Marie d'Agreda

Marie d'Agreda

María de Ágreda

Bienheureuse María Jesús de Ágreda

María de Ágreda, ou Marie d'Agréda (1602-1665), est une religieuse et une mystique espagnole.

Née à Agréda en Vieille-Castille, dans une famille de quatre enfants, elle entra dans l'ordre de l'Immaculée-conception le 13 janvier 1619 avec sa mère et sa sœur, alors que son père et ses frères entrèrent dans les frères du Saint-Sacrement.

À partir de 1620, elle aurait vécu une série de vision extatiques du Saint-Esprit, de la passion du Christ, de la Pentecôte, de l'Enfant-Jésus et de la Reine des anges. Elle tombait en ravissement devant le Saint-Sacrement et semblait avoir un don de lévitation. Elle dut toutefois subir des assauts occultes.

Choisie comme abbesse en 1627, elle aurait reçu des apparitions de la Sainte Vierge la même année, qui l'aurait chargée de la mission d'écrire l'histoire de sa vie. Elle dut reconstituer ses notes face aux réticences de son premier confesseur face à ses propres inquiétudes.

Son œuvre principale est La Cité mystique. Ce livre fut au départ l'objet d'une controverse, ayant été critiqué par Bossuet, mais il fut réexaminé sur l'ordre de Benoît XIV et réédité en 1862 et 1926.

Décédée en 1665, sa cause en béatification fut introduite en 1671 et elle fut déclarée vénérable huit années plus tard.

Sommaire

Biographie détaillée

María Fernandez Coronel, plus connue sous le nom de Sr. Marie de Jésus, est née à Agreda, Province de Soria (Castille et Léon), le 2 avril 1602, dans une famille de quatre enfants, de Francisco Coronel et de Catalina Arana.

Son existence entière se déroula dans sa ville natale. Le 13 janvier 1619, à un peu plus de seize ans, elle entra dans un ordre franciscain : l'ordre de l'Immaculée-conception (conceptionnistes déchaussées, placées sous la juridiction des Frères Mineurs). Elle prit l'habit dans la maison paternelle transformée en couvent, avec sa mère et sa sœur alors que son père et ses deux frères entraient dans un autre ordre franciscain, les frères du Saint-Sacrement [1]. C'est d'ailleurs devant son père, devenu frère franciscain, qu'elle prononça ses vœux le 2 février 1620[2]. Elle ne sortit plus de la clôture jusqu'à sa mort.

Ses premières années de vie conventuelle furent marquées de nombreuses tentations et par des difficultés extraordinaires, comme les phénomènes mystiques extérieurs qui attiraient la curiosité de l'entourage (extases, lévitations, bilocations…). Elle demanda au Seigneur d'en être délivrée et elle l'obtint.

La seconde époque de sa vie commence lorsqu'elle est élue abbesse en 1627; elle a vingt-cinq ans. Elle sera réélue jusqu'à sa mort, à l'exception des trois années (1652-1655), à sa demande. Durant son gouvernement de trente-cinq ans, elle maintient la vie et l'observance régulières et fait prospérer les biens de la communauté. Elle construit un nouveau couvent inauguré en 1633; en même temps elle augmente notablement les revenus, au point de pouvoir faire vivre trente-trois religieuses, au lieu des douze qu'elle dirigeait au début de son abbatiat.

Elle eut comme conseillers spirituels deux franciscains, théologiens et savants : Fr. Francisco Andrés de la Torre, de 1623 à 1647, et Fr. Andrés de Fuenmayor, de 1650 jusqu'à sa mort.

Trois écrits historiques sont particulièrement significatifs de la vie féconde de Marie d'Agreda : La Mistica Ciudad de Dios, son principal ouvrage commencé en 1637, sa correspondance avec Philippe IV d'Espagne, inaugurée en 1643, et l'examen personnel que lui fit subir le tribunal de l'Inquisition en janvier 1650.

L'année de son élection (1627), Marie d'Agreda reçoit ses visions. Prise dans un tourment intérieur, elle attend dix ans avant d'écrire ses révélations [3]. Un confesseur occasionnel lui fit brûler ses écrits, car "les femmes ne devaient point écrire dans la sainte Église" [4] mais le confesseur ordinaire de la communauté lui donna l'ordre de la réécrire. Ce qu'elle fit, du 8 décembre 1655[5] au 6 mai 1660,[6] peu de temps avant sa mort, en surmontant des répugnances, conflits et tentations intenses.

Son procès par l'Inquisition espagnole eut lieu d'abord en 1635, mais reprit vraiment le 18 janvier 1650. Au terme de ce procès, son œuvre fut approuvée par ce tribunal.

Marie d'Agreda mourut le 24 mai 1665, jour de la Pentecôte. Une telle foule entoura le monastère pour vénérer sa dépouille que le Gouverneur dut employer la force afin de le dégager. A la suite des prodiges dus à son intercession, sa cause fut introduite le 21 novembre 1671 [7] et déclarée Vénérable par décret du Pape Clément X le 2 septembre 1679. Il introduisit sa cause de béatification (canonisation) peu après.

Son œuvre fut une des plus amples polémiques religieuses de la fin du XVIIe siècle et dura jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. Compte-tenu des polémiques soulevées, son procès en canonisation resta en suspens.

"La Cité mystique de Dieu"

Le contenu

Les huit livres de la Mistica Ciudad de Dios, réécrits trente-trois ans après les visions primitives, suivent l'ordre de la vie de la Vierge Marie. L'ouvrage comprend trois parties :

  • de la prédestination de la Vierge jusqu'à l'Incarnation (livres 1-2),
  • de l'Incarnation à l'Ascension du Seigneur (livres 3-6),
  • de l'Ascension à l'Assomption et au couronnement de Marie au ciel (livres 7-8).

Chaque partie est précédée d'une introduction et, à partir du chapitre 16 du premier livre, d'une "Doctrina que me dio la Reina del cielo". Cet enseignement donné et une exhortation clôturent chaque chapitre qui décrit un épisode de la vie de Jésus (livres 3 à 6) et de Marie (livres 1 à 8). Le sujet de cette histoire reste cependant Marie, Cité mystique en laquelle Dieu habite et se complaît.

La seconde version, la seule que nous connaissions, est probablement enrichie d'enseignements spirituels plus importants que dans la première [8].

Le style

Le texte adopte le genre narratif, clair et méthodique. La situation d'autorité dans laquelle Marie d'Agreda vécut toute sa vie et l'époque où elle écrivit donne une tonalité particulière à son style. La traduction française, 1715, date son œuvre qui se lit pourtant facilement.

Il ne s'agit pas d'un exposé doctrinal et théologique, (même si l'on y trouve beaucoup de théologie et de doctrine spirituelle). La narration des épisodes de la vie de Jésus et Marie alterne avec les enseignements donnés par Marie pour une portée spirituelle et universelle.

Les souffrances de son auteur

Maria d'Agreda s'explique elle-même sur le tourment que fut l'élaboration de cette œuvre : "le Très-Haut a crucifié mon cœur durant toute ma vie par une continuelle frayeur que je ne puis exprimer, et qui est causée par l'incertitude où je me trouvais, ne sachant si j'étais dans le bon chemin, si je perdais son amitié ou si je jouissais de sa grâce" [9].

Le témoignage de son dernier confesseur, Fr. Fuenmayor, consigné par le tribunal de l'Inquisition, confirme que la composition de cette œuvre "fut une douloureuse passion et une croix pour son auteur". [10].

La polémique

A la mort de Marie, d'autres difficultés surgirent. En effet, le procès en vue de sa béatification demandait l'examen de la Cité mystique de Dieu. Une commission diocésaine rendit un jugement favorable en 1667. En même temps l'ouvrage était révisé par une commission de huit théologiens franciscains, révision qui servit de base à l'édition princeps de 1670. Plus tard, en 1674, l'ouvrage fut déféré à l'Inquisition espagnole, qui l'approuvait en juillet 1686 après un long examen de quatorze ans. Entre-temps, les adversaires de la Cité mystique de Dieu avaient fait appel à l'Inquisition romaine. Ce tribunal suprême publia un décret prohibant la lecture de l'œuvre, le 4 août 1681, mais les rois d'Espagne obtinrent des Papes Innocent XI, puis d'Innocent XII que la publication de ce décret soit suspendue là où elle n'avait pas encore été faite.

Au milieu d'autres vicissitudes et pendant qu'une commission de trois cardinaux nommés par Innocent XII étudiait à Rome les livres de Marie d'Agreda, l'attaque et la censure les plus dures vinrent de la Sorbonne (1696). Contre l'université parisienne, celles d'Alcala et Salamanque (1699), Oviedo, Grenade, Saragosse, Toulouse, Vienne, Perpignan et Louvain (1715) donnèrent un avis favorable. En même temps paraissait une vague d'apologies et de défenses réfutant les allégations des docteurs de Sorbonne. On sait que Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux [11] et Eusèbe Amort, un théologien allemand, furent des adversaires acharnés de l'œuvre de Marie d'Agreda.

En 1700 moururent le roi Charles II d'Espagne, très favorable à la cause de Marie d'Agreda, et le pape Innocent XII; ils laissaient le procès inachevé. Par la suite, Benoît XIV s'intéressa beaucoup à la Cité mystique de Dieu; il se réserva le jugement qui reconnaîtrait l'authenticité du texte de l'ouvrage conservé en huit tomes au couvent d'Agreda (7 mai 1757). Sous Clément XIV le procès de béatification fut repris, mais sans résultat positif. Les choses en restèrent là. Toutefois, en 2002, pour le 400ème anniversaire de sa naissance, la demande a été relancée.

Les autres écrits

Les lettres échangées avec Philippe IV d'Espagne

Les Cartas del Rey nuestro Señor para Sor Maria de Jesùs y sus Respuestas forment 614 lettres publiées en deux volumes. On les a étudiées sous les aspects historique, politique et spirituel comme témoins du siècle d'Or espagnol.

Marie d'Agreda, dans une lettre conservée au couvent d'Agreda, en dit l'origine. "Le roi [...] passa en ce lieu et entra en notre couvent le 10 de juillet de 1643, et il me donna commandement de lui écrire; je lui obéis". Peut-être ce monarque chercha-t-il ainsi une consolation dans les malheurs qui atteignaient son règne.

L'examen du tribunal de l'Inquisition

En 1635 s'ouvrit un procès sur ce qu'on disait de la moniale; on se borna alors à interroger divers témoins et informateurs. Mais en 1649 le procès reprit et Marie y prit part directement. Le 18 janvier 1650 son interrogatoire commença au couvent d'Agreda et dura jusqu'au 29, à raison de six heures par jour sauf le dimanche. Les réponses de Marie donnèrent satisfaction aux qualificateurs du Saint-Office; ils approuvèrent la sainteté et la science de Marie, et l'inquisiteur général confirma leur approbation.

L'œuvre et l'Église catholique

L'Église et les révélations privées

La position de l'Église catholique sur les révélations privées est rappelée dans les articles 66, 67 et 514 du Catéchisme de l'Église Catholique (1992).

Les deux premiers rappellent qu'elles ne sont pas une alternative à l'Évangile : "Au fil des siècles il y a eu des révélations dites "privées", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église. Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la foi. Leur rôle n’est pas "d’améliorer" ou de "compléter" la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire".

Le troisième en souligne cependant tout l'intérêt : "toute la vie du Christ est un mystère et […] Beaucoup de choses qui intéressent la curiosité humaine au sujet de Jésus ne figurent pas dans les Évangiles". Il ne fait ainsi que reprendre ce que dit Jean à la fin de son évangile (Jean 20,30-31 et Jean 21,24-25).

Valeur théologique de l'œuvre

Dans l'œuvre de Marie d'Agreda, la doctrine relative aux prérogatives et aux fonctions de la Mère de Dieu s'inspire de l'Écriture, en particulier de l'Apocalypse de Jean. Parmi les enseignements de Marie d'Agreda sur l'Immaculée Conception, l'assomption, la corédemption, la médiation universelle, la royauté, sur le rôle de mère et de maîtresse que remplit la Vierge Mère envers l'Église, certains ont été par la suite confirmés dogmatiquement.

Sans aucun doute, il est parfois difficile de distinguer entre ce qui relève de la révélation privée et ce qui est le fruit d'un savoir. Il arrive que Marie d'Agreda dise ne pas pouvoir bien discerner l'un de l'autre. Mais elle est très consciente de la clarté plus ou moins grande des lumières qu'elle reçoit [12].

L'Église n'a pas donné d'avis définitif sur l'œuvre majeure ni sur le procès de béatification de Marie d'Agreda et sa doctrine spirituelle n'a pas encore été étudiée d'une manière satisfaisante. Les erreurs qu'on lui reproche, ont bien souvent pour origine une lecture partielle de l'œuvre. Sur ce plan, le discernement reste donc de rigueur.

Marie d'Agreda et les autres voyantes

Marie d'Agréda n'est pas la seule ni la première voyante à recevoir des visions de l'Évangile. De grandes saintes en ont bénéficié comme sainte Hildegarde de Bingen (1098-1179), sainte Angèle de Bohême (+ 1243), sainte Gertrude de Helfta (1256-1302), sainte Brigitte de Suède (1302-1373), sainte Thérèse d'Avila (1515-1582), et sainte Marie-Madeleine de Pazzi (1568-1607), et d'autres. Mais elles ne fournissent que des visions limitées sur divers aspects de la vie de Jésus.

Marie d'Agréda est par contre la première à recevoir des visions aussi complètes, (relatées en 1.800 pages environ) même si des pans entiers de la Vie Publique de Jésus ne sont pas mentionnés. Elle inaugure ainsi les visions monumentales que recevront plus tard la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich (Anna Katharina Emmerick; 1774-1824) et Maria Valtorta (1897-1961) ou, à un degré moindre, Consuelo, une contemporaine qui semble reprendre à son compte le récit de Marie d'Agréda [13].

Malheureusement, la rédaction tardive (à trente-trois ans d'écart) de ses visions a certainement permis à des souvenirs personnels d'interférer dans la vision initiale, ce qu'elle reconnaît elle-même. Quelle peut être dans ce cas l'influence de ses lectures des autres récits et notamment des apocryphes ? Même si cette influence est possible, voire certaine, elle semble rester relative et limitée. En effet :

  • Les Apocryphes mêlent relations authentiques et imaginaires. On ne sait donc jamais si une similitude de récit traduit la part relatée ou la part imaginée. Il faut croiser l'analyse avec d'autres sources.
  • Les Apocryphes ou les autres récits de visions, ne couvrent pas la totalité des faits reportés par l'œuvre de Marie d'Agréda. Elle va bien au-delà du Protévangile de Jacques, de L'Evangile de l'enfance du Pseudo-Matthieu ou du Livre de la Nativité de Marie. Même la Légende Dorée du Bienheureux Jacques de Voragine, recension célèbre de différentes sources, ne couvre pas la totalité des faits relatés par Marie d'Agréda.

Bibliographie

Les sources biographiques majeures sont :

  • la relation autobiographique de Marie d'Agreda reprise en introduction de La Cité mystique de Dieu,
  • la relation de José Jiménez Samaniego, Provincial des franciscains qui assista Marie d'Agréda à sa mort et fut son premier biographe,
  • et les procès ordinaire et apostolique en vue de la béatification.

La plupart des sources sont en espagnol.

Œuvres de Marie d'Agreda

  • Mistica Ciudad de Dios. Première édition espagnole en 1670. Cette œuvre a donné lieu à 168 traductions diverses. La traduction française du P. Thomas Croset, "La Cité mystique de Dieu", date de 1715. Elle a dernièrement été rééditée en fac-similé par les éditions Téqui (éditions Saint-Michel) 2006 – F 53150 Saint-Cénéré. On peut la consulter en ligne sur le site de l'abbaye Saint-Benoît
  • Vie divine de la Très Sainte Vierge Marie. Résumé de La Cité mystique de Dieu établi par le Chanoine Victor Viala. En fac-similé par les éditions Téqui – F 53150 Saint-Cénéré.
  • Cartas del Rey nuestro Señor para Sor María Jesús y su Respuestas. Deux volumes, couvent d'Agreda. Première édition française partielle : La S. Marie d'Agréda et Philippe IV… Correspondance inédite – Manuscrit de A. Germond de Lavigne, Bibliothèque Nationale, Paris 1855 (42 lettres).
  • Divers écrits spirituels. Couvent d'Agreda

Publications sur Marie d'Agreda

  • La Mística Ciudad et la controverse – Andrès de Fuenmayor, ses dépositions au procès diocésain. Manuscrit au couvent d'Agreda.
  • Remarques sur … La mystique cité de Dieu. Jean-Bénigne Bossuet dans "Œuvres complètes".
  • Dictionnaire pratique des connaissances religieuses, Paris, 1926.
  • René Bouvier, Philippe IV et Marie d'Agreda, Paris, 1939, Fernand Sorlot.
  • Dictionnaire de spiritualité encyclopédie réalisée sur l'initiative des Jésuites. Notice de Julio Campos (Ed. Beauchesne, 1960).
  • F.-G. de Cambolas, Maria d' Agreda et la Cité Mystique de Dieu, 2003, France Europe Editions.
  • Javier Sierra[1], La Dama Azul (roman), Barcelona, Martínez Roca, 1998.

Notes et références

  1. La Cité mystique de Dieu - Introduction à la vie de la Reine du Ciel - § 19
  2. Idem
  3. La Cité mystique de Dieu – Introduction à la vie de la Reine du Ciel, § 6 et 7
  4. Ib - § 19
  5. Idem
  6. La Cité mystique de Dieu - Livre 8, chapitre 23, § 18, page 667
  7. 24 août 1672 selon le chanoine Viala, dans son introduction à la Vie divine de la Très sainte Vierge Marie
  8. La Cité mystique de Dieu – Introduction à la vie de la Reine du Ciel, § 15
  9. La Cité mystique de Dieu – Introduction à la vie de la Reine du Ciel, § 6
  10. Questions 45 et 58
  11. "Remarques sur … La mystique cité de Dieu". Jean-Bénigne Bossuet dans "Œuvres complètes"
  12. La Cité mystique de Dieu, livre 1, chapitre 2, § 14 et 15
  13. "Marie Porte du Ciel" (María, puerta del cielo) éditions du Parvis, 1992 et "Marie Etoile de l'évangélisation" (María, Estrella de la Evangelization) éditions du Parvis, 1995
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