- Philippe Ploncard d'Assac
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Philippe Ploncard d'Assac 
Naissance 1936 Nationalité 
FrançaisProfession Neurochirurgien
Journaliste
EssayisteFamille Jacques Ploncard d'Assac Philippe Ploncard (dit d'Assac[1]), né à Paris le 21 juin 1936, est un neurochirurgien, journaliste et un essayiste français appartenant à la mouvance nationaliste et traditionaliste. Il est le fils de Jacques Ploncard d'Assac dont il poursuit les enquêtes de type antimaçonnique.
Sommaire
Biographie
Neurochirurgien de formation, il a été Chef de Clinique à l'Hôpital Universitaire de Genève et ancien Professeur Invité à l'Université de Bruxelles[2]. Membre du Front national, tout en habitant à Bruxelles, il quitte le parti dans les années 1990, après avoir été convoqué devant la commission de discipline pour ses attaques très virulentes contre la franc-maçonnerie dans le cadre de la campagne référendaire contre le traité de Maastricht[3],[4].
Il s'installe peu après à Toulon, où il dirige les Cercles nationalistes français, dotés d'une revue mensuelle intitulée La Politique, sous-titré « La Lettre de Philippe Ploncard d'Assac », dont le premier numéro (avril 2001) dénonçait une récupération par la Grande loge nationale de France du Front national[5].
En 2000, année où parut son livre sur le nationalisme français, il s'est livré à un « entretien courtois » avec Serge de Beketch (« Mon but n'est pas de plaire, il est de rappeler la doctrine nationaliste ») dans Le Libre Journal de la France courtoise, n° 210 du 1er juin 2000. Serge de Beketch lui attribua une chronique dans son journal et dans son émission sur Radio Courtoisie. Mais Serge de Bekecth les lui retira suite à des attaques contre le GRECE, le Club de l'Horloge et certains prêtres de la Fraternité Saint-Pie X.
Philippe Ploncard d'Assac a collaboré à plusieurs revues dont Dualpha (« Revue de politique, d'histoire et de littérature »).
Thèses
Il dénonce depuis longtemps un « clan gnostique » à l'intérieur de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X qui regrouperait les abbés Philippe Laguérie qui a aujourd'hui quitté la FSSPX, Grégoire Celier et Guillaume de Tanoüarn (qui a aussi quitté la FSSPX depuis), principaux instigateurs de la « pénétration gnostique crypto-maçonnique » dans le milieu catholique traditionaliste[6].
Publications
- Médecine
- Précis de techniques microchirurgicales, Paris, Editions Doin, 1975, 95 p. ;
- Politique
- Le Nationalisme français. Origine, doctrines, solutions, avec une préface de Henry Coston, Duquesne diffusion, 2000, 160 p.;
- Enquête sur la « Nouvelle Droite » et ses « compagnons de route », Toulon, Société de philosophie politique, 2003, 159 p. ;
- Le Complot. L'infiltration maçonnique dans la FSSPX, Toulon, Société de philosophie politique, 2004, 100 p. ;
- L'Église occupée, Les origines de la crise de l'Église, Toulon, Société de philosophie politique, 2005, 219 p. ;
- Le Complot Mondialiste, Toulon, Société de philosophie politique, 2007, 122 p. ;
- La Maçonnerie, Toulon, Société de philosophie politique, 2007, 304 p. ;
- Sarkozy ou la mort programmée de la France, Éditions de Chiré, 2010.
Notes et références
- « Ploncard Philippe, agissant pour lui-même et ses trois enfants mineurs, avait demandé à ajouter légalement à son patronyme la mention « d'Assac », nom de plume illustré par son père. Cela lui fut refusé le 9 août 1987 et à nouveau le 8 février 1995 », d'après Le Libre Journal de la France courtoise n°341, 2 février 2005.
- D'après sa présentation sur Libre-Diffusion.
- Tome V du Dictionnaire de la politique française d'Henry Coston, Éditions de l'an 2000, p. 399 (article « PLONCARD D'ASSAC Philippe »).
- Entretien avec Franck Abed : http://www.franckabed.com/video.php?id=23.
- Lectures françaises n°529, mai 2001, pp. 34-35.
- Voir à ce sujet « Les fidèles meurtris de la Fraternité Saint-Pie X », Le Figaro , 20 septembre 2004 et « Nelly contre les chasseurs de Gnose (Couvert, Ploncard d'Assac, de Lassus) », 25 septembre 2004.
Liens externes
- « Le nationalisme français », Site des Cercles Nationalistes Français
- « Un droit pour la Vie : Éthique et société », article écrit pour « Laissez-les-Vivre – SOS Futures Mères », mars 1990.
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