituel du Pranam est une pratique courante en Inde, un signe de déférence envers le maître spirituel
Références
- Ron Geaves (2006), An exploration of the transformations in the organisational vehicles for the transmission of the teachings of Prem Rawat (Maharaji)
- Nouveaux mouvements religieux et conflits de société (1965-1985) » Françoise Champion, «
- Les réponses politiques à la question des sectes, mémoire de recherche de Lionel Mariani (2007), p 41 à 45
- Ambassadeur de la Paix à l’Université internationale de la Paix, Brésil
- Ambassadeur de la Paix de la région de Basilicata, Italie
- Liste de distinctions reçues par Prem Rawat (TPRF)
- Hans Jayanti (2000), pp.24-37. DUO, New Delhi
- Andrea Cagan (2009), La Paix est possible
- Ron Geaves (2004), From Divine Light Mission to Elan Vital and Beyond: an Exploration of Change and Adaptation
- "Guru's Pupil Slates Talk", SYRACUSE POST-STANDARD February 3, 1973. p. 3
- p. 52" Kent (2001), p. 52 « Tout ce que je peux dire, honnêtement, c'est que très bientôt, chaque être humain va savoir que celui qui est attendu par toutes les religions est bien arrivé»
- Rolling Stone Magazine Issue N°156 - March 14, 1974 (Page 36-50)
- "The Guru's Wife Is Another Devotee", Robert P. Dalton, AP Staff Writer, Oakland Tribune. May 23, 1974.
- Maeve Price, « The Divine Light Mission as a social organization », dans Sociological Review, vol. 27, 1979, p. 279–296
- Melton (1999)
- Melton (2001)
- "Guru following down; tactics changing", UPI, Waterloo Courier Novembre 25, 1976
- Bromley & Hammond (1987), pp. 113-4, 227
- "Cult Deprogrammer Patrick Sentenced to Year in Kidnaping", JACK JONES. Los Angeles Times September 27, 1980, pg. SD_A1
- Brown, Chip, Parents Versus Cult: Frustration, Kidnapping, Tears; Who Became Kidnappers to Rescue Daughter From Her Guru, The Washington Post, February 15, 1982
- "Guru's cult changing style" GEORGE CORNELL, AP Religion Writer
- Melton (1986), p. 219
- Mishler sur le parallèle avec Jonestown
- Melton (1986), pp. 141-145
- Colorado Secretary of State, Business Center.
- Available online (Retrieved May, 2006) Elan Vital FAQs - About Elan Vital, Inc.
- Le message de Prem Rawat en quelques citations
- Liste des conférences de Prem Rawat de 2002 à nos jours
- Donner du fond du cœur, présentation de TPRF
- Better Business Bureau
- Programmes humanitaires de TPRF
- Food For People au Népal
- Lettre du président de Charity Navigator
- Chaînes de TV diffusant Words of Peace
- Correctional Education Association
- Allocution de Prem Rawat au siège des Nations Unies à New York
- Paroles de paix pour l'Europe, Édité par TPRF
- Nouvel Ouest, n° 118
- Melton, J. Gordon. (1986). The encyclopedic handbook of cults in America. Garland reference library of social science, v. 213. New York: Garland Pub
- Lipner (1994), pp. 120-1
- Schomer (1987)
- Geaves (2007), pp. 267
- Geaves (2006a), pp. 44–6 – "Rawat does not see himself as part of a tradition or as having to conform to the behavior of any predecessor"
- Aldridge, Alan — Religion in the Contemporary World (2007) — p.59
- Histoire du Site sur ex-premie.org. Consulté le 26 novembre 2010
- ex-premie.org
- La résidence de Malibu en Californie
- Dix Choses Essentielles sur Prem Rawat
- L'Affaire Jagdeo selon les ex-premies
- Politique contre le harcèlement d'Élan Vital
- Déposition de John Murray MacGregor
- L'association La Connaissance dénonce
- it's not a religion sur prem-rawat-maharaji.info. Consulté le 25 novembre 2010
- Leaders, vol. 25, n° 1 (2002)
- Rapport fait au nom de la commission d'enquête sur les sectes, n° 2468, Assemblée nationale.
- Les anomalies d'une commission d'enquête parlementaire, CAP (2006)
- Les Etats-Unis et la liberté religieuse dans le monde, IFRI (2002), p. 2
- Circulaire du 27 mai 2005 relative à la lutte contre les dérives sectaires
- ISBN 978-0978869496 Édition originale parue aux États-Unis en 2007 sous le titre : Peace is Possible – The Life and Message of Prem Rawat, Mighty River Press,
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