- Alex Mucchielli
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Alex Mucchielli est originaire de Ghisoni en Corse. Il est le fils de Roger Mucchielli, et le frère aîné de Jean-Louis Mucchielli. Il fut professeur à l’Université Paul Valéry-Montpellier III de 1980 à 2008, et fondateur du département des Sciences de l'Information et la Communication en 1989. Son approche s'inscrit dans l'héritage de l'École de Palo-Alto. Depuis 2009, il est le concepteur, et le directeur de la publication d'un site de formations à distance en management et communication mettant en œuvre ses concepts pédagogiques[1].
Sommaire
Origines
Les Mucchielli sont originaires de Corse. Le nom des Mucchielli viendrait de mucchiello, terres, au dessus du village de Ghisoni qui étaient recouvertes de cistes (mucchio, en corse). Alex Mucchielli, aîné de sa famille, est né en 1943, à Saint Ferdinand, dans le département d’Alger, alors que son père Roger, finissait la guerre comme officier de la division Leclerc en perdant son bras à la bataille du Bourget, après la prise de Paris. Il quitte dès son plus jeune âge l’Algérie.
Formation pluridisciplinaire à la recherche
Alex Mucchielli fait ses études secondaires au Lycée Clemenceau, à Nantes, puis au Lycée Technique Chevrollier, à Angers où il obtient le bac « Mathématiques et technique », en 1960. C’est de ces années de formation « technique » (dessin industriel, maquette, atelier, géométrie dans l’espace…), qu’il acquiert le goût des schémas et des représentations spatiales qu’il utilisera plus tard dans la « systémique qualitative », systémique de 3e génération, dont il sera l’inventeur, après que la systémique, sans schémas, de Watzlawick l’eut déçu[2],[3],[4].
Tout en étant maître d’internat à Saint Malo, il mène de front, à Rennes, une licence et un DES de Physique ainsi qu’une licence de Psychologie (1965). Il finit sa maîtrise de psychologie en choisissant la psychologie sociale à Aix en Provence et un certificat de neurophysiologie à Marseille.
Après son service national, fait dans la Marine, à Toulon au CERPA (Centre d’étude et de recherche sur la veille et le stress des marins) (dont il sort avec le grade d’Enseigne de Vaisseau de 2e classe et le diplôme d’informatique du CNAM), il est recruté comme collaborateur technique CNRS au Laboratoire de neurophysiologie de la faculté des Sciences de Nice. Le directeur du Laboratoire lui demandant de mettre ses diverses compétences au service de la modélisation électronique des comportements des animaux de l’animalerie (Protoptère et Galagos). C’est de là que lui est venu le goût de la « modélisation », c’est-à-dire de la représentation, simplifiée mais réaliste, du fonctionnement détaillé des phénomènes[5],[6]. C’est à cette époque qu’il écrit le premier des 65 ouvrages qu’il publiera : « Cybernétique et cerveau humain », Bordas, 1972, ouvrage dans lequel on trouve déjà tout son intérêt pour les schémas, la systémique et le fonctionnement des ensembles de processus.
Ce goût pour la modélisation et l’analyse des processus sous-jacents du fonctionnement des choses le conduit à faire une thèse de 3e cycle de philosophie, à Aix-en-Provence, avec le grand épistémologue Gilles Gaston Granger. Une thèse sur les types de modèles utilisés dans les sciences humaines : « Analyses et comparaisons sur les modèles des sciences humaines » (1970). De cette thèse il ressortait que les modèles axiomatiques rendaient mieux compte des « réalités » psychologiques en étant plus prédictifs. On retrouvera, 30 ans plus tard, ce souci de la prédiction dans sa méthode de « l’analyse des situations vécues par le tableau panoramique », partie forte de sa « sémiotique situationnelle » [7].
Alex Mucchielli est recruté comme assistant de psychologie dans le Département de philosophie de l’Université de Reims. Il est, en même temps professeur à l’ESCP et directeur du Département de psychologie sociale de cette Grande École de commerce. Il soutient sa thèse d’État ès Lettres et Sciences Humaines sur « Les mécanismes de défense sociale », en 1978 (synthétisée en un « Que-sais-je ? », l’année suivante). Dans cette recherche, il montre que, face aux « mécanismes de défense du moi » contre l’angoisse, étudiés par Freud, il existe d’autres mécanismes qui sont dirigés vers l’extérieur de l’individu et qui visent à le protéger contre les menaces et les atteintes à son identité et à sa valeur sociale (idée que l’on retrouve dans ses : « Que-sais-je ? » sur « L’identité » et « Les motivations ».
Carrière de chercheur
L’année suivante, à 36 ans, Alex Mucchielli est recruté comme professeur de sociologie à l’Université de Montpellier III par le professeur Jean Servier (grand nom de l’ethnologie d’alors). Celui-ci lui confie la Direction du Département de Sociologie de cette Université (1980-1985).
Alex Mucchielli est ensuite élu directeur de l’U.F.R. « Sciences du sujet et de la Société », associant les psychologues, les sociologues et les ethnologues (8 000 étudiants, 25 enseignants-chercheurs) (1985-1989) ; puis il fonde le Département des Sciences de l’Information et de la Communication (1989), département qui verra son nombre d’étudiants passer de 20 à 700 et le nombre de ses enseignants-chercheurs de 1 à 15, en 10 ans.
En 1990, il fonde également le CERIC (Centre d’Étude et de Recherche sur l’Information et la Communication) qui sera habilité « Equipe d’Accueil », 5 fois de suite, par le Ministère. Avec ses chercheurs, le professeur Mucchielli publie une dizaine d’ouvrages fondamentaux de méthodologie. D’abord, le fameux « Dictionnaire des méthodes qualitatives dans les sciences humaines et sociales » (3ème éd. 2009) ; puis des ouvrages comme : « Etude des communications : le dialogue avec la technologie » (2006) : « Etude des communications : approches constructiviste » (2006) [8] ; « Théorie des processus de la communication » (1998) ; « Nouvelles méthodes d’étude des communications » (1998)… Il a, par ailleurs, dirigé une trentaine de thèses et a été professeur invité aux Universités de Damas (École Polytechnique), Sherbrooke (Département d'Education), Genève (Dt de sociologie), Tunis (Institut de Presse), Antananarivo (département de français) et de Sherbrooke (Faculté de sciences de l’éducation).
En tant que membre du Comité National des Universités pendant 8 sessions (4 en sociologie et 4 en Sciences de la communication), Alex Mucchielli ne cesse de dénoncer l’évitement des efforts méthodologiques et l’émiettement stérile des recherches individualistes, sans programme, et donc sans utilité sociale. Ses efforts pour structurer sa discipline sont reconnus à l’étranger, car, en 2007, la faculté de Communication de l’Université du Québec à Montréal lui décerne une « reconnaissance de mérite scientifique » [9]. Douze de ses ouvrages ont été traduits en dix langues dont le chinois, l’arabe, l’espagnol et le russe.
Apport méthodologique aux sciences humaines
Alex Mucchielli a poursuivi l’œuvre intellectuelle de son père, Roger, qui montrait dans son ouvrage : « Introduction à la psychologie structurale » (Dessart, 1969), que ce qui compte dans les conduites des hommes, ce sont les « significations ». Il s’est efforcé de montrer comment les significations apparaissaient aux hommes. Elles sont construites à travers des « processus de contextualisation » qu’il a systématiquement étudiés dans les nouvelles méthodes qualitatives qu’il a mises au point : la « sémiotique situationnelle » et la « systémique qualitative » [10].
Il a également systématisé les processus de l’émergence des significations (« Interaction et processus d’émergence », éd. Eska, 2006) [11]. Il a organisé, à Béziers, en 1999, le premier colloque international sur les méthodes Qualitatives avec l’ARQ (Association pour la Recherche Qualitative du Québec). Il a fondé l’AIFSQ (Association Internationale Francophone pour la Systémique Qualitative) dont le siège est à Pontadelgada (Açores) et l’AIFRESSI (Association Internationale Francophone pour la Recherche en Sémiotique Situationnelle[12]). Il anime régulièrement des séminaires pour faire connaître ces nouvelles méthodes.
En 2008, Alex Mucchielli claque la porte de son Université qu’il accuse de l‘avoir trompé et de desservir totalement ses étudiants, en l’ayant fait travailler, pendant 5 ans, sur un projet d’Institut (Grande École, article 33), qui a été transformé en simple U.F.R., après que toutes les autorisations eurent été obtenues auprès des différents Ministères.Carrière industrielle
C’est alors qu’Alex Mucchielli, libéré du carcan bureaucratique et des luttes politiques internes à l’Université, commence une deuxième carrière tournée vers l’industrie de la formation dans les entreprises.
Il veut absolument faire profiter le monde professionnel des méthodes qu’il a mises au point. Pour lui, la recherche en sciences humaines n’a de valeur que lorsque ses applications peuvent être utiles aux hommes dans leur vie au travail et dans leur vie au quotidien. Ces méthodes doivent mettre à la disposition de tous, des moyens sûrs, permettant aussi bien la compréhension des mécanismes menant aux dysfonctionnements des relations que la compréhension des mécanismes sous-jacents aux conduites face aux situations de la vie.
Il rédige et publie alors, sous forme électronique, 15 « Manuels » : manuel pour travailler avec des chefs difficiles, pour affermir son pouvoir, pour mieux gérer sa hiérarchie, pour motiver ses collaborateurs, pour gérer ses collaborateurs, pour vendre ses projets et ses idées, pour faire des analyses systémiques des relations, pour concevoir des publicités persuasives, pour concevoir des e-learnings...
Après avoir mis au point les « processus primaires d’apprentissage » qui sont à la base de toutes les intégrations de compétences[13], il met au point un nouveau concept de formation à distance : les situations problématiques de la vie professionnelle sont typiques et récurrentes. Elles peuvent être répertoriées, analysées et l’on peut leur opposer un ensemble de solutions qui ont fait leurs preuves. Il faut donc que les professionnels puissent, avec les nouveaux outils du Web, avoir accès, lorsqu’ils rencontrent leurs problèmes, à différentes formes de résolution de ces problèmes. C’est là, alors « en situation », qu’ils feront le meilleur apprentissage. Ces différentes formes de résolution sont portées par des outils pédagogiques que seuls les progrès de l’informatique rendent désormais possibles : ce sont les « réseaux sémantiques d’apprentissage », les « e-learnings de simulation », les « serious games », les « textes recomposés par balisage », les « auto-tests d’évaluation des compétences », les « forum thématiques de discussion »…
Bibliographie
- Situation et communication, éd. Ovadia, Nice, 2010, 170 pages.
- La conception des publicités, éd. Ovadia, Nice, 2010, 136 pages.
- Dictionnaire des méthodes qualitatives (direction et 120 articles), Armand Colin, Paris, 3ème éd. 2009, 520 pages.
- Communication et influence. Approche situationnelle, éd. Paradigme, Nice, 2008, 128 pages.
- L’interaction et les processus d’émergence, (dir.), éd. Eska, Paris, 2007, 211 pages.
- Étude des communications : approches constructivistes, Armand Colin, Paris, 2006, 190 pages.
- Études des communications. Le dialogue avec la technologie, (dir.), Armand Colin, Paris, 2006, 205 pages.
- L’analyse qualitative en sciences humaines et sociales, en collaboration avec Pierre Paillé, Armand Colin, Paris, 2003, 211 pages, 2ème éd. 2006.
- Étude des communications : approche par la contextualisation, Armand Colin, Paris, 2004, 264 pages.
- Étude des communications : approche par la modélisation des relations, Armand Colin, Paris, 2004, 192 pages.
- Étude des communications : Approche par les processus de la communication, Armand Colin, Paris, 2004, 180 pages.
- La nouvelle communication. Epistémologie des sciences de l’information et de la communication, Armand Colin, 2001, 210 pages.
- Théorie systémique des communications, Armand Colin, Paris, 1999, 160 pages.
- Théorie des processus de la communication, (en collaboration), Armand Colin, Paris, 1998, 180 pages.
- L’analyse formelle des rêves et des récits d’imagination, P.U.F., Paris, 1992, 175 pages.
- Les situations de communication. Approche formelle, éd. Eyrolles, Paris, 1991, 131 pages.
- L’entretien projectif, en collaboration, éd. Eyrolles, Paris, 1991, 132 pages.
- L'analyse phénoménologique et structurale en Sciences Humaines, PUF, Paris, 1983, 324 pages.
- Les mécanismes de défense, P.U.F., coll. "Que sais-je ?", Paris, 1980.
Manuels professionnels- Intervention systémique dans l’entreprise, éd. Ovadia, Nice, 2010, 180 pages.
- Soyez plus malin que les cons qui vous pourrissent la vie. Techniques de manipulation persuasive pour faire passer vos projets et vos idées, Ed. Maxima, Paris, 2010, 176 pages.
- C’est moi le chef. Manuel pour affermir son pouvoir, Ed. Maxima, Paris, 2009, 142 pages.
- Je suis le nouveau chef. Manuel pour prendre son équipe en main, Ed. Maxima, Paris, 2009, 140 pages.
- Mon chef est un con. Guide d’actions concrètes pour travailler avec un chef difficile, Ed. Maxima, Paris, 2008, 100 pages.
- Psychosociologie et systémique des relations dans les organisations, en collaboration, éd. Eska, Paris, 2006, 233 pages.
- Information et communication interne. Pour de nouveaux audits, Armand Colin, Paris, 2005, 205 pages, traduction roumaine, 2008.
- Manuel de sémiotique situationnelle pour l’interprétation des conduites et des communications, numilog.com et Le Moine Copiste, 2008, 153 pages.
- Manuel pour la conception et la réalisation de formation en ligne dans l’approche socio-interactionniste, éd. Paradigme, Nice, 2008, 247 pages.
- Manuel pour la conception des formations en ligne 1re partie : stratégies pédagogiques et compétences, 120 pages, Numilog.com, 2008.
- La communication interne : les clés d’un renouvellement, Armand Colin, Paris, 2001, 206 pages.
- Les sciences de l’information et de la communication, 3ème éd. 2001, Hachette, Paris, 158 pages.
- Introduction à l’étude de l’information et de la communication. Manuel, (en coll. avec 5 auteurs), éd. d’organisation, 1995, chap. Les pratiques et les processus de la communication (60 pages).
- Manuel pour le diagnostic systémique des relations humaines, numilog.com, Cyberlibris.fr et éd. Mucchielli, 2008, 137 pages.
- Manuel de sémiotique situationnelle pour l’interprtétation des conduites et des communications, numilog.com, cyberlibris.fr et éd. Mucchielli, 2008, 152 pages, traduction Arabe, 2009.
- Manuel d’utilisation de la situation de travail pour motiver ses subordonnés, numilog.com, cyberlibris.fr et éd. Mucchielli, 2008, 140 pages.
- Manuel d’utilisation de la systémique des relations pour s’adapter à son chef et mieux manager, numilog.com, cyberlibris.fr et éd. Mucchielli, 2008, 150 pages.
- Manuel pour affermir son pouvoir lorsqu’on est manager ou responsable, numilog.com, cyberlibris.fr et éd. Mucchielli, 2008, 128 pages.
- Soigner l’hôpital. Diagnostics de crise et traitements de choc, (avec J. Hart), éd. Lamarre, Paris, 1994, 3ème éd. 2003, 167 pages.
- Le projet d'entreprise, en coll. avec C. Le Bœuf, P.U.F, « Que-sais-je ? », Paris, 1989, 2ème éd. 1994, 128 pages.
- Le projet d'entreprise, comment le concevoir et le mettre en œuvre, en coll. avec C. Le Bœuf, Ed. ESF, Paris, 1987, 2ème éd. 1991, 120 pages, traduction russe, 1994.
- L’enseignement par ordinateur, éd. PUF, coll. « Que-sais-je ? », 1987, 128 pages.
- Rôles et communications dans les organisations, Ed. E.S.F, Paris, 1983, 2ème éd. 1987, 150 pages.
- Les mentalités, analyse et compréhension, Ed. ESF, Paris, 1983, 150 pages.
- Les réactions de défense dans les relations interpersonnelles, Ed. E.S.F., Paris, 1978, 2éme éd.1980 ; traduction allemande, 1981 ; traduction italienne, 1983, 140 pages.
- Psychosociologie des organisations, éd. ESF, Paris, 1979, 150 pages.
Ouvrages de vulgarisation- Influencer, persuader, motiver : de nouvelles techniques, Armand Colin, Paris, 2009, 245 pages.
- L’art d’influencer, Armand Colin, Paris, 5 éme éd.2006, traduction roumaine (2006), traduction chinoise (2006), traduction serbe (2007), 176 pages.
- Communication : rencontre et dialogue, éd. Paradigme, Nice, 2008, 256 pages.
- Psychologie de la communication, P.U.F., Paris, 1995, traduction espagnole, 1996 (2ème édition en 2007 pour la traduction espagnole).
- Étude des communications : nouvelles approches, Armand Colin, Paris, 2006, 220 pages.
- Dictionnaire des Sciences Humaines, sous la direction de Sylvie Mesure et de Patrick Savidan, PUF, 2006 : articles : Constructionnisme, p. 197-199 ; Scientisme, p. 1059-1060 ; Systémisme, p. 1151-1152.
- La psychologie sociale, Hachette, Paris, 1994, 4ème éd. 2004.
- L’identité, P.U.F., 1988, coll. "Que sais-je ?", 6 éme éd., 2004, traduction espagnole, 2005, 128 pages.
- La nouvelle communication, Armand Colin, Paris, 2000, 214 pages.
- Approche systémique et communicationnelle des organisations, Armand Colin, Paris, 1998, 160 pages.
- Nouvelles méthodes d’étude des communications, avec la coll. de J. Guivarchh, Armand Colin, Paris, 1998,180 pages.
- Douze cas et exercices sur la communication, Armand Colin, Paris, 1998, 160 pages.
- La nouvelle psychologie, P.U.F., coll. "Que sais-je?", Paris, 1993, 2ème éd. 1995, traduction arabe, 1997.
- Communication interne et management de crise, éd d’Organisation, Paris, 1993, 207 pages.
- Les mentalités, 1985, PUF, coll. "Que sais-je ?", Paris, traduction chinoise, (Taiwan), 1988 ; traduction turque, 1991, 128 pages.
- Les motivations, P.U.F., 1981, coll. "Que sais-je ?", Paris, 7 éme éd. 2003, traduction italienne, 1982 ; traduction portugaise, 1983 ; traduction roumaine, 1991, 128 pages.
- Les méthodes qualitatives, PUF, coll. "Que-sais-je?", Paris, 1991, 2ème éd. 1994, 128 pages.
- Les jeux de rôles, P.U.F., coll. "Que sais-je?", Paris, 1980, 3ème éd. 1995, traduction italienne, 1985, 128 pages.
- L'enseignement par ordinateur, PUF, coll. "Que-sais-je?", 1987, traduction portugaise, 1988, 128 pages.
- Cybernétique et cerveau humain, Bordas, Paris, 1972.
Notes et références
- (fr)Enov Formation
- (fr) Intervention systémique dans l’entreprise, éd. Ovadia, Nice, 2010
- (fr) Étude des communications : approche par la modélisation de relations, Armand Colin, 2004
- (fr) Théorie systémique des communications, Armand Colin, 1999
- (fr)Etude des communications : approche par les processus, Armand Colin, 2004
- (fr)Théorie des processus de la communication, Armand Colin, 1998
- (fr)« Situation et communication », éd. Ovadia, 2010
- (fr)http://communication.revues.org/index797.html
- (fr)http://www.uqam.ca/nouvelles/2007/07-239.htm
- (fr)http://www.armand-colin.com/livre/269899/etude-des-communications-approches-constructivistes.php
- (fr)http://www.eska.fr/liona/revues-ps.php
- (fr)http://www.systemiquequalitative.com
- (fr)http://www.numilog.com/fiche_livre.asp?PID=53796
Liens externes
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