Brian Jones (musicien)

Brian Jones (musicien)
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Brian Jones en 1965

Brian Jones, de son vrai nom Lewis Brian Hopkin Jones, né le 28 février 1942 à Cheltenham, Gloucestershire, et décédé le 3 juillet 1969 à Hartfield, Sussex, est un musicien britannique.

Il est surtout connu pour avoir été le fondateur des Rolling Stones, groupe pour lequel il a joué de 1962 à 1969. Principalement guitariste et harmoniciste au sein des Rolling Stones, Brian Jones maîtrisait de nombreux instruments traditionnels tels que le sitar et marimba qu'il a intégré à de nombreux titres du groupe, influençant considérablement leur musique dans les années 60. Relégué au second plan par le duo Mick Jagger / Keith Richards, connaissant de sérieux problèmes avec la drogue et dans sa vie sentimentale[1], il est contraint de quitter les Rolling Stones en juin 1969. A peine un mois après, il est retrouvé mort dans sa piscine.

Sommaire

Biographie

Avant les Rolling Stones

Né dans une famille de musiciens (sa mère Louisa est professeur de piano et son père Lewis joue de l'orgue dans la chorale de l'église locale[2]), Brian Jones est très tôt intéressé par la musique. A quatre ans, une attaque de croup le rend asthmatique, une affliction qui le suivra toute sa vie[3].

Très jeune, Brian est touché par les grands bluesmen noirs américains. Il persuade ses parents de lui offrir un saxophone puis reçoit une guitare pour ses 17 ans[4]. Au delà de son apprentissage musical, il se révèle un élève assez brillant, obtenant notamment trois A-Level en physique, chimie et biologie. Néanmoins, il a quelques difficultés avec l'autorité scolaire, puisqu'il est renvoyé à deux reprises[5]. En 1959, à 16 ans, il met Valerie Corbett, une amie de classe de 14 ans enceinte et est renvoyé de son école. L'enfant est placé chez un couple sans enfant.

Commence alors une vie d'errance pour Brian Jones qui quitte le foyer familial et se rend en Scandinavie. Il traverse l'Europe avec sa guitare, gagnant quelques sous en jouant dans la rue[6]. De retour à Cheltenham, il joue un temps du saxophone dans un groupe nommé The Ramrods. En août 1960, il devient père pour la seconde fois (bien qu'il ne le sache pas) après une coucherie avec une toute jeune mariée[7]. Brian Jones aura en tout 6 enfants (tous de mères différentes), dont trois nés avant même la création des Rolling Stones.

En octobre 1961, peu après la naissance de son troisième enfant, il s'installe avec la mère de celle-ci, Pat Andrews, à Londres. Très interessé par le blues et le jazz, Brian Jones se lie d'amitié avec les grandes figures de la (petite) scène rhythm and blues de la capitale, notamment Alexis Korner, Jack Bruce (futur bassiste de Cream), Manfred Mann ou Paul Jones. Il intègre le groupe d'Alexis Korner, le Blues Incorporated dans lequel il joue de la guitare slide dans les salles de la capitale sous le pseudonyme d'Elmo Lewis (en référence au bluesman Elmore James). En avril 1962, Mick Jagger, Keith Richards et Dick Taylor voient Brian Jones jouer à l'Ealing Jazz Club. Les trois musiciens qui ont monté leur propre groupe Little Blue Boy and The Blue Boys se greffent au Blues Incorporated.

Soucieux de monter son propre groupe, Brian Jones passe une petite annonce dans Jazz News fin 1961. Ian Stewart répond à l'annonce. La première mouture des Rolling Stones se forme avec Brian Jones et un certain Geoff Bradford aux guitares, Ian Stewart au piano, Paul Pond au chant[8]. Le poste de batteur est fluctuant: plusieurs batteurs payés au concert se succèdent dont Charlie Watts et Mick Avory (futur Kinks). Lorsque Paul Pond quitte le groupe, Alexis Korner suggère à Brian Jones le chanteur Mick Jagger qui a fait sa place dans le Blues Incorporated[8]. Ce dernier impose alors son ami Keith Richards ainsi que Dick Taylor. Geoff Bradford quitte le groupe et Ian Stewart, Brian Jones, Mick Jagger, Keith Richards et Dick Taylor forment l'ossature du groupe qui prendra en juin, le nom de Rollin' Stones avant de s'appeler Rolling Stones. Selon Keith Richards, c'est Brian Jones qui trouve le nom du groupe, alors qu'il est au téléphone en train de prospecter pour trouver des engagements pour des concerts. Alors qu'on lui demande le nom de son groupe, il cite le premier nom qu'il a sous les yeux: le titre d'un morceau de Muddy Waters: Rollin' Stone[9]. Néanmoins, il semblerait que cette anecdote ne soit qu'une légende, puisque d'après Ian Stewart, dès sa première rencontre avec Brian Jones suite à l'annonce dans Jazz News, Brian Jones avait déjà décidé de nommer son futur groupe Rollin' Stones[10]

Plus tard dans l'année, Bill Wyman remplacera Dick Taylor à la basse et Charlie Watts prendra le poste de batteur. La formation des Rolling Stones (sans Ian Stewart écarté par le manager Andrew Loog Oldham) ne bougera plus jusqu'en 1969.

Au sein des Rolling Stones

Avec les Rolling Stones, Brian Jones se révèle comme un brillant multi instrumentiste, donnant un son particulier à la musique de l'époque du groupe. Lors des premières années avec les Stones, il s'illustre par ses parties de guitare slide que l'on peut entendre sur des titres comme I Wanna Be Your Man, I'm A King Bee ou Little Red Rooster mais aussi par ses parties d'harmonica que l'on entend sur Stoned, Not Fade Away ou I Just Want to Make Love to You. Petit à petit, il intègre aux compositions des Rolling Stones de nombreux instruments traditionnels comme le sitar (Paint It Black, Street Fighting Man), le marimba (Under My Thumb), la trompette (Child of the Moon), l' accordéon (Backstreet Girl), le saxophone et le haubois (Dandelion) ou le mellotron (She's A Rainbow)...

Cependant, l'arrivée du manager Andrew Loog Oldham en 1963 va peu à peu diminuer l'influence de Brian Jones sur le groupe. Oldham décide de pousser le duo Mick Jagger/Keith Richards à composer leur propres titres et donc à s'imposer comme les leaders du groupe, chose qui sera effective en 1965, lorsque les compositions du duo atteindront les premières places des charts. Le rôle de Brian Jones en charge des directions musicales devient donc obsolète. De plus, le charisme scénique de Mick Jagger pousse Brian Jones au second plan.

Selon Oldham, Brian Jones était depuis le début à l'écart dans le groupe[11]. Il ne voyageait pas avec les autres membres du groupe en tournée, ne dormait pas dans les mêmes chambres et exigeait une paye supplémentaire en qualité de leader, ce qui à termes, provoquera un certain ressentiment des autres musiciens du groupe[9].

Incapable de rivaliser avec le duo Jagger/Richards dans la composition, ou d'imposer ses idées dans la direction musicale du groupe, Brian Jones sombre peu à peu dans une dépression qu'amplifie son fort usage de drogues et d'alcool. Son état de santé se détériore et il doit de nombreuses fois être hospitalisé. Ses rapports avec ses proches sont très changeants, parfois très amicaux parfois colériques. Dans son livre Stone Alone, Bill Wyman disait qu'il y avait à l'époque « deux Brian ». En 1967, il est arrêté chez lui en possession de cocaïne, de marijuana et de méthamphétamine. Il évite la prison mais est une nouvelle fois arrêté pour possession de cannabis en mai 1968. Ces démêlés avec la justice n'arrangent pas ses problèmes.

Sur le plan sentimental, Brian Jones connaît aussi de nombreuses déboires. Alors qu'il est hospitalisé pour une crise d'asthme en France sur le trajet d'un voyage au Maroc, Keith Richards entame une liaison avec sa petite amie Anita Pallenberg[12]. Lorsqu'il reviendra de convalescence, Keith, Anita (mais aussi Mick Jagger et Marianne Faithfull) abandonneront Brian au Maroc, sans lui laisser un mot.

Sa participation aux enregistrements des Stones devient de plus en plus erratique. Jones ne participe qu'épisodiquement aux sessions de Beggars Banquet, album qui marque un renouveau musical par rapport au précédent. On lui doit notamment la partie de guitare slide sur No Expectations et le sitar sur Street Fighting Man. L'ingénieur du son de l'époque raconte qu'il arrivait qu'on coupe les micros à Brian Jones tellement son jeu était inaudible et aléatoire[réf. nécessaire]. Dans le documentaire "One+One", tourné par Jean-Luc Godard pendant les enregistrements de Beggars Banquet, on le voit gratter une guitare acoustique avec Mick Jagger au moment de la conception de Sympathy for the Devil, mais sa partie n'est pas retenue dans l'enregistrement final.

Le Rock'n roll circus, show organisé par les Stones en décembre 1968 avec la participation de plusieurs grands noms du rock, dont les Who, John Lennon, Marianne Faithfull, Eric Clapton ou Jethro Tull, est la dernière prestation de Brian Jones avec le groupe. Pete Townshend, guitariste des Who pensait que c'était le dernier concert de Brian Jones et beaucoup pensaient que son départ des Stones était proche[13].

Le 9 juin 1969, Brian Jones annonce qu'il quitte les Rolling Stones, officiellement pour divergences musicales[12]. Néanmoins, il semblerait que ce soit les autres membres du groupe qui l'aient informé de leur intention de poursuivre sans lui[14]

Décès

Dans la nuit du 2 au 3 juillet 1969, peu après minuit, Brian Jones est retrouvé inconscient au fond de sa piscine à Cotchford Farm dans le Sussex, par Janet Lawson, une amie qu'il a invitée. Cette dernière prévient la petite amie suédoise de Brian qui est infirmière, Anna Wohlin. Celle-ci tente de le réanimer mais lorsque le médecin arrive, il est déclaré mort. L'autopsie révèlera que Brian Jones avait pris une certaine quantité d'amphétamine et d'alcool mais aussi que sa santé était particulièrement détériorée. Son foie et son cœur étaient hypertrophiés en raison de son usage massif d'alcool et de drogues[15]. Le rapport d'autopsie conclut à une "mort par mésaventure" (death by misadventure)[16]

Néanmoins, rapidement, de nombreuses rumeurs circulent autour des circonstances de sa mort. L'une des plus communes serait que la mort de Brian Jones serait consécutive à un meurtre[17]. Certaines théories (sans fondement) impliquent même certains Rolling Stones, particulièrement Mick Jagger et Keith Richards dans le meurtre. Cependant, le meurtrier présumé qui est souvent cité serait Frank Thorogood, un entrepreneur chargé de la rénovation de la maison du musicien des Stones[16]. Ce dernier aurait avoué sur son lit de mort en 1994, à Tom Keylock, un ami de Brian, qu'il avait tué le musicien[18]. Selon Janet Lawson, Frank Thorogood aurait été le dernier à voir Brian Jones vivant. Les deux hommes seraient allés se baigner dans la piscine. Janet Lawson déclarera plus tard qu'elle avait vu Thorogood "sauter dans la piscine" et "faire quelque chose à Brian" pendant qu'elle cherchait un inhalateur pour asthmatique[16]. Néanmoins, Frank Thorogood, Tom Keylock et Janet Lawson ne parleront plus, puisque les trois sont morts[18]. Anna Wohlin, la petite amie de Brian Jones, a écrit un livre: The Murder of Brian Jones dans lequel elle soutient le fait que c'est Thorogood qui l'a tué.

De nombreux artistes vont rendre hommage au guitariste des Stones. Pete Townshend, guitariste des Who écrira un poème sur Brian qui sera publié dans le Times: A Normal Day for Brian, A Man Who Died Every Day (Un jour normal pour Brian, un homme qui mourrait tous les jours), Jimi Hendrix lui dédicacera une chanson lors d'un passage télévisé, Jim Morrison des Doors écrira un poème: Ode to L.A. While Thinking of Brian Jones, Deceased (Ode à L.A. en pensant à Brian Jones, décédé).

Les Rolling Stones rendront hommage à leur ancien guitariste deux jours après sa mort, à l'occasion d'un concert gratuit programmé de longue date dans Hyde Park, afin entre autres à l'origine, de présenter leur nouveau guitariste: Mick Taylor. Le 5 juillet 1969, devant 300 000 spectateurs, Mick Jagger lit des extraits d'Adonaïs de Percy Shelley en hommage à Brian Jones. S'ensuit un lâcher de papillons blancs. Le groupe démarre le concert avec une reprise d'une chanson de Johnny Winter: I'm Yours and I'm Hers qui était l'un des préférés de Jones.

Brian Jones est enterré le 10 juillet 1969 dans le cimetière de Cheltenham. Les seuls Rolling Stones présents sont Charlie Watts et Bill Wyman.

Brian Jones est entré dans le 27 Club regroupant les figures de la musique décédées à 27 ans, comme Janis Joplin, Jimi Hendrix, Jim Morrison, Robert Johnson, Alan Wilson, Pete Ham (Badfinger) ou Kurt Cobain.

Dans le livre 25x5, Mick Jagger lui rendra hommage en disant : « Nous avons essayé de rester dans la droite ligne du rhythm and blues ; Brian a su nous en faire sortir, avec parfois de très heureux résultats. ».

Vie privée

Brian Jones a eu de nombreuses conquêtes féminines durant sa vie notamment Pat Andrew, Linda Lawrence, Anita Pallenberg, la chanteuse Nico, Linda Keith (ancienne petite amie de Keith Richards), Suki Potier, Zouzou, Amanda Lear en 1969, relation évoquée dans la chanson Miss Amanda Jones de l'album Between the Buttons[19],[20]. Sa dernière petite amie fut Anna Wohlin.

Brian a eu six enfants (tous de mères différentes) :

  • Un garçon, né en 1959, conçu avec Valerie Corbett, 14 ans. L'enfant sera confié à une famille.
  • Une fille, née en 1960, conçue avec une femme mariée nommée Angeline.
  • Julian Mark, né en 1961, conçu avec Pat Andrew. Il ne vivra pas avec elle, mais s'occupera d'elle quelque temps, surtout au début des Stones, où ils (elle et le bébé) venaient dormir de temps à autre dans la colocation « stonienne » d'Edith Grove,
  • Julian Brian, né en 1964, conçu avec Linda Lawrence, sa petite amie du moment ; relation qu'il entretenait parallèlement à celle avec Pat Andrew.
  • Paul Andrew (renommé plus tard John), né en 1965, conçu avec une adolescente, Dawn Molloy. Adopté.
  • Barbara, née en 1969, conçue avec une mannequin américaine nommée Elizabeth.

Postérité

Brian Jones reste dans l'histoire du rock comme le fondateur des Rolling Stones. Selon Bill Wyman, les Rolling Stones n'auraient jamais existé sans lui[21]. Il est souvent considéré par beaucoup de journalistes, comme l'"âme" des Rolling Stones, par son attachement à jouer du blues. Multi-instrumentiste de génie, il se fait connaître en Angleterre, comme l'un des premiers joueurs de guitare slide du pays, une technique qui est alors inconnue à l'époque[21]. Ensuite, par sa maîtrise de nombreux instruments, il permet au groupe de se trouver un son à leurs débuts. Keith Richards disait de lui qu'il était capable de jouer n'importe quel instrument[21].

À partir de 1965, lorsque le groupe prend des orientations plus pop, que Mick Jagger et Keith Richards deviennent progressivement les leaders des Stones, Brian Jones s'intéresse à d'autres styles de musique. En 1968, il enregistre de la musique traditionnelle arabe lors d'un séjour au Maroc qui sera édité sous le nom de Brian Jones Presents the Pipes of Pan at Joujouka.

Brian Jones était aussi une icône de la mode et du Swinging London, en raison de ses tenues excentriques et de son côté flamboyant. Il était ouvert à de nombreux autres artistes et avait noué de bonnes relations avec Jimi Hendrix et Bob Dylan. En 1967, il est le seul Rolling Stone à se rendre au festival pop de Monterey où il monte sur scène pour présenter le set de Jimi Hendrix.

Néanmoins, Brian Jones était aussi réputé par sa consommation excessive de drogues et par ses humeurs changeantes susceptibles de conflit avec ses proches. Bill Wyman a déclaré qu'il y avait deux Brian: "l'un introverti, timide et profond, l'autre était un paon, grégaire, à la recherche d'assurance de ses pairs"[21]. Selon Mick Jagger, Brian Jones était trop sensible pour être une star du rock[21]. Keith Richards disait à Brian Jones qu'il n'atteindrait jamais les trente ans[21] et ce dernier en avait conscience.

Marianne Faithfull déclara dans son autobiographie, que Mick Jagger et Keith Richards l'humiliaient et le raillaient sans merci et qu'au lieu de le soutenir, tout le monde se moquait de ses problèmes ("One of the things that keeps you alive when you're on the skids is that people care what happens to you," ... "It's your life line, and with Brian nobody really cared anymore.")[22]. Charlie Watts déclara qu'en le virant du groupe, ils l'avaient presque tué[22].

L'une des difficultés majeures de Brian Jones au sein des Rolling Stones fut son incapacité à écrire et composer pour le groupe, ce qui l'avait mis dans une position de faiblesse par rapport au duo Jagger/Richards. Selon Keith Richards, Brian n'a jamais réussi à écrire une chanson complète, juste des bouts qu'il refusait de montrer aux autres membres du groupe[23]. Néanmoins, selon Bill Wyman, les morceaux ébauchés par Brian étaient présentés au groupe mais systématiquement refusés par le duo Jagger/Richards[23]. Il faut dire que le duo n'a jamais apprécié de voir d'autres membres du groupe écrire des chansons: Bill Wyman n'a réussi qu'à enregistrer sa composition In Another Land que parce que Jagger et Richards n'étaient pas au studio ce jour-là[24].

Les seuls compositions connues de Brian Jones sont un jingle de 30 seconds pour Kellog's, la musique du film allemand Mord und Totschlag (en anglais A Degree of Murder), Hear It (un morceau co-crédité avec Keith Richards mais qui semblerait n'avoir été composé que par Jones), Dust My Pyramids, Sure I Do (des morceaux qui n'ont jamais été édités par les Stones).

Film

Le film Stoned sorti en 2006 lui est consacré. Un film de Stephen Woolley avec Leo Gregory dans le rôle de Brian Jones.

Des documentaires sont parus également : "Brian Jones et les Rolling Stones" de Richard Driscoll, sorti en 2006 ; et "The Rolling Stones : In Memory of Brian Jones".

Notes

  1. Richards, Keith and James Fox. Life. 2010: Little, Brown & Company, pp. 198-199.
  2. Wyman, Bill (2002). Rolling With the Stones. Dorling Kindersley. ISBN 0751346462.p. 10
  3. Wyman, Bill. Stone Alone (1990)
  4. ^ a b Wyman, Bill (2002). Rolling With the Stones. Dorling Kindersley. ISBN 0751346462. P. 23.
  5. Wyman, Bill (2002). Rolling With the Stones. Dorling Kindersley. ISBN 0751346462.p. 19
  6. Massimo Bonano, Le Grand Livre des Stones, 1990, ISBN: 2-85956-862-X, p.6
  7. Wyman, Bill (2002). Rolling With the Stones. Dorling Kindersley. ISBN 0751346462.p. 28
  8. a et b François Bon, Rolling Stones une biographie, 2002, ISBN 2-213-61308-7, p105 - 110
  9. a et b Keith Richards, Life, 2010
  10. François Bon, Rolling Stones une biographie, 2002, ISBN 2-213-61308-7, p119 - 120
  11. Andrew Loog Oldham, Stoned (St. Martin's Press, 2005), p. 210 - 300.
  12. a et b Massimo Bonano, Le Grand Livre des Stones, 1990, ISBN: 2-85956-862-X, p.64-65
  13. The Rolling Stones, Pete Townshend, et al.. Rock and Roll Circus. [commentary to the 2004 DVD release]. ABKCO Films.
  14. Wyman, Bill (2002). Rolling With the Stones. Dorling Kindersley. ISBN 0751346462.p. 326
  15. Massimo Bonano, Le Grand Livre des Stones, 1990, ISBN: 2-85956-862-X, p.89-90
  16. a, b et c http://www.dailymail.co.uk/tvshowbiz/article-1090439/Has-riddle-Rolling-Stone-Brian-Joness-death-solved-last.html
  17. Daily Mail du 29 août 2009
  18. a et b http://next.liberation.fr/musique/0101588275-brian-jones-la-these-du-meurtre-refait-surface
  19. Frédéric Lecomte, Rolling Stones 63/90 Le Chemin des pierres - Spécial Rolling Stones, 1990, p. 17 
  20. Amanda Lear - ARTE-TV
  21. a, b, c, d, e et f http://brianjones.galeon.com/opiniones.htm
  22. a et b http://culturecatch.com/music/brian-jones-drowning
  23. a et b François Bon, Rolling Stones, une biographie, 2002, ISBN 2-213-61308-7, p.229
  24. François Bon, Rolling Stones, une biographie, 2002, ISBN 2-213-61308-7, p.230

Bibliographie

Revues, magazines…

  • Music Geant, Hors-série nº 4, « Le Monde des Rolling Stones à travers leurs interviews », s. d.
  • Extra, nº 26, janvier 1973
  • Best, nº 167, juin 1982
  • Guitare Magazine, nº 20, juin 1982
  • Salut !, nº 175, du 9 au 22 juin 1982
  • Paroles et Musique, nº 65, décembre 1986
  • L'Événement &, Hors-série nº 1, « Spécial Rolling Stones », juin 1990
  • Musicien, Hors-série nº 2, « Spécial Rolling Stones », 1990
  • Best, nº 264, juillet 1990
  • Rock & Folk, Spécial Hors-série nº 1, « 1966-1990 Nos années Stones », 1990
  • Jukebox magazine, nº 72, juillet-août 1993
  • Rock & Folk, Hors-série nº 12, « 30 ans de rock et de folk », novembre 1996
  • Jukebox magazine, nº 231, juin 2006
  • Rock & Folk, nº 466, juin 2006

Livres

  • Philippe Bas-Rabérin, Les Rolling Stones, Albin Michel / Rock & Folk, coll. « Rock & Folk », Paris, 1972, 192 p.
  • François Jouffa, Jacques Barsamian, Stones-story, Éditions de France, coll. « Story », Paris, s. d. (1976), 160 p.
  • Robert Greenfield (trad. Philippe Paringaux), S.T.P. À travers l'Amérique avec les Rolling Stones, Les Humanoïdes associés, coll. « Speed 17 », Paris, 1977, 395 p. + 16 p. H. T. (ISBN 2902123191)
  • Roy Carr (trad. J. M. Denis), The Rolling Stones, Éditions Delville, Paris, 1976, 120 p. (ISBN 2859220038)
  • (en) David Dalton, The Rolling Stones : The First Twenty Years [« Les Rolling Stones : Les Vingt premières années »], Alfred A. Knopf, New York, 1981, 192 p. (ISBN 0394524276)
  • (en) Robert Palmer, Mary Shanahan, The Rolling Stones [« Les Rolling Stones »], Sphere Books Limited, Londres, 1984, 256 p. (ISBN 0722166567)
  • Philipp Norman (trad. Éditions Robert Laffont), Les Stones, Éditions Robert Laffont, 1984, 410 p. + 8 p. H. T. (ISBN 2221045750)
  • (en) Felix Aeppli, Heart of Stone : The Definitive Rolling Stones Discography, 1962-1983 [« Heart of Stone : Discographie complète des Rolling Stones, 1962-1983 »], Pierian Press, Ann Arbor, coll. « Rock & Roll Reference, nº 17, 1985, xliv + 535 p. (ISBN 0876501927)
  • (en) Martin Elliott, The Rolling Stones Complete Recording Sessions 1963 – 1989 : A Sessionography, Discography and History of Recordings From the Famous Chart-toppers to the Infamous Rarities, January 1963 – November 1989, Blandford, Londres, 1990, 224 p. (ISBN 0713721189)
  • David Carter (trad. Jacques Collin), Les Rolling Stones, Éditions Hors Collection, s. l., 1994, 80 p. (ISBN 2258058820)
  • Steve Appleford (trad. Jacques Collin), L'Intégrale Rolling Stones : Les Secrets de toutes leurs chansons, Éditions Hors Collection, s. l., 1997, 256 p. (ISBN 2258048834)
  • Jacques Barsamian, François Jouffa, Les Stones : 40 ans de rock & roll, Éditions Ramsay, Paris, 2003, 500 p. (volume de texte), 32 p. (album photos), CD Aux sources des Stones (ISBN 2841146537)
  • François Bon : Rolling Stones, une biographie, Fayard, 2002 - Repris Livre de Poche 2004
  • Stanley Booth : The Rolling Stones
  • Bill Wyman : Stone Alone, Rolling with the Stones
  • Rolling Stones : Selon les Rolling Stones
  • James Phelge : Nankering With the Rolling Stones ISBN 1-55652-373-4
  • Philippe Manœuvre : "Stoned"

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