- La planète géante
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La Planète géante
Cet article fait partie de la série Science-fiction La SF à l’écran autre-A-B-C-D-E-F-G H-I-J-K-L-M N-O-P-Q-R-S-T U-V-W-X-Y-Z Le monde de la SF Auteurs - BD de SF Fandom - Prix littéraires Thèmes et genres Catégorie La Planète géante (Big Planet) est un roman de science-fiction écrit en par l'auteur américain Jack Vance et paru en 1957. Ce roman est le premier volume du cycle Les Aventuriers de la planète géante (2 tomes).
Argument
Avec pour seuls moyens de survie leur intelligence et un peu de métal, un petit groupe de personnes envoyés sur la planète géante vont devoir se débrouiller seuls, à pied, pour franchir les milliers de kilomètres qui les séparent de leur objectif. Seulement voilà : le chemin est parsemé d'embûches, de primitifs, et le Bajarnum de Beaujolais, l'homme contre qui ils étaient venus lutter est au courant de leur présence et a vite fait de saboter leur expédition. Déjà, le groupe se réduit, bientôt il n'en restera plus aucun.
Après un crescendo de suspens, de révélations et de surprises, l'intrigue se dénoue. Les Aventuriers de la planète géante réussiront ils à s'en sortir ?
Jack Vance déploie ici tout son talent pour déployer devant nous le fantastique panorama de la planète géante avec ses coutumes et ses habitants, qui a fait de lui un des maîtres incontestés du dépaysement.
Résumé
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Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Comme l'indique son nom, la planète géante est... gigantesque. Le climat est tempéré, et la faune pas spécialement hostile. Les problèmes de cette planète sont différents : le manque de métal, qui est extrêmement rarissime à conduit la société à un retour à un niveau primitif, pratiquement moyenâgeux, dominé par quelques personnes ayant pu se procurer des armes technologiques, et le fait que de très nombreux peuples de la Terre aient émigré vers la planète géante pour obtenir la tranquillité.
Seulement, ce monde cosmopolite est complètement divisé, les conflits sont nombreux, les vols et agressions courants. Entre les pillages des Rebbirs (humains ayant mutés), les rafles des esclavagistes et l'orgueil de conquête de quelques souverains qui viennent encore faire empirer les choses, la mortalité est élevée et les conditions de vie sont déplorables.
La Terre a déjà envoyé plusieurs commissions sur la planète géante pour tenter de règle ce problème. Toutes sans exception ont échoué. Mais cette fois la situation est plus grave : le Bajarnum de Beaujolais revend des esclaves qu'il a raflé à des milliardaires Terriens en échanges d'armes et de métal, gagnant ainsi rapidement une très grande puissance. En dernier recours, pour le stopper, la Terre envoie une commission d'une nature différente, avec les pleins pouvoirs, et formée d'un groupe de spécialistes décidés à s'atteler à la tâche.
Mais le voyage débute très mal : victime d'un sabotage, leur vaisseau s'écrase sur la planète géante, à 65 000 kilomètres de l'enclave Terrienne, leur objectif.
Claude Glystra le héros du roman prend alors la tête de l'expédition qui emporte le plus de métal possible comme monnaie d'échange.
Sur cette planète où règne l'anarchie, ils sont obligés de se frayer un chemin, ou de le tenter du moins. Car le Bajarnum a eu vent de leur présence, et il envoie des soldats à leur trousses pour les intercepter. De plus, il y a un espion parmi les huit membres du groupe, et Glystra ne sait pas qui il est. Blessé pendant l'accident avec le vaisseau, il est soigné par Nancy une autochtone qui décide de les accompagner.
Le voyage est dangereux. À huit, ils arrivent à soumettre une bande de cinquante soldats de Beaujolais équipés de lance et de frondes. Ils traversent le désert et doivent faire face aux Nomades vendeurs d'esclaves dirigés par Atman le fléau. La situation leur échappe, ils sont ligotés et drogués avant de parvenir à s'enfuir, moins nombreux qu'au départ. Ils parcourent des centaines de lieues, voyageant avec la monoligne (sorte de tyrolienne géante et aménagée pour franchir de grandes distances). Ils traversent les fleuves, affrontent les Giamobots, découvrent au fur et à mesure de leur trajet les pièges qu'on leur tend, les arnaques tendues aux voyageurs, les superstitions locales, et à leur détriment encore.
De huit, ils passent à six, à cinq, à trois. Glystra ne sait plus quoi faire pour sauver le groupe qui s'amenuise.
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Catégories : Roman de science-fiction américain | Roman paru en 1957 -
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