Larbaâ Nath Irathen

Larbaâ Nath Irathen
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Larbaâ Nath Irathen

Place Abane Ramdane à Larbaa n At-Yiraten
Place Abane Ramdane à Larbaa n At-Yiraten

Administration
Nom algérien الاربعاء نايت يراثن
Nom kabyle Larevɛa n Ayt Yiraten
Pays Drapeau d'Algérie Algérie
Région Kabylie
Wilaya Tizi Ouzou
Daïra Larbâa Nath Irathen
Code ONS 1521
Code postal 15500
Site web consulter
Culture et démographie
Population 29 376 hab. (2008[1])
Densité 748 hab./km2
Géographie
Coordonnées 36° 38′ 12″ N 4° 12′ 24″ E / 36.6366137, 4.20670936° 38′ 12″ N 4° 12′ 24″ E / 36.6366137, 4.206709
Superficie 39,28 km2
Voir la carte administrative
Larbaâ Nath Irathen
Voir la carte topographique
Larbaâ Nath Irathen
Dz - Larbaâ Nath Irathen (Wilaya de Tizi-Ouzou) location map.svg
Localisation de la commune dans la wilaya de Tizi-Ouzou.

Larbaâ Nath Irathen est une commune de Kabylie, dans la wilaya de Tizi Ouzou en Algérie.

Sommaire

Géographie

Relief

La ville de Larbaâ Nath Irathen culmine à 927 m d'altitude.

Localisation

La commune de Larbaâ Nath Irathen est située au centre de la wilaya de Tizi-Ouzou. Son territoire est délimité :

Villages de la commune

Vue sur quelques villages de At Yiraten
Vue sur le versant ouest: Larbaa, At Atelli, At Frah de At Usammar

La commune de Larbaâ Nath Irathen est composée de 25 villages[2] :

  • Aboudid (Abudid)
  • Adhouz (Aduz)
  • Affensou (Afensu)
  • Aguemoun (Agemun)
  • Agoulmime (Agelmim)
  • Agouni T'Gharmine (Agni Tɣermin)
  • Aït Ali (At Ɛli)
  • Ait Atelli (At Ɛtelli)
  • Ait Frah (At Fraḥ)
  • Azouza (Iɛezzuzen)
  • Bouhague
  • El Hammam (Lḥemmam)
  • El Kantra (Lqenṭra)
  • Ighil Guefri (Iɣil n Yefri)
  • Ighil Tazert (Iɣil Tazert)
  • Imainserène (Imɛinsṛen)
  • Imatoukène (Imaɛtuqen)
  • Larbaa Nath Iraten
  • Taguemount Boudfel (Tagemut n Wedfel)
  • Taourirt Mokrane (Tawrirt Meqran)
  • Talouth
  • Taourirt Lala (Tawrirt Lalla)
  • Taza
  • Tighilt El Hadj Ali (Tiɣilt Lḥaǧ Ɛli)
  • Thansaouth (Tansawt)

Toponymie

Deux thèses s'affrontent quant à l'origine du nom des At Iraten.

La première est, dit-on, liée à l'histoire de cette confédération qui se composait au départ de quatre tribus (rebâa n At Iraten) que sont les At Akerma, les At Irjen, les At Ousammer et les At Oumalou dont At Aggouacha faisait partie. Cette dernière fraction s'est détachée pour constituer une tribu à part suite aux turbulences qui étaient nées des divergences entre les çofs (clans) existants dans la même tribu mère, celle d'At Oumalou. On prétend que cette scission remonte à l'époque de l'invasion hillalienne et son corolaire. D'ailleurs le nom d'At Aggouacha viendrait de celui des At Ouqacha qui étaient justement opposés aux envahisseurs arabes qu'ils combattirent sans succès, se résignant à la fin à se réfugier en montagne là où leurs ennemis ne pourraient jamais les atteindre pour les astreindre Le marché hebdomadaire instauré après que son déroulement fut décidé vers cette place centrale de choix à cause des troubles que connaissait la place d'Agouni Tberratt où il se déroulait le mercredi comme toujours. Il est peut-être utile de préciser que l'emplacement premier sur lequel se déroulait le marché confédératif chez les At Iraten, autrement Agouni Tberratt, se situe entre les actuelles agglomérations d'Aguemoun et d'Imaïnesren, non loin du suivant dénommé Souk Larbâa après qu'il fut connu sous le nom d'Agouni Tcharchourt (le plateau de la source)synthétisé après enquêtes sur le terrain.

La seconde thèse est la suivante : son nom viendrait du terme d'origine arabe : al-ārbaā (« quatre » inclus dans le langage kabyle d'où larbεa ), pour le quatrième jour de la semaine (mercredi) le jour de marché, et d'appartenance et At Iraten, « des gens des At'Irathen », une grande confédération de tribus du Djurdjura faisant partie des Quinquegentiens et de même citée par le grand historien Abderrahmane Ibn Khaldoun dans ses œuvres sur l'histoire du Maghreb. Irathen (en Tamazight) signifie « les lions » (le lionceau se dit « izem » pl : izmawen*); par contre le lion a plusieurs appellations : iher (pl : ihran),abelhiret, ayrad (pl : ayraden), irat donnant le pluriel ira ou « iraten » : les lions.* De nos jours, non seulement on fait amalgame entre ces différentes appellations données au lion, mais il ne reste presque plus que izem pour désigner le grand félin, autrement le roi des animaux dont le souvenir de la présence était encore vivace chez les vieux villageois.

Nota : Il est important de souligner que nous retrouvons le nom Yarnaten figurant sur une carte intitulée : "Carte d’Algérie et les centres des tribus au VIIIe siècle de l’hégire". Cette tribu mentionnée sur la même carte-parchemin est située à mi-distance entre Ksar Boukhari et Boura Sahari. S'agit-il bien de la même qui, par glissement, comme c’est le cas pour plusieurs autres appellations du genre à travers la sphère nord-africaine, a pris une autre forme ou tournure ?

Histoire

Située sur un relief tourmenté et très accidenté, la vaste et puissante confédération des Aït Iraten campe au nord de la chaîne montagneuse du Djurdjura, plutôt à ses avant-postes. Tous ses voisins, à l'image d'Aït Djennad, At Ouaguennoun au nord (en plaine), At Mahmoud, At Aissi, Aït Douala, à l'ouest, Aït Yenni, au sud-ouest, At Menguellat, au sud, Aït Fraoussen des alliés traditionnels, à l'est, subissaient plus ou moins son influence pour avoir été solidaire quand se présentait un danger extérieur. Tous les envahisseurs qui ont tenté de s'installer sur le territoire kabyle ont en eu maille à partir avec les belliqueux montagnards qui s'ils ne combattaient pas soutenaient indirectement leurs congénères de la plaine dans leur résistance et lutte pour la liberté.
Au cœur des soubressauts qui ont ébranlé le pays kabyle depuis l'Antiquité, nos Iratens s'opposent, dans le sillage de Syphax, aux légions romaines dont les traces sont attestées par la présence de vestiges antiques exhumés à Taqsebt et Ighil Guefri par les fouilles archéologiques effectuées au siècle dernier par Aucapitaine. Puis ils résistent plus tard tard, pied à pied, à la poussée des conquérants arabes.

Les Turcs appelés à la rescousse par les souverains berbères en protecteurs « musulmans » de cette contrée nord-africaine menacée de manière récurrente par les flottes espagnoles et italiennes animées par l'esprit de la Reconquista après avoir bouté les musulmans d'Espagne connurent le même sort.

L'époque turque

Le caïd turc Ali Khodja soutenu par des fractions tribales supplétives de la plaine était parvenu à « apprivoiser » un tant soit peu les Kabyles. Il bâtit des bordjs (fortins) avancés qu'il égrena à des distances à peu près égales les unes des autres dans la plaine afin de contrôler les Kabyles et d'y collecter les impôts, ce qui n'était pas pour plaire : nous citons Bordj Boghni, Bordj Sébaou, Bordj Ménaïel et Bordj Bouira. Et afin de concurrencer l'économie des belliqueux montagnards, il créa le marché du samedi, appelé Sebt El Khodja, dans la cité actuelle de Tizi Ouzou.

Un de ses successeurs, en la personne de Mohammed Ed-Debbah voulut réussir là où les autres ont échoué : soumettre coûte que coûte et par la force cette montagne insolente. Pour ce faire, il décida de commencer sa campagne aventurière à la tête de son armée, lui qui venait d'être élevé au grade de bey du Titteri à partir de 1750, par les Aït Iraten qu'il croyait connaître comme personne pour avoir été élève dans l'une de leur zaouia (école coranique qu'il fréquenta dès son jeune âge à Adeni).

À peine s'était-il engouffré dans les escarpements du village d'Adeni, qu'il fut abattu par un commando qui l'attendaient près de Tala n Semdha. Sa mort fut gardée secrète pendant quelques jours pour permettre à ses soldats, à qui on invoqua un malaise de leur chef, de se retirer dans la discipline. Mohammed Ed-Debbah (l'égorgeur ?) fut inhumé sur la route d'Alger, près de l'ex-Rebeval (Si Mustapha). La maison de sa sépulture est de nos jours en ruines.

L'époque française

La seule puissance qui réussit à dominer les Aït Iraten, mettant fin à la sacrosainte indépendance du Djurdjura est la France. Plusieurs expéditions et incursions furent organisées et tentées sur la région . Seules les tribus de plaine furent vaincues et encore; à chaque fois, sous l'impulsion et les encouragements des montagnards, elles se déclaraient aussitôt insoumises. 1854 a vu Randon, alors gouverneur général de l'Algérie, conduire en personne une armée vers le cœur du Djurdjura, passant par Boubhir, poursuivant Boubaghla réfugié chez les At Illilten. Cette expédition échoua lamentablement et les contingents des montagnards, sous l'impulsion de Lalla Fadhma n Soummeur pourchassèrent l'ennemi jusqu'aux limites de Tizi Ouzou.

Après avoir doté le centre colonial de Tizi Ouzou d'une garnison assez rassurante en 1855 et une fois la guerre de Crimée terminée, Randon, qui a reçu le feu vert de son gouvernement pour une expédition d'envergure sur le Djurdjura, réunit un arsenal jamais égalé dans l'histoire du pays. Cette fois-ci, il était décidé à en finir pour toujours avec les belliqueux repliés sur cette zone de montagnes, la dernière citadelle indépendante dans le nord du pays qui continuait à narguer la puissance coloniale.

Forte d'une armada impressionnante d'infanterie (trente cinq milles hommes sans compter les auxiliaires goums) et de matériel de guerre cette dernière réunit en mai 1857, trois divisions avec des chefs expérimentés à leur tête . En face des montagnes, les Aït Iraten peuvent aligner trois mille fusils . L'attaque a lieu le 24 mai à l'aube, jour de l'Aïd El Fitr (fête de rupture du jeûne chez les Musulmans). Le combat est inégal, les montagnards ont pour allié un relief qu'ils connaissent par coeur et un courage à toute épreuve ;cela ne suffit malheureusement pas devant le déchainement d'artillerie, d'obus et de fusées de montagne. Les Kabyles sont battus après avoir livré une lutte farouche qui causa des pertes sensibles à l'assaillant.

Le 28 mai, la place de Souk Larbâa est livrée par les Aït Iraten à leurs vainqueurs. Icharîouène, village situé au voisinage de la place forte des Aït Iraten payera lui aussi le tribut de la dépossession et du séquestre . Ses habitants, dont la famille du plus célèbre poète kabyle, Si Muh U M'Hand, seront déplacés, éparpillés dont le plus gros noyau s'installa au-dessus de l'actuel Tizi -Rached, transposant le nom de leur cité sur celui de Tachraïhit, les propriétés expropriées à la famille du chef incontesté des Aït Iraten lors de cette résistance : Cheikh Seddik Arab que Randon pourchassait depuis les premiers moments de son gouvernorat. Néanmoins, en dépit des tourments qu'il lui causa, dans ses mémoires il dit de Cheikh Seddik, à juste titre, être 'la tête et le bras des Beni-Raten'. En vérité il l'est au-delà des frontières qu'il voulait imposer à son influence guerrière plus que religieuse, étant un homme qui a toujours prôné la résistance contre tout envahisseur quelle que soit sa provenance.

Le 14 juin, jour anniversaire du débarquement français dans la baie de Sidi Ferredj en 1830, au milieu de ses milliers de soldats triomphants sur les montagnards, dans une solennité des grands jours pour une armée de conquête, dépose officiellement la première pierre, annonçant par là le départ des travaux de construction de la forteresse conçue suivant le système Vauban par le général du génie militaire, Chabaud-Latour, qui faisait partie du corps expéditionnaire.

Le 24 juin, on suspend tous les travaux pour attaquer la position kabyle retranchée d'Icherriden et le 25 les At Yenni puis la marche irrésistible des trois divisions commandées par les généraux d'expérience : Renault, la première, de Mac-Mahon, la seconde, Jusuf, la troisième sans se soucier de ce que la population endurait depuis le départ des hostilités.

En 1858, Fort-Napoléon (la forteresse baptisée du nom de l'empereur) fut érigé par décret impérial en cercle englobant quasiment toute la montagne du nord du Djurdjura. C'est en 1873 que furent créées deux communes : l'une mixte de Fort National (à la chute du régime impérial et la proclamation de la république en septembre 1870, cette ville-garnison avait été rebaptisée) en ceignant une bonne partie du territoire des At Akerma et celui des At Ousammeur dans son intégralité). L'autre, dite de Plein exercice (P.E) va de Kouriet chez les At Sedka jusqu'à Ighallen et Aït-Khellili (en partie chez les Aït Fraoussen).

Aït Iraten ou la conféderation des Âarch Igawawen, opposa une résistance farouche à la conquête de l'Algérie. Elle est la dernière région du Nord de l'Algérie à tomber aux mains des Français. Le maréchal Randon finit ainsi la conquête de la Kabylie. Un arc de triomphe fut d'ailleurs construit pour célébrer cette victoire difficilement obtenue (l'arc de triomphe est toujours visible aujourd'hui à l'entrée nord de L.N.I, il porte le millésime 1857).

Située sur les flancs du Djurdjura à l'Est de Tizi Ouzou, idéalement perchée sur un piton rocheux, c'était le lieu stratégique pour construire un fort. C'est ainsi qu'en 1857, sous le régime de Napoléon III, lors de la conquête difficile de la Kabylie, le général François de Chabaud-Latour décida de construire sur l'ancien village de Icherɛiwen où serait né le fameux poète berbère Si Mohand, un fort qu'il nomma le Fort-Napoléon et construisit une route pour le relier à la ville de Tizi Ouzou.C'est sur le territoire de cette grande confédération que vit le jour la première école communale de Kabylie, au village de Tamazirt précisément.Grâce à la scolarisation précoce que connut la région elle fut une grande pourvoyeuse d'instituteurs qui accélérèrent son évolution parmi lesquels furent issus les tout premiers berbérisants Algériens Boulifa et Lechani originaires des Irjen Irdjen.

Par la suite, la ville s'agrandit peu à peu et devint un centre de colonisation imporatant chef-lieu de la commune mixte de Fort-National aux attributions élargies .Elle fut débaptisée Fort-National sous la Troisième République et bénéficia en 1946 des premières franchises municipales à l'initiative de M S Lechani soutenu par le Gouverneur socialiste Chataigneau. Plus tard, à l'indépendance, la cité reprit son nom originel de Larbaâ Nath Iraten

Après l'independance

Larbaâ Nath Iraten a signé des accords de coopération avec la ville de Saint-Denis en France. En juin 2001, lors du printemps noir, la ville est le lieu d'affrontements entre la population et les gendarmes, qui font onze morts et une dizaine de blessés.

Économie

Vie quotidienne

Jumelages

Personnalités liées à la commune

  • Djeffal Mohamed, né vers 1885 et enterré en 1956 dans son village natal, At Hague, chez les At Irjen. Militant contre l’occupation française du pays. Premier président de l’Etoile Nord-Africaine (1924-1926), avant même Messali El Hadj[réf. nécessaire].
  • Abane Ramdane, l'architecte de la guerre d'indépendance algérienne lors du congrès de La Soummam en août 1956, y est né en 1920.
  • Lalla Fatma N'Soumer[Pourquoi ?], résistance kabyle à l'invasion française de mai-juin-juillet 1857, campagne menée par Randon, maréchal gouverneur-général d'Algérie.
  • Mouloud Feraoun[Pourquoi ?], 1913-1962, instituteur né à Tizi Hibel chez les Ath Douala ayant publié des romans références sur la Kabylie.
  • Marius de Buzon, peintre de l'école d'Alger, Prix Abd El Tif 1913, y vécut.
  • Mohand Said Lechani, instituteur pionnier, berbérisant et homme politique, né dans le village d'At Atelli.
  • Salah Assad, footballeur, natif du village d'At Atelli.
  • Rachid Arhab, journaliste franco-algérien, y est né.
  • Belkacem Radjef, membre fondateur de l'ENA (L'étoile nord-africaine), y est né.
  • Si Djilani[Pourquoi ?], membre fondateur de l'ENA (L'étoile nord-africaine).
  • Si Muhand U M'hand, poète, né dans le village d'Aguemoun.

Notes et références

  1. Evolution intercensitaire de la population sur le site de la wilaya de Tizi Ouzou. Consulté le 25/02/2011
  2. Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret n° 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya de Tizi Ouzou, p. 1504 à 1510.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Larbaâ Nath Irathen de Wikipédia en français (auteurs)

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