Phonologie du gotique

Phonologie du gotique

Cet article traite du système phonologique et phonétique de la langue gotique.

Malgré les conventions, mais pour des raisons de lisibilité, on notera les transcriptions phonologiques entre crochets droits, qui sont normalement réservés à la transcription phonétique. Les barres obliques, en effet, n'étant pas insécables, elles pourraient être rejetées à la ligne. Le macron suscrit pour noter la quantité longue sera utilisé de préférence à « ː ».


Le gotique a connu la première mutation consonantique du germanique commun (ou loi de Grimm) ainsi que la loi de Verner ; il est trop ancien pour avoir subi la seconde mutation consonantique, propre au vieux haut-allemand.

L'on peut déterminer avec plus ou moins de précision la façon dont les mots gotiques de Wulfila se prononçaient grâce à la phonétique comparée, principalement. De plus, Wulfila ayant cherché à suivre de près le texte grec qu'il a traduit, on sait qu'il a utilisé pour son alphabet des conventions identiques à celles du grec de cette époque, ce qui permet par recoupement d'en deviner la prononciation, vu que celle du grec nous est très bien connue. Enfin, la comparaison entre la manière de transcrire les nombreux noms étrangers de la Bible dans son alphabet et dans leur graphie grecque commune est très instructive.

Sommaire

Voyelles

Simples

  • [a], [i] et [u] peuvent être brèves ou longues[1]. L'écriture ne distingue la quantité que pour [i], écrit i pour la brève et ei (fausse diphtongue) pour la longue, à l'imitation des usages grecs de l'époque ; [a], [i] et [u] sont longues principalement après la chute d'une nasale devant [h] (cas d'allongement compensatoire) : ainsi, le prétérit du verbe briggan [briŋgan] (« porter », cf. anglais to bring, allemand bringen) est brahta [brāxta] (cf. anglais brought, allemand bracht), évolution de *braŋk-ta. Dans une translittération détaillée, qui tend vers la transcription, on note les quantités longues par le macron (ou, à défaut, le circonflexe) : brāhta, brâhta ; [ū] se rencontre aisément dans d'autres positions : brūks, « utile » ;
  • [ē] et [ō] sont longues et fermées ; l'écriture les note simplement au moyen de e et o : neƕ [nēʍ] (« près de », cf. allemand nach), fodjan [ɸōdjan] (« nourrir », cf. anglais to feed) ;
  • [ɛ] et [ɔ] sont brèves et ouvertes[2] ; l'écriture les note au moyen de fausses diphtongues (comme pour ei = [ī]), respectivement ai et au : taihun [tɛhun] (« dix », cf. anglais ten), dauhtar [dɔxtar] (« fille », cf. anglais daughter, allemand Tochter) ; en transcription, on écrit les fausses diphtongues et  : taíhun, daúhtar ; [ɛ] et [ɔ] apparaissent principalement devant [r], [h] et [ʍ][3] ; dans le redoublement au parfait (prés. háit-an, "nommer" → prétérit haí-háit, "j'ai nommé") ai est probablement prononcé [ɛ][4].
  • [y] (de français une), phonème d'origine grecque utilisé dans les mots d'emprunts, est rendu par [w] en position de voyelle : azwmus [azymus] (« pain azyme », du grec ἄζυμος) ; il représente un υ (upsilon) ou une diphtongue οι (omicron + iota) grecs, qui se prononçaient à l'époque tous deux [y] ; en transcription, on utilise souvent y : azymos. Il est probable que ce phonème, absent du système phonologique de la langue, ait effectivement valu [i] ;
  • la lettre w semble, dans les mots qui ne sont pas empruntés au grec après une consonne et non suivie d'une voyelle, représenter aussi un [u] ; la raison de l'utilisation de w en position de voyelle à la place de u n'est pas claire : saggws [saŋgus] (« chanson »), cf. anglais song) ;
  • il faut ajouter à cette liste (pour des raisons étymologiques) les phonèmes [ɛː] et [ɔː], limités à quelques mots et toujours devant voyelle ; la translittération comme la transcription les notent par ai et au, qui s'opposent ainsi, mais seulement dans la transcription, à ái /  et áu /  : waian [wɛ̄an] (« souffler »), bauan [bɔ̄an] (« construire », cf. allemand bauen).

Diphtongues

  • [ai] et [au] n'offrent aucune difficulté ; elles sont cependant notées dans l'écriture de la même manière que les fausses diphtongues : ains [ains] (« un », cf. allemand eins), augo [auɣoː] (« œil », cf. allemand Auge) ; pour différencier les vraies diphtongues des fausses, on transcrit les vraies par ái et áu : áins, áugo ;
  • [iu] est une diphtongue descendante comme les autres ; on la réalise donc [iu] et non [iu] : diups [diups] (« profond », cf. anglais deep) ;
  • diphtongues grecques : à l'époque de Wulfila, toutes les diphtongues du grec ancien ont été éliminées dans la prononciation et rendues par des voyelles simples (monophtongaison), sauf αυ (alpha + upsilon) et ευ (epsilon + upsilon), qui valent vraisemblablement [aβ] et [eβ] (plus tard [av] et [ev]) ; Wulfila les note, dans les emprunts au grec, par aw et aiw (ce dernier transcrit aíw puisque le digramme ai représente [ɛ]), rendus soit par [au], [ɛu] soit par [aw], [ɛw] : Pawlus [paulus] (« Paul »), du grec Παῦλος, aíwaggelista [ɛwaŋgēlista] (« évangéliste »), du grec εὐαγγελιστής via le latin evangelista ;
  • les voyelles simples et les diphtongues (vraies ou fausses) peuvent être suivies d'un [w], qui devait vraisemblablement se prononcer comme un second élément de diphtongue de timbre [u] ; il semble qu'il s'agisse plus de diphtongues par coalescence que de diphtongues phonologiques insérées dans le système de la langue (à la manière, mutatis mutandis, de [aj] dans français paille [paj], qui n'est pas une diphtongue [ai] mais la suite d'une voyelle et d'une spirante) : alew [aleːu] (« huile d'olive », du latin oleum), snáiws [snaius] (« neige », cf. anglais snow), lasiws [lasius] ([lasijus], [lasjus], [lasiws] ? ; « fatigué »).

Sonantes vocalisées

Les sonantes [l], [m], [n] et [r] peuvent jouer le rôle de sommet de syllabe (cas de vocalisation), de même qu'en indo-européen (et en sanskrit pour [l] et [r]). De fait, après consonne à la fin du mot ou entre des consonnes, ces sonantes sont prononcées comme des voyelles. C'est encore le cas dans une langue germanique comme l'anglais, par exemple, où bottle « bouteille », est prononcé normalement [bɒtl̩]. Ainsi tagl [ta.ɣl̩] (« chevelure », cf. anglais tail, « queue »), máiþms [mai.θm̩s] (« don »), táikns [tai.kn̩s] (« signe », cf. anglais token, allemand Zeichen) et tagr [taɣr̩] (« larme »).

Consonnes

En règle générale, les consonnes sont dévoisées en fin de mot. Le gotique est riche en fricatives (à moins que ce ne soient des spirantes, mais il n'est pas possible de trancher) issues des modifications décrites par la loi de Grimm et celle de Verner propres aux langues germaniques. C'est une des rares langues de ce groupe à posséder un [z] (issu de [s]) qui ne soit pas passé à [r] par rhotacisme. De plus, il semble que le redoublement écrit des consonnes à l'intervocalique indiquât bien qu'il existait pour elles une quantité longue ou une gémination : atta [atːa] (« papa » ; mot hypocoristique comparable au grec homérique ἄττα et au latin atta, de même sens), kunnan [kunːan] (« connaître », cf. allemand kennen).

Occlusives

  • [p], [t] et [k] n'offrent aucune difficulté et sont régulièrement notés par p, t et k : paska [paska] (« Pâque », du grec πάσχα), tuggo [tuŋgō] (« langue », cf. anglais tongue, allemand Zunge), kalbo [kalbō] (« veau », cf. anglais calf) ;
  • [kw] est une occlusive complexe à appendice labiovélaire, comparable au latin qu ; elle est translittérée par q : qiman [kwiman] (« venir », cf. anglais to come, allemand kommen) ; elle poursuit étymologiquement un ancien *gw indo-européen ;
  • [b], [d] et [g] : sauf entre voyelles, les consonnes notées par les lettres b, d et g dans l'alphabet gotique sont des occlusives sonores. Au contact d'une sourde, il est vraisemblable que les occlusives sonores sont dévoisées : blinds [blind̥s] (« aveugle », cf. anglais blind, allemand blind), dags [dag̊s] (« jour », cf. anglais day, allemand Tag), gras [gras] (« herbe », cf. anglais grass, allemand Gras) ; [b] et [d] en fin de mot, à moins d'être passés à [ɸ] et [θ], ce qui est un traitement possible, sont probablement sourds : lamb [lamp] (« agneau », cf. anglais lamb), band [bant] (« [il/elle] lia », cf. anglais bound, allemand band).

Fricatives

  • [s] et [z] sont régulièrement notés par s et z ; [z] ne se trouve pas en fin de mot. Ainsi : saíhs [sɛxs] (« six », cf. allemand sechs), aqizi [akwizi] (« hache », cf. anglais axe, allemand Axt) ;
  • [ɸ] et [θ] (ce dernier traditionnellement transcrit par þ), notés f et þ, sont en correspondance directe avec [p] et [t] ; il est probable que [ɸ], relativement instable, soit passé à la labiodentale [f] ; f et þ sont aussi le résultat de b et d en fin de mots, qui sont assourdis et spirantisés : gif [giɸ] (« donne ! », impératif de giban, cf. allemand geben), miþ [miθ] (« avec », de *mid, cf. vieil anglais mid et allemand mit) ;
  • [x] (en phonétique germanique, le symbole χ est préféré) peut être écrit de diverses manières :
    • comme spirantisation de [k], il est écrit h devant consonne ou en fin de mot : nahts [naxts] (« nuit », cf. allemand Nacht), jah [jax] (« et », cf. grec ὅς, « qui », de *yo-s, et allemand ja, « oui »),
    • s'il est issu de [g] en fin de mot, il est écrit g : dag [dax] (« ciel », à l'accusatif),
    • dans quelques rares emprunts au grec, il est noté par x et représente un χ (khi) : Xristus [xristus] (« Chris », du grec Χριστός). Il est aussi possible que cette lettre notât un [k] ;
  • [h] est noté par h et ne se rencontre qu'à l'initiale ou à l'intervocalique ; c'est un allophone de [x] : haban (« avoir », cf. allemand haben), ahtáutehund [axtautēhunt] (« onze »),
  • [β], [ð] et [ɣ] sont des fricatives sonores qu'on ne rencontre qu'à l'intervocalique ; ce sont des allophones de [b], [d] et [g] et l'écriture ne les distingue pas. Il est possible que [β] soit passé à [v], forme labiodentale plus stable (cas de renforcement articulatoire). En phonétique des langues germaniques, ces phonèmes sont le plus souvent transcrits par ƀ, đ et ǥ : haban [haβan] (« avoir »), þiuda [θiuða] (« peuple », cf. allemand Deutsch, anglais Dutch, noms de peuples. L'italien tedesco pour désigner allemand vient de ce radical), áugo [auɣō] (« œil ») ;
  • [xw] est la variante labiovélarisée de [x] et le résultat du phonème indo-européen *kw ; il est probable qu'il ait abouti à [ʍ] (soit un [w] sourd), comme en anglais, du reste, dans certaines variantes dialectales (prononciation écossaise, par exemple), phonème invariablement noté par wh et de même origine étymologique ; la translittération du gotique le note par la ligature ƕ ; l'on peut ainsi établir les comparaisons suivantes : ƕan [ʍan] = angl. when [ʍen] (« quand »), ƕar [ʍar] = angl. where [ʍɛǝɹ] (« où »), ƕeits [ʍīts] = angl. white [ʍaɪt] (« blanc »), etc.

Nasales

Les nasales, comme dans la majorité des langues, sont homorganiques, c'est-à-dire qu'elles suivent le point d'articulation de la consonne qui les précède ou les suit (on parle d'assimilation du point d'articulation). Des suites [md] ou [nb] sont donc impossibles. Il existe trois nasales, dont une n'est qu'un allophone des autres en distribution complémentaire.

  • [n] et [m] sont en distribution libre, sauf en contact avec une occlusive, auquel cas ils sont neutralisés : [n]devant une occlusive bilabiale devient [m] tandis que [m] devant une occlusive dentale passe à [n] (cas d'assimilation du point d'articulation) ; devant une occlusive vélaire, les nasales passent à [ŋ] ; [n] et [m] sont régulièrement notés par n et m et l'écriture indique les processus de neutralisation : sniumundo [sniumundō] (« rapidement ») ;
  • [ŋ] n'a pas le statut de phonème libre, il n'est que le résultat de la neutralisation d'une nasale devant une occlusive vélaire ; il est en distribution complémentaire avec [n] et [m] et n'apparaît pas dans d'autres contextes ; l'écriture le note, à la manière du grec, par un g devant une autre vélaire : þagkjan [θaŋkjan] (« penser », cf. anglais to think), tuggo [tuŋgō] (« langue »), sigqan [siŋkwan] (« couler », cf. anglais to sink) ; la séquence ggw, cependant, peut aussi noter un [g] long suivi de [w], comme dans triggws [triggus] (« vrai », cf. anglais true). Parfois, un n placé devant une vélaire doit être interprété comme un [ŋ] : þankeiþ pour þagkeiþ [θaŋkīθ] (« il pense »).

Spirantes et autres phonèmes

  • [w] est noté par w devant voyelle : weits [wīts] (« blanc »), twái [twai] (« deux », cf. anglais two, allemand zwei) ;
  • [j] est écrit au moyen de la lettre j : jer [jēr] (« année », cf. anglais year), sakjo [sakjō] (« femme ») ;
  • [l] n'offre aucune difficulté : laggs [laŋg̊s] (« long », cf. allemand lang), mel [mēl] (« heure ») ; se rappeler que la même lettre peut noter la sonante vocalisée [l̩] ;
  • [r] est une vibrante [r] ou une battue [ɾ] ; il n'est pas possible de trancher ; ainsi : raíhts [rɛxts] (« droit », cf. anglais right, allemand recht), afar [aɸar] (« après ») ; la même lettre peut aussi noter la sonante vocalisée [r̩].

Tableaux synoptiques

La notation suit ici celle de l'API.

Voyelles

Simples
Phon gotique2.png
Diphtongues
Phon gotique3.png

Consonnes

Phon gotique.png

Accentuation

L'accent du gotique peut être assez facilement restitué par la phonétique comparée et la connaissance des lois de Grimm et de Verner. On sait qu'il était nécessairement tonique, et non de hauteur, au contraire de l'indo-européen et de certaines de ses langues-filles, comme le sanskrit ou le grec ancien. En effet, les caractéristiques propres à l'accent d'intensité se démontrent aisément dans cette langue, par l'étude de l'origines de certaines voyelles longues (comme [iː], [uː] et [eː]) et les phénomènes de syncope (disparition d'une voyelle atone) principalement. L'accent de hauteur de l'indo-européen a été entièrement remplacé par l'accent tonique, et sa place a été modifiée de même : à l'instar des autres langues germaniques, l'accent frappe la première syllabe (cela se constate aisément en anglais : la plupart des mots qui n'ont pas un accent initial sont des emprunts à une autre langue). L'accent ne se déplace pas au cours de la flexion. Dans les mots composés, tout dépend de la nature du second élément :

  • second élément nominal (substantif, adjectif) : l'accent reste sur la première syllabe ;
  • second élément verbal : l'accent se place sur la première syllabe de l'élément verbal ; le préfixe, le cas échéant, est toujours atone, sauf en cas de tmèse (séparation du préfixe et du radical d'un mot, entre lesquels un autre mot peut être introduit) : là, le préfixe est tonique.

Exemples (choisis de telle sorte que la comparaison avec une autre langue germanique permette de vérifier la place de l'accent) :

  • mots simples : marka [ˈmarka] (« frontière, marche », cf. anglais march et, indépendamment de l'accent, français marq(uis), hérité du francique) ; aftra [ˈaɸtra] (« après », cf. anglais after), bidjan [ˈbidjan] (« prier », cf. allemand bitten) ;
  • mots composés :
    • second élément nominal : guda-láus [ˈguðalaus] (« sans dieu », cf. anglais godless),
    • second élément verbal : ga-láubjan [gaˈlaubjan] (« croire », cf. allemand glauben, issu du vieux haut allemand g(i)louben par syncope de i atone).

Notes et références

  1. Voir aussi Fausto Cercignani, The Development of the Gothic Vocalic System, in Germanic Dialects: Linguistic and Philological Investigations, sous la direction de Bela Brogyanyi and Thomas Krömmelbein, Amsterdam et Philadelphia, Benjamins, 1986, pp. 121-151.
  2. Pour les voyelles brèves du gotique voir aussi Fausto Cercignani, The Development of the Gothic Short/Lax Subsystem, in «Zeitschrift für vergleichende Sprachforschung», 93/2, 1979, pp. 272-278.
  3. Voir aussi Fausto Cercignani, The Enfants Terribles of Gothic "Breaking": hiri, aiþþau, etc., in «The Journal of Indo-European Studies», 12/3-4, 1984, pp. 315-344.
  4. Voir aussi Fausto Cercignani, The Reduplicating Syllable and Internal Open Juncture in Gothic, in «Zeitschrift für vergleichende Sprachforschung», 93/1, 1979, pp. 126-132.



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