- Garcia Moreno
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Gabriel García Moreno
Gabriel García Moreno (Guayaquil, 24 décembre1821 - Quito, 6 août 1875) fut à deux reprises président de l'Équateur (1861-1865 et 1869-1875). Fervent catholique, il consacra son pays au Sacré-Coeur en 1873 et fut assassiné en 1875. Il mourut le vendredi Saint 1875, en prononçant ces mots: "Dios no muere!"(Dieu ne meurt pas!)
A l'issue de cette longue période d'instabilité, Gabriel García Moreno, chrétien et conservateur, réunifia le pays en 1860, en chassant de Guayaguil le général Franco, qui était soutenu par le dictateur péruvien Castilla.
Devenu président à la demande du peuple tout entier, il réforma progressivement la république, convergeant son action aux préceptes de la Royauté Sociale du Christ-Roi, proposant à maintes reprise sa démission dés que le peuple ne le soutenait pas...
Après tant d'années troublées pour son pays, après un parcours personnel édifiant, exceptionnel, parfois douloureux par l'exil forcé, Garcia Moreno instaura la Paix en deux années, y compris dans les finances publiques.
Cette paix permit la prospérité de l'Equateur pendant une quinzaine d'années, les fruits de sa politique dépassant en tout points les autres pays contemporains, y compris la France.
Cette paix ne put se faire sans le soutien de l'Église catholique, que Garcia Moreno officialisa dans les termes d'un Concordat bénéfique pour le clergé. Le peuple Equatorien tout entier s'unifia autour de son président aux qualités de vie si élevées qu'aucun autre ne put l'égaler à sa mort, en 1875, lâchement assassiné par la F.M. internationale. (Note d'un lecteur: ceci est une accusation lourde, qui nécessite a minima des références...)
De par sa vie, ses actes, et sa mort, nombreux trouvent en Garcia Moreno l'exemple à suivre pour le rétablissement du Christ-Roi dans la Cité. Certains le citent désormais comme Président Martyr. A la suite de sa mort en 1875, le pays renouera avec l'instabilité politique principalement dirigée depuis le Pérou, ennemi juré de Garcia Moreno et du peuple Equatorien.
Un ange veillait lorsqu'un homme reprit le et la trace de son ami président lâchement assassiné quelque années auparavant. Un retour aux principes appliqués par Garcia Moreno, l'exil forcé des perturbateurs libéraux permit le retour à la tranquillité de l'Equateur pendant quelques années encore. Pour preuve de l'amour qu'accordait le peuple équatorien pour son président défunt, le jour de sa mort fut jour de deuil national, non pas décrété par le pouvoir en place, mais par le peuple tout entier.Catégories : NPOV Biographie | Article soupçonné de partialité | Personnalité politique équatorienne | Naissance en 1821 | Décès en 1875
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