Centrale nucléaire de Gentilly

Centrale nucléaire de Gentilly
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Centrale nucléaire de Gentilly
Image illustrative de l'article Centrale nucléaire de Gentilly
Les centrales Gentilly-2 (gauche) et Gentilly-1 (droite)
Administration
Pays Canada
Province Québec
Région Centre-du-Québec
Municipalité Bécancour
Coordonnées 46° 23′ 42″ N 72° 21′ 21″ W / 46.395, -72.3558346° 23′ 42″ Nord
       72° 21′ 21″ Ouest
/ 46.395, -72.35583
  
Opérateur Hydro-Québec
Année de construction novembre 1973
Date de mise en service 1er octobre 1983
Statut En opération
Réacteurs
Fournisseurs EACL
Type CANDU-6
Réacteurs actifs 635 MW[1]
Puissance nominale 635 MW[1]
Production d’électricité
Production totale 117 053,1 GWh[1]
Divers
Source froide Fleuve Saint-Laurent
Site web Centrale nucléaire de Gentilly-2

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Centrale nucléaire de Gentilly

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Centrale nucléaire de Gentilly

La centrale nucléaire de Gentilly est une centrale nucléaire d'Hydro-Québec située à Bécancour au Québec. La centrale, située sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent à la hauteur de Trois-Rivières, possède une capacité brute de 675 MW (net 635 MW). Elle est la seule centrale nucléaire en opération au Québec[2].

Sommaire

Historique

Article détaillé : Histoire d'Hydro-Québec.

Le développement d'une centrale nucléaire au Québec a fait l'objet d'un débat passionné dans les années 1960 et au début des années 1970 entre les partisans de cette forme d'énergie et ceux qui favorisaient la construction de grands projets hydroélectriques pour répondre à la très forte croissance des besoins.

Au lendemain de la deuxième étape de la nationalisation de l'électricité en 1963, un lobby favorisant le développement de l'énergie nucléaire est actif à l'intérieur d'Hydro-Québec. En cela, ils rejoignent les objectifs du gouvernement du Canada, qui s'inquiète de la signification politique et symbolique de la prise de contrôle de l'électricité par la majorité francophone aux dépens du monde des affaires anglo-protestant. Le gouvernement de Lester B. Pearson à Ottawa redouble d'efforts afin de « partager les avantages du Canada avec les citoyens francophones du pays »[3].

Ces partisans du nucléaire au sein de l'entreprise peuvent compter sur le soutien de Jean-Claude Lessard, ancien haut-fonctionnaire fédéral et président d'Hydro-Québec de 1960 à 1969. M. Lessard est d'ailleurs nommé membre du conseil d'administration d'Énergie atomique du Canada (EACL), à compter de 1963, ce qui marquait un changement de cap majeur pour Hydro-Québec, qui boycottait les projets nucléaires fédéraux depuis 1954[4]. La faction pro-nucléaire s'exprime au moment de la décision d'investir dans le projet de la chute Churchill, au Labrador[5], où les coûts prévus du développement nucléaire servaient d'étalon pour évaluer la faisabilité et la désirabilité de développer de nouveaux aménagements hydroélectriques. L'économiste et haut-fonctionnaire Jacques Parizeau est l'un des principaux tenants de cet argument[4].

Gentilly-1

Hydro-Québec engage les discussions au cours de l'été 1964 et Énergie atomique du Canada Limitée (EACL) étudie la possibilité de construire un réacteur de 250 MW, version augmentée du réacteur expérimental de Douglas Point, en Ontario. La société fédérale pose comme condition à l'aide financière d'Ottawa que le réacteur soit d'un type expérimental. Le président d'EACL, Lorne Gray, propose alors à l'entreprise publique québécoise un réacteur à eau légère bouillante, qui offrait plusieurs avantages, notamment le fait que la vapeur produite par le réacteur peut être utilisée par les turbines[6].

Avant de s'engager plus avant, le gouvernement Lesage pose certaines conditions. Dans une lettre adressée au premier ministre Pearson le 6 avril 1965, Lesage propose un site à Saint-Édouard-de-Gentilly — aujourd'hui un secteur de Bécancour. Québec demande aussi à obtenir qu'Ottawa défraie une partie des coûts de construction de la centrale, comme ce fut le cas lors de la construction du réacteur de Douglas Point. Le cabinet québécois approuve le projet en février 1966, quelques mois avant de subir la défaite lors de l'élection générale[7].

Le nouveau gouvernement de Daniel Johnson poursuit la même politique à l'égard du développement nucléaire et les travaux de construction peuvent commencer sur le site à compter de l'automne 1966. Malgré les conflits de travail qui stoppent les travaux pendant cinq mois, le réacteur CANDU-BLW de la centrale Gentilly-1 a été mis en service en novembre 1970[8], une opération qui connut sa part de problèmes[9].

Dès le départ, la centrale connaît sa part de problèmes. D'abord, une pénurie d'eau lourde retarde la mise en marche de la centrale de 266 mégawatts, les approvisionnements d'eau lourde étant destinés en priorité aux réacteurs de Pickering[10]. Par ailleurs, Gentilly-1 est affligée de plusieurs problèmes techniques[11] et ne produit de l'électricité que pendant deux brèves périodes, totalisant 183 jours, en 1972 pour une production totale de 837,7 GWh[12]. La centrale, qui demeure la propriété d'EACL, a été mise en état de conservation en 1980 en vue de son démantèlement[8].

Gentilly-2

Article détaillé : Réacteur CANDU.

Au début des années 1970, les nouveaux grands patrons d'Hydro-Québec — dont le président Roland Giroux et les commissaires Yvon De Guise et Robert A. Boyd[13] — sont solidement derrière le projet de développement du complexe hydroélectrique de la Baie-James, dans le Nord-du-Québec. Le financier Giroux soutient que les bailleurs de fonds internationaux « sont encore très méfiants vis-à-vis du nucléaire. Si on leur apporte un bon projet hydroélectrique, et celui de la Baie-James en est un, ils vont vite montrer où va leur préférence »[14]. L'ingénieur Boyd invoque l'incertitude qui plane déjà à cette époque sur l'énergie nucléaire, recommande de maintenir une certaine expertise dans ce domaine, mais soutient qu'il faut « repousser cette échéance le plus loin possible »[14]

Sceptiques par rapport à la stratégie de développement hydroélectrique intensif proposée par le premier ministre, plusieurs porte-paroles du Parti québécois, notamment le député Guy Joron et le conseiller économique du parti, Jacques Parizeau, n'hésitent pas à indiquer clairement leur préférence à l'égard de l'option nucléaire[15]. Dans une entrevue qu'il accorde au Devoir à l'époque, l'économiste, qui deviendra premier ministre du Québec dans les années 1990, se fait ironique. « Ce n'est pas parce qu'il y a une rivière canadienne-française et catholique qu'il faut absolument mettre un barrage dessus »[15].

Le gouvernement Bourassa choisit de construire la centrale nucléaire, sans pour autant délaisser l'aménagement de la Grande Rivière. Gentilly-2, un réacteur CANDU-6 de 675 mégawatts, sera construit sur le même site que Gentilly-I, à compter de 1973. Les gouvernements du Québec et du Canada discutent également d'une troisième centrale, Gentilly-3, dont la construction pourrait débuter en 1977. Mais les circonstances changent au cours de la construction, les coûts augmentent et l'opposition du public au développement de l'énergie nucléaire s'organise[16].

Élu en novembre 1976,le nouveau gouvernement du Parti québécois, dans lequel siègent MM. Parizeau, et Joron, publie un livre blanc sur l'énergie au printemps de 1978. Le document revoit à la baisse les estimations de croissance de la demande électrique, écarte la construction de Gentilly-3, tout en affirmant une préférence à l'égard de la poursuite du développement hydroélectrique[17]. La nouvelle politique du gouvernement québécois n'arrête toutefois pas la construction de la centrale de Gentilly-2. Toutefois, la construction de l'usine de traitement de l'eau lourde de LaPrade, dont le coût a été gonflé à 1 milliard de dollars en raison de l'inflation, a été abandonnée en 1979[18].

Exploitation de Gentilly-2

Après 10 ans de construction[8], soit quatre ans de plus que prévu[19], la centrale est considérée officiellement en service par Hydro-Québec le 1er octobre 1983.

Ce réacteur est très semblable à celui de la centrale nucléaire de Point Lepreau, situé à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, les deux centrales ayant été construites simultanément. La centrale néo-brunswickoise a toutefois été construite en deux ans de moins et est entrée en service 8 mois plus tôt. Après avoir été rodé au Canada, ce modèle de réacteur a été exporté en Corée du Sud, en Argentine, en Roumanie et en Chine.

Contrairement à Gentilly-1, Gentilly-2 offre un bon rendement depuis sa mise en service, affichant un facteur d'exploitation cumulatif de 79,53 %, selon les données de l'Agence internationale de l'énergie atomique[1]. Le réacteur de Gentilly a produit 3 490 gigawatt-heure d'énergie en 2010[1], soit un peu moins de 2 % de la production québécoise.

Sa situation géographique — à proximité des centres de consommation de Montréal et de Québec —, lui confère une importance particulière au sein du réseau électrique québécois, puisqu'elle permet de stabiliser la tension dans les lignes qui acheminent les grandes quantités d'énergie hydroélectrique produite dans les centrales du nord du Québec[20].

En 2005, un responsable de la division nucléaire d'Hydro-Québec affirmait que le coût de production à la centrale de Gentilly-2 s'élevait à 6 cents le kilowatt-heure[21].

Turbine à gaz

En cas de panne du réseau électrique, les services auxiliaires de Gentilly-2 doivent être réalimentés en moins de 30 minutes afin de garantir la sûreté de la centrale et de protéger le matériel de production lors de pannes prolongées. Selon le protocole convenu avec les autorités fédérales, responsables de la sécurité nucléaire, la centrale Beaumont sur la rivière Saint-Maurice était chargée de rétablir le service dans une telle éventualité[22].

Cependant, les deux pannes générales du réseau électrique québécois survenues en 1988 ont démontré que ce scénario était irréaliste. L'alimentation par d'autres centrales hydroélectriques ou thermiques situées à proximité n'offrant pas le niveau de fiabilité requis[22], Hydro-Québec a construit une centrale thermique de 381 mégawatts[23] à 450 m du coeur de la centrale[24], sur un terrain qui a servi à l'entreposage lors de la construction de Gentilly 2[25].

La centrale de Bécancour, qui est équipée de 4 turbines à gaz alimentées au diesel, peut démarrer en quelques minutes. Elle peut être démarrée et maintenue en marche à partir de la salle de commande de Gentilly-2 par le personnel indispensable en cas d'évacuation du site[24]. Les turbines de la centrale de Bécancour, qui utilisent un combustible relativement cher, servent surtout lors des pointes, en hiver lorsque la demande est très élevée et que la production d'hydroélectricité ne suffit pas[26].

Réfection

Après plusieurs années d'études, le gouvernement du Québec a annoncé, le 19 août 2008, la réfection de la centrale de Gentilly-2. L'opération de réfection nécessitera la fermeture de la centrale entre le printemps de 2011 et l'automne de 2012. Le projet, d'un coût total estimé à 1,9 milliard de dollars canadiens, prolongera la vie utile de la centrale jusqu'en 2040[27],[28].

Les opérations de rénovation comprennent la réfection du réacteur et du groupe turbine alternateur et le remplacement des ordinateurs de contrôle. Le projet comprend aussi l'agrandissement des installations de gestion des déchets radioactifs solides, dont une première phase s’est terminée en 2008[29].

Hydro-Québec soutient que l'électricité produite à Gentilly-2 après la réfection aura un prix de revient de 7,2 cent le kilowatt-heure et que ces coûts comprennent les coûts de réfection, les frais d'exploitation durant 25 ans, le coût de démantèlement et le transfert des déchets radioactifs vers un dépôt permanent dans un lieu qui reste à être déterminé[20].

La société d'État québécoise mise sur l'expérience acquise pendant la réfection à Point Lepreau, une centrale presque identique située au Nouveau-Brunswick et gérée par Énergie NB, pour optimiser son programme de réfection[30].

Hydro-Québec a annoncé, le 16 août 2010, qu'elle reportait de 2011 à 2012 le début des travaux de réfection de la centrale. La décision de l'opérateur survient « dans le cadre de la révision des échéanciers des réfections en cours des centrales de type CANDU » au Nouveau-Brunswick et à la Wolsong, en Corée du Sud. Hydro-Québec précise également qu'elle espère obtenir « les assurances nécessaires » au sujet de l'avenir d'Énergie atomique du Canada limitée (EACL)[31], que le gouvernement fédéral canadien veut privatiser[32].

En mars 2011, le président directeur-général d'Hydro-Québec, Thierry Vandal n'a pas exclu l'annulation du projet de réfection ou la fermeture complète de la centrale de Gentilly-2 et s'est engagé à fournir «toutes les informations au gouvernement pour qu'une décision éclairée et réfléchie puisse être prise». L'évaluation fera le point sur la réfection des centrales similaires, la privatisation envisagée d'Énergie atomique du Canada limitée et l'accident à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon[33].

En juin 2011, la Commission canadienne de sécurité nucléaire a renouvelé le permis d'exploitation de la centrale et autorisé sa réfection, qui doit débuter en 2012 si le gouvernement du Québec va de l'avant avec le projet[34].

Notes et références

  1. a, b, c, d et e (en) Agence internationale de l'énergie atomique, « Gentilly-2 » sur Power Reactor Information System, 2011. Consulté le 2011-03-24
  2. (en) Louis-Gilles Francoeur, « Un dépotoir nucléaire à Blanc-Sablon ? », dans Le Devoir, 2 juin 2009 
  3. Bothwell 1988, p. 390-391
  4. a et b Bothwell 1988, p. 391
  5. Bolduc 2000, p. 66-76
  6. Bothwell 1988, p. 393
  7. Bothwell 1988, p. 394-395
  8. a, b et c Hydro-Québec, Historique des centrales Gentilly-1 et Gentilly-2, Trois-Rivières, 2002, pdf, 6 p. (ISBN 2-550-26819-9) [lire en ligne] 
  9. Bothwell 1988, p. 397
  10. Bothwell 1988, p. 489
  11. Bothwell 1988, p. 513
  12. (en) Agence internationale de l'énergie atomique, « Gentilly-1 » sur Power Reactor Information System, 30 novembre 2009. Consulté le 30 novembre 2009
  13. Robert Bourassa, L'énergie du Nord : La force du Québec, Montréal, Libre Expression, 1985, 224 p. (ISBN 2-89037-252-9), p. 26 .
  14. a et b Bolduc 2000, p. 113
  15. a et b Bolduc 2000, p. 119-120
  16. Bothwell 1988, p. 517-518
  17. Bothwell 1988, p. 526
  18. Bothwell 1988, p. 527
  19. Vincent David, L'énergie au Québec, Rapport présenté au comité de l'énergie, Conseil de planification et développement du Québec, 1975, p. 23-24 .
  20. a et b Dominique Forget, « Rénovation extrême », dans Québec Science, vol. 47, no 6, mars 2009, p. 22-25 (ISSN 0021-6127) .
  21. Mathieu-Robert Sauvé, « Énergie : Le retour du nucléaire », dans L'actualité, Montréal, vol. 30, no 18, 15 novembre 2005, p. 77 
  22. a et b Bureau d'audiences publiques sur l'environnement 1991, p. 9
  23. Hydro-Québec, « Centrales thermiques ». Consulté le 2010-09-18
  24. a et b Bureau d'audiences publiques sur l'environnement 1991, p. 13
  25. Bureau d'audiences publiques sur l'environnement 1991, p. 10
  26. Hydro-Québec, « Comprendre l'électricité : combustibles fossiles ». Consulté le 2010-09-18
  27. Gouvernement du Québec, « Réfection de la centrale nucléaire Gentilly-2 - Une contribution importante à la sécurité énergétique du Québec » sur Ministère des Ressources naturelles et de la faune du Québec, août 2008. Consulté le 2010-09-10
  28. Hydro-Québec, « Hydro-Québec procède à la réfection de la centrale de Gentilly-2 », août 2008. Consulté le 2010-09-10
  29. Hydro-Québec 2009, p. 31
  30. Hydro-Québec Production, « Réfection de la centrale nucléaire de Gentilly-2 ». Consulté le 18 mars 2009.
  31. Hydro-Québec, « Hydro-Québec reporte de 2011 à 2012 le début des travaux de réfection de la centrale de Gentilly-2 », août 2010. Consulté le 2010-09-10
  32. Pierre-Olivier Pineau, « Énergie atomique du Canada - «Vente de feu» dans le nucléaire canadien », dans Le Devoir, Montréall, 2 juin 2009 [texte intégral (page consultée le 2010-09-10)] 
  33. Sylvain Larocque, « Hydro-Québec pourrait fermer Gentilly-2 », dans Le Nouvelliste, Trois-Rivières, 23 mars 2011 [texte intégral (page consultée le 2011-03-23)] 
  34. Charles Côté, « La réfection de Gentilly-2 est autorisée », dans La Presse, 30 juin 2011 [texte intégral (page consultée le 23 juillet 2011)] 

Voir aussi

Bibliographie

  • André Bolduc, Clarence Hogue et Daniel Larouche, Hydro-Québec : l'héritage d'un siècle d'électricité, Montréal, Libre expression, 1989, 341 p. (ISBN 2-89111-388-8) 
  • André Bolduc, Du génie au pouvoir : Robert A. Boyd, à la gouverne d'Hydro-Québec aux années glorieuses, Montréal, Libre expression, 2000, 259 p. (ISBN 2-89111-829-4) .
  • Robert Bothwell, Nucléus : l'histoire de l'Énergie atomique du Canada Limitée, Ottawa, Agence d'Arc, 1988, 558 p. (ISBN 2-89022-132-6) 
  • Bureau d'audiences publiques sur l'environnement, Rapport d'enquête et d'audience publique. Construction d'une centrale à turbines à gaz à Bécancour, Québec, BAPE, 1991 (ISBN 2-550-22403-5) [lire en ligne (page consultée le 2010-09-18)] 
  • Hydro-Québec, Rapport annuel 2008 : L'énergie de notre avenir, Montréal, avril 2009, pdf, 115 p. (ISBN 978-2-550-55044-0) [lire en ligne] .
  • Julie Lemieux, Avez-vous peur du nucléaire? vous devriez peut-être..., Québec, Éditions MultiMondes, 2009, 202 p. (ISBN 978-2-89544-162-5) 

Articles connexes

Liens externes


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