- Abruti de l'intelligentsia
-
Abruti de l’intelligentsia est une nouvelle d’Anton Tchekhov (en russe : intelligentnoe brevno).
Sommaire
Historique
Abruti de l’intelligentsia fut initialement publié dans la revue russe Le Journal de Pétersbourg, numéro 169 du 23 juin 1885 sous le pseudonyme A.Tchekhonte[1]. Autre traduction Un soliveau cultivé[2].
Résumé
Le lieutenant de cavalerie en retraite Arkhip Pomoiev reçoit une convocation signée du juge de Paix Chestikrykov pour coups et blessures sur la personne du paysan Grégoire Vlassov. Pomoiev ne prend pas au sérieux la convocation car le juge est un ami, le parrain de son fils. Il s’y rend par curiosité et sur les conseils de son beau-frère.
Le juge est plus gêné que Pomoiev et quand ce dernier fait un esclandre, il le prend en tête à tête dans une pièce à part et lui conseille de changer d’attitude «tu te crois toujours dans l’ancien temps, hein ? C’est Grégoire qu’il rosse et c’est à Grégoire d’aller en prison !» il lui ordonne de rester ici, on le jugera sans lui. Le juge condamne Pomoiev à payer dix rouble de dommages à Grégoire, le soir Pomoiev se demande toujours pourquoi Grégoire n’a pas été condamné à la prison pour avoir oser porter plainte contre son maitre.
Notes et références
- ISBN 978 2 296 11343 5) Voir Dictionnaire Tchekhov, page 7, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (
- Un soliveau cultivé, Œuvre de A.Tchekhov 1885, traduit par Madeleine Durand et Edouard Parayre, Les Editeurs Français Réunis, 1955, numéro d’éditeur 431
Édition française
- Un soliveau cultivé, traduit par Madeleine Durand et Edouard Parayre, Les Éditeurs Français Réunis, 1955, numéro d’éditeur 431.
Catégories :- Nouvelle d'Anton Tchekhov
- Nouvelle parue en 1885
- Nouvelle publiée dans Le Journal de Pétersbourg
Wikimedia Foundation. 2010.