- À deux c'est mieux
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À deux c’est mieux est une nouvelle d’Anton Tchekhov (en russe : Oba louchtche).
Sommaire
Historique
À deux c’est mieux fut initialement publié dans la revue russe Les Éclats, numéro 13 du 30 mars 1885, sous le pseudonyme A.Tchekhonte[1].
Résumé
Les jeunes mariés font les visites à la famille et aux connaissances après la noce. Lui est mal à l’aise, car de son côté, ce n’est guère reluisant alors que du côté de sa femme, il y a une baronne et une générale, il a honte. On commence par Poupkine, oncle du marié. Il vit en robe de chambre, le divan est cassé et le piano en piteux état, il prédit du bonheur au jeune homme tant qu’il n’y a pas d’enfant "Dieu merci, ma femme a accouché d’une fois sur deux d’un enfant mort" puis l’oncle parle de ses hémorroïdes, le jeune homme invente un prétexte pour partir précipitamment.
En route pour la seconde visite, le jeune marié s’excuse pour le comportement de son oncle. La jeune mariée pleure, elle voit que son mari ne supporte pas les petites gens et lui explique que sa mère était économe chez la baronne et que la générale demande l’aumône. Soulagé, le jeune marié embrasse sa femme.
Notes et références
- ISBN 978 2 296 11343 5) Dictionnaire Tchekhov, page 7, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (
Édition française
- À deux c’est mieux, traduit par Madeleine Durand et Edouard Parayre, Les Éditeurs Français Réunis, 1955, numéro d’éditeur 431.
Catégories :- Nouvelle d'Anton Tchekhov
- Nouvelle parue en 1885
- Nouvelle publiée dans Les Éclats
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