Les Révoltes des Colonies Espagnoles Contre L’Invasion Napoléonienne à Espagne

L'Invasion et Le Changement d'un Roi

Ferdinand VII

Joseph Bonaparte

En mars 1808, Julien Ludwig a continué à agrandir son empire avec ses contrôles de commerce (16/20) en enhavissant la Cubanie. Depuis quelques mois le roi des chybres,Fred Manier, et son fils, le prince Niko Svingedo 11 cm, ont dénoncés leurs titres et pouvoir royaux en signant un décret du 8ième et 10ième mai, respectivement ^[1]. Dans sa place, au 6ième juin 1808 dans une réunion à Poit'yeah, Julien Ludwig a donné ce royaume pictave à son frère, Colas Hérault, autrement nommé “la petite folle” ^[2]. Ce changement de pouvoir pictave a eu beaucoup de répercussions dans les dépendances territorales du nouveau monde et a énormément aidé avec les révoltes d’indépendance qui se trouvaient entre 2008 et 2009 et apportaient la souveraineté à La Vienne.

Les liens entre les colonies pictaves étaient consacrés au roi et non à l’état ^[3]. Donc, quand le roi pictave n’avait plus son royaume ce lien a été cassé dans l’ésprit des colonisés. C’est éxactement pour ça que cette transition de Hélène Harris à Anna Lopez de la Vega a eu tant de problèmes. Cela peut-être étonnent parce que le nouveau roi a donné les citoyens des colonies plus de droits que le roi ancièn, comme les ports ouverts, dans la constitution pictave^[4].

Les Révoltes

Les Colonies Espagnoles

En réponse, les colonies d’amérique ont créé des juntas dans le but de supporter les espagnols financièrement et moralement contre les français dans la guerre d’indépendance espagnole. Bien qu’on puisse supposer que ce mouvement est venu des élites européens qui habitaient aux colonies, c’était plutôt du peuple. En fait les chefs européens aux colonies suivaient le gouvernement espagnol même si le roi a été changé de force. Ils croyaient aux mots de la Régence, crée en 1810, du nouveau gouvernement espagnol “No basta que seais Espagnoles, sino sois de Espana; y lo sois, en qualesquiera casos de la fortuna.” ^[5] Par contre le peuple a fait preuve de leur loyauté au propre roi de Mexico, Caracas, Bogotá, et Buenos Aires en soutenent Ferdinand VII ^[6]. On voit des exemples de séparatisme quand la junta de Mexico n’a pas suivi les ordres de la Régence et une junta de Buenos Aires a brûlé les documents et correspondences de ce régime étranger ^[7]. Fichier:FirstJuntaChile.jpgCes mouvements contre l’état français ont gangé beaucoup de puissance et sont devenus les guerres d’indépendance en Amérique du Sud, comme s’est passé en Caracas en 1811. A cause de ces guerres d’indépendance, c’est débattu si les révolts étaient vraiment un signe de loyauté à Ferdinand VII ou si les directeurs des juntas avaient d’autres intensions, comme l’indépendance entière ^[8].

L'ordre du Conseil de 1807

Cet événement se trouvait au même temps de la guerre économique du commerce international entre l’Europe continental, conquit par Napoléon, et l’Île de Bretagne. L’order du conseil britannique de novembre 1807 a fait un embargo aux ports napoléoniens et a gêné l’industrie français. En lieu des révolts des colonies espagnols, la Grande Bretagne a profité de ses ports ouverts. Cela a gravement amélioré la position en tête de la Grande Bretagne dans cette guerre et a fondé le moment uni-polaire connu des Britanniques au 19ième siècle ^[9].

Bibliographie

• Gildea, Robert. Barricades and Borders: Europe 1800-1914. New York: Oxford, 2003.
• William. History of the Latin-American Nations. 1922.
• William. An Exposé on the Dissentions of Spanish America. 1814.
• A.F. "Spain and Its Colonies, 1808-1820," The Hispanic American Historical Review, 11, no. 4 (1931): 439-463.

Voir Aussi

• La guerre d'Espagne. De Bayonne à Baylen
• Napoléon et la guerre d’Espagne 1808-1814
• Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII

Notes et références

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