Fleurey-sur-ouche

Fleurey-sur-ouche

Fleurey-sur-Ouche

Fleurey-sur-Ouche

Le canal de Bourgogne vu en direction de Velars
Le canal de Bourgogne vu en direction de Velars

Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Bourgogne
Département Côte-d'Or
Arrondissement Dijon
Canton Dijon-5
Code Insee abr. 21273
Code postal 21410
Maire
Mandat en cours
Pascale Gallion-Bailly
2008-2014
Intercommunalité Vallée de l'Ouche
Site internet http://www.fleurey-sur-ouche.fr/index.html
Démographie
Population 1 188 hab. (2006)
Densité 40 hab./km²
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 46″ Nord
       4° 51′ 37″ Est
/ 47.3127777778, 4.86027777778
Altitudes mini. 260 m — maxi. 601 m
Superficie 29,76 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Fleurey-sur-Ouche est une commune française, située dans le département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne.


Sommaire

Géographie

Village résidentiel à proximité (ouest) de Dijon, Fleurey-sur-Ouche est traversé, comme son nom l'indique, par la rivière Ouche et le Canal de Bourgogne.

Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts

  • Beuchail : au nord-est de la localité, non loin de Lantenay.
  • Le Leuzeu : combe au sud de Fleurey et de Velars, s'étirant entre le plan de Suzâne et la côte d'Étang, dans laquelle fut exploitée une ferme qui fut abandonnée en 1930 pour cause de trop grand éloignement du village, d'absence de chemin facilement praticable et de commodités (eau courante et électricité) et de trop grosses réparations à envisager sur les toitures. Le Leuzeu faisait partie du village d'Urcy jusqu'à la Révolution. Son domaine, confisqué et vendu comme bien national, fut alors rattaché à la commune de Fleurey.[1]

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
31/01/1790 1791 Pierre de Saint Amant lieutenant-colonel de cavalerie en retraite
1791 01/11/1795 Claude Dellery Le Jeune agriculteur
01/11/1795 Sébastien Saverot
.
. 29/07/1816 Antoine Perrot
29/07/1867 Jean-Baptiste Garrot
1830 André Ledoyen
16/08/1846 Pélissonnier
../02/1848 27/10/1849 Louis Auguste Adelon révolutionnaire, maire nommé
27/10/1849 09/10/1850 Pierre Leniept
09/10/1850 09/01/1851 André Ledoyen maire nommé
09/01/1851 André Ledoyen élu
26/09/1852 Jean-Baptiste Hippolyte Pélissonnier maître de poste à Pont-de-Pany
1865 Jean-Baptiste Griffont-Maillot élu
Benoît Truillot-Potier en fonction en Août 1870
1872 1874 Alfred de Girval a démissionné
1874 12/09/1875 Jean Jules Rebillard maire par intérim
12/09/1875 François Picard
. Truillot en fonction en 1885
. Jean-Baptiste Chary
. François Rémond en fonction en 1897 et en 1893
. Maillot-Mutin en fonction en 1904
.
. Victor Chary maire pendant 30 ans
.
. Louis Ruffin
.
1945 1965 Jules Truillot
1965 1977 Pierre Posière
1977 1983 Guy Doussot
1983 1989 Gérard Camberlin
1989 2001 Gérard Camberlin directeur commercial
mars 2001 mars 2008 Daniel Verne
mars 2008 en cours Pascale Gallion-Bailly
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[2])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
565 593 628 879 1 079 1 221 1 188
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Histoire

Le site de Fleurey est occupé par l'homme depuis le néolithique[3], comme l'attestent des poteries retrouvées dans des abris sous roches des ruelles de Velars, ainsi qu'un foyer antique dans les grottes de Morceuil. Des tumulus du premier âge du fer (fouillées par M. Jobard vers 1902-1903) s'échelonnaient parallèlement à ces ruelles, depuis les roches devant le lotissement du Coquelot jusqu'à proximité du pont du viaduc de la combe de Fin. Au lieu-dit Bas de la Caillette furent alors mis au jour divers objets de bronze, de fer, de silex, de verre et des poteries. Au sud, d'autres tumulus (au plan de Suzâne et au plan de Suzard) semblent attester de zones d'habitat au sud-ouest de la Colombière (près de l'ancien captage pour la première adduction d'eau) ainsi qu'à proximité de la source de la ferme de Collonges. On peut d'ailleurs encore constater de nos jours la présence de murets (vestiges de 2 enceintes accolées, sur le rebord du plateau, au-dessus de Collonges).

À l'époque celtique, la partie de l'actuel Fleurey au nord de l'Ouche relevait de la tribu gauloise des Lingons (capitale Langres) et la partie au sud de l'Ouche dépendait de la communauté des Séquanes. Une route reliait déjà Châlon à Châtillon en empruntant un gué sur l'Ouche (à peu près à l'endroit de l'actuel pont) et une autre route reliant Dijon à Alésia (Alise-Sainte-Reine) passait par les ruelles de Velars, par Morcueil pour gagner Mâlain (site de Mediolanum).

L'implantation romaine est attestée par la mise au jour (lors des travaux de captage de la source de Morcueil par la ville de Dijon) de nombreuses monnaies et fragments de poteries romaines, et (au XVIIIe siècle) par celle de lampes antiques, de sarcophages et de médailles à l'effigie d'empereurs romains : Néron, Claude, Vespasien, Maxime et Constantin. Les troupes de César, attaquées par les cavaliers gaulois dans les bois de Pasques et Lantenay, obtiennent l'assistance de cavaliers germains surgissant d'une hauteur qui est vraisemblablement celle du Cocheron.

Après la conquête, une villa gallo-romaine est édifiée sur la rive gauche de l'Ouche. Sa localisation est imprécise, mais pourrait avoir été au pied du Cocheron ou plus vraisemblablement au sud-ouest et très près de l'église actuelle, là où furent découverts la sculpture d'une danseuse nue et des restes de matériaux de construction. Des sépultures semblant dater de cette époque furent aussi mises au jour en bordure ouest des anciennes carrières surplombant la route d'Ancey, à la sortie de Fleurey, face à l'actuelle station de pompage. On s'interroge sur la correspondance de ce cimetière ancien avec le site de Barge, zone habitée citée dans des documents d'archives. Florus, propriétaire de la villa gallo-romaine, a donné son nom à la localité mentionnée dès le VIe siècle (dans la chronique de Saint-Bénigne) sous la dénomination de Floriacus.

  • 500 : Les armées franques et burgondes s'affrontent sur le plateau de « Beuchail », au nord-est du territoire du village.[4]
  • 534 : Pour des raisons de rivalité et de vengeance, Siagrius organise une expédition punitive à Fleurey, pour y assassiner Sirivald dans une villa.
  • 586 : Le roi des Francs, Gontran cède Fleurey et ses dépendances à l'abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon, dont les abbés successifs devinrent les seigneurs et décimateurs. Gontran fait construire une église Saint-Marcel et une demeure pour les moines, où ils restent jusqu'en 1318, date à laquelle une communauté de bénédictins anglais vient les les remplacer. Le prieur de St-Marcel perçoit une taille de 50 livres et le prieuré dispose du revenu de plusieurs terres et de 700 arpents (357 ha) de bois sur le terroir de Fleurey.
  • 872 : Le cartulaire de Saint-Marcel mentionne Fleurey en ces termes : « Videlicet Villam Floriacus que dicitur sitam in Pago magnimontense ».
  • 937 : Fleurey, Chalon et toute la région de la vallée de la Saône sont dévastées par une invasion hongroise.
  • En 1742, une auberge (tenue à Pont-de-Pany depuis 1726 par Étienne Malteste et son épouse Élisabeth Duvernois) devient relais de poste sur le nouveau tracé entre Dijon et Auxerre. Pont-de-Pany est l'étape entre La Cude (à l'est) et La Chaleur (à l'ouest). Élisabeth Duvernois, alors veuve, accède ainsi au titre de maître de poste, et cédera sa fonction à son beau-fils, Nicolas Pélissonnier, dont les descendants assureront le service de la poste aux chevaux jusqu'à sa suppression en 1872.[5]

En 1794 et 1816, le relais fonctionne avec 15 chevaux puis l'effectif passera à 28 en 1834 pour atteindre le maximum de 42 en 1839.

  • 1765 : De très nombreuses armes et des quantités d'ossements d'hommes et de chevaux sont découverts à « Beuchail » (sur le site de la bataille) lors d'un défrichement.
  • Mozart, devant donner un concert de clavecin à Dijon devant le gouverneur de la Bourgogne, le prince de Condé, le 16 juillet 1766, aurait fait étape au relais de Pont-de-Pany.
  • Le relais de poste de Pont-de-Pany accueille pour la nuit, le 16 ventôse an II, un groupe de 18 personnes arrêtées à Dijon. L'une d'entre elles ne rejoindra pas le tribunal révolutionnaire à Paris : Trouvée baignant dans son sang au petit matin, on ne sait s'il y eut suicide ou assassinat.
  • 1807 : Les fragments d'une statue équestre d'époque celtique ou pré-celtique sont découverts près de l'ancien moulin de Morcueil (entrée vraisemblable de la route dans l'ancienne cité de Mediolanum).

Héraldique

Blason Blasonnement
« D'azur à l'épée d'argent, aux deux clefs d'or contournées passées en sautoir, au chef du même chargé d'une rose de gueules pointée de sinople et boutonnée aussi d'or. »
Commentaires : Ornements extérieurs:

L'écu est sommé d'une couronne murale d'or à trois tours crénelées

et flanqué à senestre d'un pampre de vigne et à dextre d'un bouquet d'épis de céréales, au naturel, réunis sous l'écu par une banderole portant le nom : « Fleurey sur Ouche ».

Lieux et monuments

Église Saint Jean-Baptiste

Longue de 28 m, large de 11,50 m et haute de 10 m sous clef, l'église, construite sur le plan d'une croix latine (selon un axe faiblement incliné vers la gauche) avec transept non saillant portant le clocher en son centre.[6] Une tourelle abritant l'escalier menant au clocher s'ouvre sur le côté nord du transept.

Détail de la façade ouest de l'église (avec cadrage volontairement géométrique)

En 1996, à l'occasion de travaux d'installation du chauffage, il fut procédé à des fouilles sur 2 sites à l'intérieur de l'église (côté nord)[7]. Le site n° 1 (le plus à l'est, près de l'escalier) révéla la sépulture de 3 personnes (dont un enfant d'environ 10 ans), datant approximativement de la période allant du XIVe au XVIe siècle, l'inhumation dans des cercueils de bois, des épingles et une quarantaine de pièces de monnaie. Le site n° 2 (plus à l'ouest) a permis de découvrir 2 sarcophages mérovingiens pouvant dater du VIIe siècle. Dans celui trouvé sans couvercle, avaient été inhumées 2 personnes. Le sarcophage muni d'un couvercle de pierre, dans lequel un seul individu avait été enseveli et où fut trouvée une boucle de ceinturon en fer, est désormais exposé dans l'église. Ses parois et son couvercle sont décorés de stries longitudinales.

Intérieur [8].

  • Dans la nef, à gauche :

Le premier pilier en entrant est décoré par un tableau de 1670 illustrant la visitation de la Vierge et par une statue de saint Jean-Baptiste en bois peint du XVIIe. Le saint, plusieurs fois représenté dans l'édifice vu qu'il lui a donné son vocable, est ici présenté traditionnellement, vêtu d'une peau de chameau et accompagné d'un agneau à ses pieds se tenant comme un chien faisant le beau.

Au deuxième pilier, sont suspendus un tableau montrant Jésus au Temple à l'âge de 12 ans, ainsi que le Christ portant la croix.

Au troisième pilier est fixé saint Joseph.

à droite :

Le premier pilier en entrant est décoré par un tableau de 1671 illustrant la présentation de Marie au Temple et par une statue, en bois peint du XVIIe, de sainte Barbe avec sa tour.

Au deuxième pilier, sont suspendus un tableau montrant Jésus remettant les clés du Royaume des Cieux à Pierre (Confessiob de Césarée), ainsi qu'une statue du XVIIe siècle, en bois mais de peinture récente, de sainte Anne. La sainte est représentée plusieurs fois dans l'édifice, sans qu'à ce jour une explication en ait pu être trouvée.

Au troisième pilier est fixé saint Jean-Baptiste. Cette statue, comme celle qui lui fait face (saint Joseph), est en terre cuite, date environ de 1850, et fut couverte de peinture blanche dès 1851 jusqu'au jour où la chanoine Carlet en entreprit le décapage.

au centre, contre la croisée du transept, et à hauteur des voûtes, est suspendu un Christ en croix, datant de 1841.
  • La croisée du transept, constituée de 4 piliers et 4 arcs égaux (ogives chanfreinées), supporte le clocher. Une ouverture fut pratiquée en 1822 dans la voûte du bras nord du transept pour installer les cloches.

À l'avant du pilier gauche (à l'entrée du chœur), est fixée la statue de saint Denis. En pierre, datant des années 1500, à l'origine polychromée puis peinte en blanc en 1851 comme celles en terre cuite de saint Jean-Baptiste et de saint Joseph, elle fut décapée en 1940 par le chanoine Charlet. Des traces de polychromie sont encore visibles sur le manteau de saint Denis.

Face à lui, le pilier gauche commun avec la nef est décoré par la statue de sainte Catherine avec son attribut (la roue de son supplice).

Monument aux morts

Cimetière

Le cimetière, s'étendant juste à la limite du village, à l'angle de la route de Mâlain et de celle de Lantenay, est rectangulaire. Il est entouré de murs de pierre couverts de lave. Une grande croix, dressée au milieu, porte à sa base des plaques mentionnant les soldats tués à la guerre.

Le cimetière, à la sortie immédiate du village, est délimité par un mur de pierres.

Ancien château

L'ancien château des Ducs de Bourgogne fut la résidence favorite de plusieurs d'entre eux.

C'est à Fleurey que mourut le premier duc, Robert le Vieux, d'une « mort honteuse » comme le rapporta la chronique.

À l'emplacement de ce château disparu, s'élève aujourd'hui une vaste maison construite au XVIIIe siècle par Louis Micault de Courbeton, président à mortier du parlement de Bourgogne et l'un des seuls guillotinés du département pendant la Révolution française.

Vendue en bien national, la maison est habitée depuis plus de deux siècles par la famille Grée.

Rues du village[9]

  • rue des Acacias
  • rue des Archers : Située non loin de l'ancienne résidence des gouverneurs de Bourgogne, on peut encore voir, toute proche, une niche comportant une pierre creusée de 5 cavités qui passe pour être une ancienne cible qu'auraient utilisée les archers du village.
  • rue de l'Aule : L'aule désigne l'ancienne halle ayant appartenu au seigneur de Fleurey (prieur de Saint-Marcel-lès-Chalon-sur-Saône), où se tenait une foire 4 fois par an (mi-mai, mi-août, à la Saint-André et à la Saint-Blaise).
  • Au Bas des Combets
  • rue du Bois de Lée : Le Bois de Lée, situé en direction d'Ancey, présente la particularité d'avoir un énorme rocher pouvant faire penser à un dolmen. (En ancien français, « lée » serait synonyme de dolmen.)
  • rue Brenet : Cette rue borde une propriété ayant appartenu pendant plusieurs générations à la famille Brenet, dont le plus important représentant, en 1823, fut docteur en médecine, député du département et membre de la Légion d'honneur.
Balcon au n° 30 de la Grande rue du Bas
  • rue du Champ-Perdrix
  • rue de Chanteronne
  • rue de la Chapelle : Cette rue doit son nom à une petite chapelle ayant existé entre le moulin et l'école actuelle.
  • rue de la Charme : La charme désignait une friche ou un chaume.
  • chemin de la Chaumette : La chaumette désignait une petite friche.
  • rue du Château : L'actuel château Lignée-Grée (à ne pas confondre avec une autre demeure, près du pont, sur la même rue, ayant appartenu aux familles Cortot de Cissey et de Girval) fut celui du comte Jean Vivant de Corbeton, dernier noble à avoir possédé la propriété, qui, accusé par le révolutionnaire Bernard de Saintes (dit « Pioche-Fer »), fut guillotiné.
Élégants volets dans la Grande rue du Bas (Seuls ceux des 2 fenêtres de gauche sont évidés, les motifs de celle de droite sont peints au pochoir.)
  • rue du Clos de la Cure
  • place du Clos Poulain
  • rue du Cocheron
  • rue du Colombier : L'ancien colombier du château Lignier-Grée a donné son nom à la rue.
  • rue des Coquelots
  • Coteau Ragoix
  • rue de la Cour des Closes
  • rue de la Croix Saint-Pierre : Sur la droite de cette rue, le lieu-dit Champ Saint-Pierre aurait été l'emplacement d'une église Saint-Pierre. Dans le prolongement de la rue est dressée une croix sur laquelle est fixée une plaque de cuivre en forme de cœur gravée ainsi :« Cette croix a été érigée en 1842 à la dévotion de Pierre Grée, aveugle, fils de Étienne Grée et de Marguerite Brouée. Priez pour lui. »
  • lotissement derrière la Velle
  • rue de la Dîme : Rue proche de l'ancien prieuré.
  • Lotissement le Fluvie
  • rue de la Grapine
  • rue du Lavoir : L'ancien lavoir a été transformé en salle de fêtes.
  • rue du Levant
  • rue Martenot : Cette dénomination pourrait venir du patronyme d'un dragon de l'armée des Flandres, tué le 24 août 1748, près de Louvain. Son officier, M. de Saint-Amant, dit « Collonge », résidait à Fleurey.
La rue principale (venant de Urcy, au sud) traverse le canal puis la rivière pour mener à Lantenay, au nord.
  • rue des Moceas
  • rue de Morcueil
  • rue du Moulin
  • Lotissement Les Ouches
  • Lotissement Le Petit Bon Moisson
  • petite rue de Collonges
  • impasse de Pisseloup
  • rue des Roches d'Orgères
  • La Ruellotte
  • Lotissement Saint-Jean et rue Saint-Jean
  • Seigneurie de la Cour des Closes
  • rue du Stade
  • rue Jean Truchetet
  • rue de Velars
  • rue des Vieilles Carrières
  • rue des Vignes Blanches

Voir aussi

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Bibliographie

  • « Le Borbeteil », journal municipal de Fleurey-sur-Ouche (dernier numéro paru : n° 37 de juillet 2007)
  • Monographie du village (en souscription et à paraître à l'automne 2007), reprenant, en les complétant notablement et en les illustrant de photos, les articles parus dans « Le Borbeteil ».

Notes, sources et références

  1. « Le Borbeteil », n° 23, juin 2000 (pages 8 à 11 : Le Leuzeu)
  2. Fleurey-sur-Ouche sur le site de l'Insee
  3. « Le Borbeteil », n° 3, juin 1990 (page 8 : Fleurey de son origine... à l'époque gallo-romaine)
  4. « Le Borbeteil », n° 5, juillet 1991 (page 6 : Fleurey après l'époque gallo-romaine jusqu'aux Carolingiens)
  5. « Le Borbeteil », n° 37, juillet 2007 (pages 8 à 12 : Au temps des diligences... un relais de poste à Pont-de-Pany, hameau de Fleurey, par Guy Masson)
  6. « Le Borbeteil », n° 6, décembre 1991 (pages 12 à 13 : Petit guide pour la visite de l'église - 2e partie)
  7. « Le Borbeteil », n° 16, décembre 1996 (page 6 : Les fouilles à l'église)
  8. « Le Borbeteil », n° 7, juin 1992 (pages 8 à 10 : Le petit guide pour la visite de l'église - 3e et dernière partie)
  9. « Le Borbeteil », n° 29, juillet 2003 (pages 7 à 9 : Les rues de Fleurey : origine de leur appellation)

Liens externes

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