Liste de goguettes

Liste de goguettes

Cette liste de 1075 goguettes françaises, 10 goguettes belges, 18 goguettes américaines, une goguette allemande, une goguette anglaise et une goguette australienne a pour ambition de rassembler le plus grand nombre possible de noms de goguettes existants dans la documentation conservée sur elles.

Il s'agit d'une très faible partie des goguettes ayant existé. Jean Frollo, dans un article paru en 1902, estime qu'il y en a à ce moment-là des centaines à Paris et des milliers en France, répandus partout sur son sol, jusque dans les hameaux les plus reculés[1]. Il manque par exemple ici la plupart des goguettes de Bordeaux, Marseille, Toulouse, ainsi que les goguettes de Rouen dont Eugène-Alphonse Monet de Maubois dit Eugène Imbert mentionne l'existence dans une étude publiée en 1873[2].

Exceptées les Barbaillans au Luc[3], les Bigophones de Metz-Rurange[4], la Fanfare des Bigophoneux chatelleraudais[5] et les Rigolados[6] de Châtellerault, les sociétés philanthropiques et carnavalesques de Dunkerque et sa région, le Ravanet à Menton, la goguette du Gamounet à Saint-Bonnet-près-Riom, les cougourdons sospellois à Sospel[7], la goguette des Z'énervés à Paris[8], la goguette d'Enfer à Chassepierre en Belgique, la goguette des Jardiniers[9] et la Fanfare bigophonique C'est Caïman trop Marrant[10] ! à Asnières, il s'agit ici d'associations qui ont toutes disparues.

Un certain nombre de goguettes ont disparu sans laisser de traces. D'autres n'avaient pas de nom. Ainsi, par exemple, à ses débuts la première Société du Caveau n'en avait en fait pas. Comme il s'agissait de dîners rassemblant ponctuellement des convives se connaissant en un endroit nommé le Caveau, on parla des dîners du Caveau. Ce n'est que par la suite que le nom fut formalisé, au point que même quand les réunions des sociétés successives du Caveau eurent lieu en d'autres lieux, on continua à parler des réunions du Caveau. La même manière de désigner une goguette par le nom du lieu où elle se réunit est fréquente dans le Nord. Où on voit des goguettes en fait sans nom appelées société des amis réunis chez, suit le nom de l'estaminet où la goguette a ses habitudes, par exemple : les Amis-Réunis à l'Estaminet du Bas Rouge à Pile. C'est-à-dire un groupe de goguettiers se rassemblant dans l'estaminet du Bas Rouge à Pile, quartier de Roubaix.

Le même nom peut être utilisé par plusieurs goguettes différentes. Par exemple, en 1898, en région parisienne, 7 goguettes s'appellent : Les Fauvettes[11]. Il peut être très difficile de différencier des goguettes homonymes quand on relève leurs noms dans la documentation. C'est seulement quand il est certain qu'un nom trouvé recouvre plusieurs goguettes homonymes que la précision est donnée ici.

La goguette des Insectes, illustration en 1848 de la chanson comique de Dalès ainé Les Insectes. Bourdonnement lyrique[12].

.

Une annonce de la goguette de la Muse Saint-Cyrienne dans L'Humanité du 1er décembre 1922[13].
Goguettiers vus par Gavarni en 1841[14].
Goguettiers vus par Daumier en 1844[15].

Sommaire

Allemagne

Sigmaringen

Angleterre

Seaton-Delaval

  • Bigotphone Band[17]

Australie

Perth

  • Bigotphone Band[18]

Belgique

Goguette chassepierroise

  • Goguette d'Enfer

Goguette estaimpuisienne

Goguettes mouscronnoises

Au moins 13 goguettes ont existé dans la ville belge de Mouscron à partir de 1865 et jusqu'à 1913. Soit elles portent des noms proches de certaines goguettes du nord de la France, ce sont des Sociétés les Amis Réunis. Soit elles portent des noms joyeux évoquant la gaité et l'alcool comme la société Boit sans soif, la société des Francs Lurons, les Maboules du Haut-Judas[20], le Cercle Plaisir avant tout ou la Rigolade des Imbéciles[21]. On connait aussi le nom d'une société bigophonique de Mouscron : les Joyeux Bigophones du Tuquet[22].

Goguette verviétoise

  • Le Caveau Verviétois[23].

Localisation indéterminée

  • Le Soutien de Saint-Gilles[24]

États-Unis

Publicité 1901 pour les zobos. Elle parle de la Church Band (fanfare d'église) de Paterson.

Aux États-Unis on a vendu des bigophones[25], et également leurs équivalents américains : le zobo ou songophone[26] et le vocophone[27]. Ils ont prospéré. Le zobo a été diffusé par centaines de milliers. Des centaines de fanfares sont nées, équivalents outre-atlantique des sociétés bigophonique du vieux continent[28], dont des centaines de fanfares cyclistes. Retrouver les noms de ces fanfares nécessite une recherche particulière. On peut en retrouver : une publicité datant de 1901 nous donne le nom d'une fanfare de zobos à Paterson. En 1896, la Music Trade Review donne un article illustré sur une autre fanfare de zobos, à Philadelphie. Sur Internet on peut voir la photo d'un ensemble féminin de vocophonistes de Verndale[29], etc.

Alaska

Metlakahtla

  • Metlakahtla girls' Zobo Band[30]

Connecticut

New Haven

Hawaï

  • Professor von Bergersons Zobo Band[32]

Idaho

Sandpoint

Indiana

Hammond

  • Straube Silver Horn Band[34]

Massachusetts

Boston

Cambridge

Minnesota

Verndale

  • Vocophone Band[29]

Missouri

Kansas City

New Jersey

Une des centaines de fanfares de zobos (bigophones américains) cyclistes aux États-Unis : la fanfare du Century Wheelmen's Club de Philadelphie en 1896[37].

Paterson

État de New York

Johnstown

  • Prof. Johann Rubensten's Funny Vocophone Orchestra[38]

New York

  • First Zobo Band of New York[39]
  • Zobo band of the Bushwick Wheelmen[40]
  • School 54 NYC band[36]

Ithaca

Ohio

Oberlin

Pennsylvanie

Allentown

  • Muhlenberg University Zobo Band[31]

Philadelphie

  • Zobo Band of the Century Wheelmen's Club[37]

France

Goguette acoutisienne

Goguette aiguepersoise

Goguette aixoise

  • La Garde Républicaine de la commune libre de Balthazar[43]

Goguette amiénoise

  • Les Bigophones du Petit-Saint-Jean (à Amiens[44])

Goguette antiboise

Goguette astérienne

La Lyre Joyeuse d'Avoine

Goguette avoinaise

Goguette balanaise

Goguette barbezilienne

Goguette bauloise

Goguette beaunoise (Beaune)

  • Section « Bigophone » de la Chorale de Beaune[50]

Goguette beaunoise (Beaune-la-Rolande)

Goguette belleysane

Goguette bisontine

Goguette blancoise

Goguettes bordelaises

  • Cercle des chansonniers de Bordeaux[54]
  • Les Disciples de Bacchus[55]
  • Société épicurienne de Bordeaux[56]

Goguette bourcefrançaise

Goguette bourrichone

Goguette brayaude

  • Goguette du Gamounet

Créée en 2004 par Alain Vannaire, président de l'association On connait la chanson. Elle se réunit depuis, chaque premier lundi du mois, dans la Maison des cultures de pays du Gamounet, dans le petit village de Saint-Bonnet-près-Riom, près de Clermont-Ferrand.

Goguette brestoise

Goguette bruyéroise

Goguettes carcassonnaises

  • Les bigophones de la Trivalle[61]
  • Les Bigophones[62]
  • Union bigophonique[63]

Goguette cartérienne

Goguette chartraine

  • Amicale bigotphonique chartraine[65]

Goguettes châtelleraudaises

  • Fanfare de Bigophones de Trifouilles-les-Nénés[66]
  • Fanfare des Bigophoneux chatelleraudais[5]
  • La Gaule Musicale[66]
  • Les Rigolados[6]
  • Société des Bigotphoneux Châtelleraudais[66]

Goguette clissonnaise

Goguette cognaçaise

  • Le joyeux bigophone Saint-Jacquais[68]

Goguette combourgeoise

Goguette conciacienne

Goguette concursonnaise

Goguette courcouroise

Goguettes dieppoises

  • Fanfare des Bigophones de l'Amicale Michelet[73]
  • Fanfare de bigophones de la Commune libre du Pollet[74]

Goguettes dinannaises

Goguette palusienne

Goguette ébroïcienne

  • La Muse républicaine[77]

Goguette feytiacoise

  • Les Marins du Clos[78]

Goguette fougeraise

Goguette gaillonnaise

Goguette gasiaquoise

Goguette guénangeoise

Goguette guerchoise

  • Le Coq Guerchois toujours en haleine

Goguette havraise

  • La Chanson Havraise ou le Caveau Havrais[82]

Goguette jarnacaise

  • Société de bigotphones Bitons de Jharnat (à Jarnac[83])

Goguette jupillaise

Goguette langeaisienne

Goguette lavalloise

  • Les Bigotphones de la Muse Ouvrière[85]

Goguette lexovienne

Goguette loudéacienne

  • Les bigophonistes de la commune libre des Trois Croix (à Loudéac[87])

Goguette lucoise

  • Les Barbaillans[3]

Goguettes lyonnaises

Une fête dans une goguette de Lyon en 1870[88].

Les noms d'une vingtaine de sociétés chansonnières de Lyon sont donnés avec d'autres précisions par le chansonnier Georges Droux dans une étude publiée en 1907[89].

La plus ancienne société connue est la Société épicurienne fondée le 28 janvier 1810 et disparue en 1814. Puis le premier Caveau lyonnais, créé en 1812 et disparu vers 1815 que Droux oublie. Il parle du second Caveau lyonnais créé le 11 janvier 1827 en l'indiquant comme étant le premier Caveau lyonnais. Georges Droux précise aussi que l'existence du Caveau lyonnais né en 1827 fut éphémère. Vient ensuite un troisième Caveau lyonnais, créé en 1865, dont Droux ne parle pas.

D'autres sociétés chansonnières lyonnaises :

Le Banquet des Intelligences, société littéraire et gastronomique dont le premier banquet a lieu le 9 juillet 1841. Il disparaît en août 1850. Il porte également d'autres noms : les Bonnets de coton et Jadis et Toujours. On l'appelle familièrement la Chose.

Il apparaît qu'une deuxième Société épicurienne succéda à la première. Elle est mentionnée en juin 1863 par Eugène Imbert dans un article nécrologique sur Pierre-Joseph Charrin, présenté comme en faisant partie au moment de sa disparition[90].

La Société des Amis de la Chanson créé en 1857 existe toujours en 1907. Célestin Gauthier dit Jules Célès a publié en 1892 un ouvrage consacré à son histoire[91]. L'Alliance lyrique née en 1881 prend au bout d'une quinzaine d'années le nom de la Marjolaine puis disparait rapidement. La société des Baculots est disparue vers 1890. Sur le même modèle existe alors le Cocon qui publie un organe du même nom. Le quatrième Caveau lyonnais, né le 11 mai 1888, est toujours actif en 1907. C'est là que le chansonnier Xavier Privas fait ses débuts en 1888[92]. Le Gai Scavoir est actif du 14 mai 1891 au 2 avril 1894. Le Sansonnet a une existence très brève. La Fauvette fondée en 1893, le Cercle Pierre Dupont fondé le 7 septembre 1894, le Gui fondé en mars 1895 et le Vieux Gui fondé en 1897 existent toujours en 1907 ainsi que le Biniou, les Grillons, l'Athénée. Georges Droux parle également du Cercle de la Chanson, des Amis de la Gaité et des Joyeux Zéphirs.

Jules Célès dans La Chanson illustrée parle en 1870 des chansonniers lyonnais se réunissant « dans une des goguettes de la Croix-Rousse »[93].

Dans le comité d'organisation pour l'érection d'une statue à Pierre Dupont on trouve mentionné en 1880 les noms de sept goguettes lyonnaises : la Lyre Sacrée, la Lyre lyonnaise, les Fils d'Orphée, les Enfants d'Apollon, la Lyre de Perrache, la Cécilienne et l'Union lyrique[94].

En 1880 existe à Lyon la goguette des Joyeux Amis[95].

En 1891 existe la Fanfare des bigophones lyonnais[96]

Il exista également une section lyonnaise du Caveau stéphanois[97].

Goguettes malouines

  • Les Bigophones de la Commune libre de Routhouan[98]
  • Les Cadets Bigophoniques[99]
  • La Gaieté Bigophonique du Clos-Cadot[100]
  • La Gaîté Bigophonique de Saint-Malo[101]

Goguettes mancelloises

  • La Charmeuse[102]
  • Société des Bigophones du Mans[103]
  • Société Bigophoniste « Les Pierrots du Mans »[104]

Goguette marquisoise

Goguette fondée aux îles Marquises en 1843 :

Goguettes marseillaises

  • L'Athénée-Ouvrier[105]
  • Les Bigophones[106]
  • Groupe artistique Les Bigophones[107]
  • Les Bigophones Argentés[108]
  • Les Bigophones du chemin de Montolivet[109]
  • Les Bigophones de la République[110]
  • Les Boulomanes Bigophones[111]
  • Fanfare de bigophones de la République des Maurins[112]
  • La fanfare bigophonique des Pébrous[113]
  • Section de bigophonistes de « La gaieté provençale[114] »
  • La Lyre bigotphonique[115]
  • Les Troubadours de Marseille[116]

Goguette martizéenne

  • Fanfare de Bigotphones Aux Bons Amis Paulnay (à Martizay[117])

Goguette mazérienne

Goguette melessienne

Goguette mendoise

Goguette mentonnaise

  • Le Ravanet

Goguette mohonnaise

  • Fanfare de bigophones de la Jeunesse mohonnaise (à Mohon[121])

Goguette montmorillonaise

Goguette mortainaise

Goguette nanceienne

  • Joyeux lurons bigophonistes nanceiens (créée en 1899[124])

Goguette niçoise

  • Les Joyeux Bigophones Saintongeais[125]

Goguettes niortaises

Goguettes du Nord

Dans cette liste figurent des villages annexés à Lille par un décret impérial le 13 octobre 1858 : Esquermes, Fives, Moulins et Wazemmes. Vauban était un petit hameau du village de Wazemmes.

Armentières

  • Les Bons Amis
  • Les Enfants de Gambrinus[128]
  • La Première avancée
  • Société des Rigolos[129]
  • Société des Risquons-tout[130]

Arras

Auchy-les-Mines

Billy-Berclau

  • Association de bigophones Les Joyeux de Billy[132]

Billy-Montigny

Bouloigne

  • Société des Enfants de Bouloigne[134]

Le Breucq

Le Breucq fait aujourd'hui partie du quartier de Flers Breucq dans la ville de Villeneuve d'Ascq.

  • Les Amis Réunis du Breucq[135]
  • Société du Jardinier

Brunémont

Croix

Denain

  • Les Bigophones denaisiens[137]
  • Les Bigophones[138]

Douai

  • le Banc du seigneur de Cuincy[75]
  • Confrérie des Clers Parisiens[75]
  • Le Puy de Notre-Dame

Dunkerque

Parmi les plus fameuses sociétés festives et carnavalesques genre goguettes aujourd'hui existantes et très actives en France on trouve les associations dunkerquoises. On connait les noms de quatre goguettes dunkerquoises du XIXe siècle : les Enfants du Nord[139], la Société littéraire du Petit Couvert de Momus[140], la Société du Salon littéraire de Dunkerque[141] et la Société des Carnavalos, dont l'existence est attestée en 1826. Un opuscule intitulé Société des Carnavalos a été imprimé cette année-là à Dunkerque chez la veuve Weins. Il contient quatre chansons, deux flamandes et deux françaises[142].

Liste des sociétés philanthropiques et carnavalesques de Dunkerque et sa région en 1997 :

  • Les Acharnés
  • Les Meulenaeres
  • Les Corsaires Dunkerquois
  • Les Stekebeilles
  • Les Chevaliers du XXe siècle
  • Les Judcoot'Lussen
  • Les P'tits Louis
  • La Jeune France[143]
  • Les Potes Iront
  • Les Creules Co
  • Les Moëlâwes du Portel
  • Les Snustreraer
  • Le Sporting Dunkerquois[143]
  • Les Swatelaeres
  • Les Reutelaeres
  • Les Kakernesches
  • Les Coot'ches Gais
  • Les Quat'z'Arts
  • Les Halles Bardes
  • Les Loonois
  • Les Nounn'tches
  • Les Neuze Nyt
  • Les Straetepoppes
  • Les Joyeux Berguenards
  • Les Jusynaerts
  • Les Buckenaeres
  • Les Peulemeuches
  • Les Pot'je Vleesches
  • Les P'tits Pitous
  • Les Gais Lurons
  • Les Quickepitchenaeres
  • Les Ckoukenards
  • Les Peirates
  • Les Optimistes
  • Les Bringuenaerds
  • Les Zamustaers
  • Les Joyeux Beultes
  • Les Creu'tches de l'A.C.S. Armbouts Cappel
  • Les Bierenaeres
  • Les Corsaires Forts Mardyckois
  • Les Pitch-Cô

Esquermes

  • Les Enfants Joyeux[144]

Fives

  • L'Union

Flers

  • Les Amis de Flers et Wasquehal
  • Les Amis-Réunis de l'estaminet du Pont du Breucq
  • Les Amis-Réunis chez la Veuve Seynave

Fouquières-lez-Lens

  • Les Bigophones du Bout-d'Lat

Harnes

  • Société des bigophones d'Harnes[145]

Haubourdin

  • Société de Saint-Ernout

Hénin-Liétard

Lambersart

  • Les Amis Réunis au Cabaret du Coin
  • Les Amis Réunis de la Renaissance

Liévin

  • Fanfare Nouveau siècle des Bigophones Liévinois[148]

Lille

Un recueil de chansons de Carnaval imprimé à Lille en 1819[149].

Liste non exhaustive de 52 goguettes de Lille :

  • Les Amis du Nord
  • Les Amis-Réunis
  • Les Amis-Réunis du Beau-Navire
  • Les Amis-Réunis du Canonnier
  • Les Amis-Réunis à l'Estaminet du Grand Quinquin
  • Les Amis-Réunis à l'Estaminet du Réveil-Matin
  • Les Amis-Réunis du grand gosier
  • Les Amis-Réunis de la Paix
  • Les Amis-Réunis des petits groins[150]
  • Les Amis-Réunis de la Liberté
  • Les Amis-Réunis du Petit Couteau
  • Les Amis-Réunis du Petit Parrain
  • Les Amis-Réunis du Petit Tonneau-Rouge[151]
  • Les Amis-Réunis des Petits-Couteaux
  • Les Amis-Réunis des Petits-Marteaux
  • Les Amis-Réunis du Point-du-Jour
  • Les Amis-Réunis du Postillon
  • Les Amis-Réunis à Saint-Mathias
  • Les Amis-Réunis les Sans-Souci
  • Les Amis-Réunis les Sorciers
  • Les Avale-tout
  • Les Bons Buveurs de l'Estaminet de l'Alliance
  • Les Bons Enfants
  • Les Bons Enfants du Grand-Homme
  • Les Bons Rigolos
  • Les Bons Vivants
  • Les 100 Chagrins
  • Le Cercle Lyrique
  • Les Chœurs Triomphants
  • Les Cœurs Triomphants
  • La Descente des Bons-Enfants
  • Les Drôles de l'Union
  • Les Enfants de Bacchus[152]
  • Les Enfants Chinois[153]
  • Les Enfants de la Gaité[154]
  • Les Enfants de la Joie[155]
  • Les Enfants de Lille
  • Les Enfants du Maq
  • La Grande-vitesse
  • Les Jobres
  • Les Longues-Pipes
  • Les Petites-Boites
  • Les Petites-Pelates
  • La Petite Villette
  • La Raie Mouchetée
  • Les Risquons-tout
  • Les Sans-Blague
  • La Société des Bons (dit des Vas-y-voir)
  • Société des Fils de Béranger
  • Société de Momus[156]
  • Société du Petit Saint-Michel[157]
  • Les Triomphants

On trouve des dizaines de chansons de goguettes lilloises sur Internet[158] dont un certain nombre en patois de Lille.

Loison-sous-Lens

Lomme

  • Les Bons buveurs de la Clef des Champs
  • La Gaité

Loos

  • Les Bons Vivants
  • La Maison-Blanche

Marcq-en-Baroeul

  • Les Enfants de la mère Michel

Marquette

  • Les Bons Lurons

Meurchin

Pont-à-Marcq

Roubaix

Liste non exhaustive de 60 goguettes de Roubaix :

  • Les Amis du Bon café
  • Les Amis du Vieux château d'or[160]
  • Les Amis-Réunis ou les Anciens Enfants du Mogador
  • Les Amis Réunis chez César Cornille
  • Les Amis-Réunis chez M. Delannoy
  • Les Amis-Réunis à l'Estaminet du Bas Rouge à Pile[161]
  • Les Amis-Réunis, Estaminet Bauwens
  • Les Amis Réunis à l'Estaminet du Poète de Roubaix[162]
  • Les Amis-Réunis à l'Estaminet tenu par Augustin Roger[163]
  • Les Amis-Réunis du Grand Poète
  • Les Amis-Réunis chez Hypolite Étienne[164]
  • Les Amis-Réunis du Pape de Rome
  • Les Amis-Réunis du Petit Guetteur
  • Les Amis-Réunis du pigeon d'argent[163]
  • Les Amis-Réunis du Pile[161]
  • Les Amis-Réunis du Roi de pique
  • Les Amis Réunis chez le Sieur Arthur Leconte
  • Les Amis-Réunis chez le Sieur Méliez
  • Les Amis-Réunis chez le sieur Mille-camps
  • Bigophones de chez Martin[165]
  • Bigophones du Cul de Four[146]
  • Bigophones de l'Épeule[166]
  • Bigophones Fontenoy[146]
  • Les Enfants de l'Arlequin
  • Les Enfants de l'Avenir
  • Les Enfants de chez Barot[167]
  • Les Enfants du Bazar
  • Les Enfants de la Brasserie Roubaisienne
  • Les Enfants du Chasseur
  • Les Enfants du chasseur de Vincennes
  • Les Enfants de la Colombe
  • Les Enfants du dernier jour
  • Les Enfants de la Descente des Bateliers
  • Les Enfants de la Folie[168]
  • Les Enfants de Fort Sion
  • Les Enfants de la Gaité
  • Les Enfants du Grand Saint Antoine
  • Les Enfants de l'Harmonie
  • Les Enfants du Jean Ghislain dit la Société Saint Louis
  • Les Enfants du Nouveau Lion d'or
  • Les Enfants du Nouveau Pont
  • Les Enfants de la République
  • Les Enfants de la Réserve
  • Les Enfants du Sapeur-pompier
  • Les Enfants du Singe du Brésil
  • Les Enfants du Théâtre populaire
  • Les Lurons
  • Les Républicains du Raverdi[169]
  • Réunion des Berlafards à la vapeur
  • Société de bigophones « Les Vieux Tristes de l'Ommelet »[170]
  • Société du Canard[171]
  • Société des 4 Fils Aymon
  • Société Roubaisienne
  • Société de Saint Augustin dit les Enfants du Boulevard
  • Société Saint Donas
  • Société Saint Grégoire[172]
  • Société Saint Martin
  • Société Saint Paul dit les Enfants de la Fontaine
  • Société des Voltigeurs[163]
  • Union des Bons Enfants

On trouve des dizaines de chansons de goguettes roubaisiennes sur Internet dont un certain nombre en patois roubaisien.

Saint-Saulve

Tourcoing

  • Une Société d'Amateurs[174]
  • Les Enfants de la Gaîté[175]
  • Les Enfants de la Liberté[176]
  • Les Enfants du Moulin d'or[177]
  • Les Jeunes gens du Pré-Catelan
  • Les Raseurs
  • Société de la Descente de Linselles[178]
  • Société du Pot-d'Etain[179]
  • Société de la Trompette[180]
  • Société du Veau-d'Or[181]

Vauban

  • L'assiette-au-beurre
  • Les Tapageurs
  • Les Troubadours

Verlinghem

Wazemmes

  • Le Petit Pont-Rouge
  • Les Enfants de la colonne de 1792 (section de Wazemmes)
  • Les Enfants de Wazemmes

Autres

Aux goguettes du Nord on peut rattacher « les Amis Réunis à Bâle-en-Suisse » société qui a édité en 1870 plusieurs chansons en patois de Lille[182]. Il est possible eut égard à la date des chansons qu'il s'agisse de Lillois mobilisés durant la guerre franco-prussienne de 1870 et rapatriés en France à travers la Suisse[183].

Il a existé une société nommée Les Bigophones les Inséparables, située dans le Nord, probablement à Roubaix[184].

Il a existé également une Société des Enfants de Bouloigne à la localisation indéterminée[185].

Goguettes de Paris et de la banlieue de Paris

Concours de Bigotphones aux Lilas en mai 1912.

Les sociétés du Caveau

Des auteurs comme Louis-Auguste Berthaud et Alfred Delvau indiquent que le Caveau – ils parlent ici de la troisième Société du Caveau, – est une goguette qui n'a jamais accepté de porter ce nom.

Eugène Imbert range dans les sociétés lyriques – autres noms pour les goguettes – le Caveau, les Diners du Vaudeville, le Caveau moderne, le Réveil du Caveau, les Soupers de Momus, les Soirées de Momus et le Gymnase lyrique[186].

Les noms de toutes ces sociétés, avec celui des Enfants du Caveau, ont été inclus dans la liste des Goguettes de Paris, des barrières et de la banlieue de Paris.

Il y eut en tout à Paris quatre sociétés successives du Caveau. Les Enfants du Caveau est le premier nom de la quatrième société du Caveau. C'est sous ce nom qu'elle figure dans la liste générale des goguettes de Paris, des barrières et de la banlieue de Paris.

Goguette à noms multiples

Si on en croit la chanson Le visiteur des Enfants de la Goguette du goguettier Jean-Baptiste Grangé, qu'il a publié en 1824, la goguette des Enfants de la Goguette tient à l'époque ses séances chaque jour de la semaine dans divers quartiers de Paris, et sous différents noms. Chaque couplet de la chanson indique un des noms que prend la goguette, et un des lieux où elle se réunit chaque jour : lundi : le Jardin des Épiciers, mardi : le Caprice des Dames, mercredi : les Bons Amis du plaisir, jeudi : les Enfants de la Folie, vendredi : les Lurons, samedi : la Goguette, dimanche : les Enfants de Momus[187].

Une liste de Sociétés bachiques et chantantes de la banlieue de Paris en 1830

Annonces de réunions de sociétés chantantes parisiennes en 1878[188].

Il s'agit d'une liste de 33 goguettes de la banlieue de Paris donnée par un ouvrage anonyme publié en 1830[189]. Ces sociétés de la banlieue de Paris concernent directement aussi les Parisiens. Durant longtemps l'existence de l'Octroi, douane urbaine, conduisait ceux-ci à apprécier particulièrement les lieux de plaisirs situés juste au delà des barrières où se prélevait cette douane. Ce n'était pas trop loin et le vin et la nourriture y étaient moins chers. Alexandre Dumas fait allusion à cette pratique au début du roman Le Chevalier de Maison Rouge, décrivant ainsi le Paris de 1846 : ... « le Paris aux promeneurs affairés, aux chuchotements joyeux, aux faubourgs bachiques » ...

  • Les Lapins du Midi, plaine Montrouge, à l'Ancien Terrier.
  • Les Lapins Verts, au Moulin Vert.
  • Les Enfans de Momus, au Moulin d'Amour.
  • Les Vrais Joyeux, aux Deux Frères, chaussée du Maine.
  • Les Enfans d'Erigone, au Panthéon, barrière d'Enfer[190].
  • Les Vieux Buveurs, aux Deux Bacchus, barrière d'Enfer.
  • Les Matifa, à l'Entrée du grand Montrouge, chez Cottin.
  • Les Gigomènes, en face, chez Windor.
  • Les Enfans de Linus, à la Rotonde, à Austerlitz.
  • Les Flambarts, à Montmartre.
  • Les Joyeux, à l'Ile d'Amour.
  • La Société d'Anacréon, chez Royer, à Belleville.
  • Les Ecureuils, chez Desnoyez, à la Courtille.
  • Les Troubadours, à Belleville.
  • Les Amis de l'Entonnoir, au Sauvage, barrière des Martyrs.
  • Les Lurons, au Grand Turc, barrière Poissonnière.
  • Les Vieux Amis, chez Cossette, barrière Rochechouart.
  • Le Naufrage de Régulus, en face.
  • Les Epicuriens, chez Cognié, à la Villette.
  • Les Vieux Grognards, chez Cognié, à la Villette.
  • Les Nourrissons de Bacchus, barrière des trois Couronnes.
  • Enfans de Momus, barrière des trois Couronnes[191].
  • La Maison Verte, barrière des trois Couronnes.
  • Francs Buveurs, à Montmartre.
  • Le Cercle de l'Union, barrière Rochechouart.
  • Le Cercle de l'Amitié, barrière Rochechouart.
  • Les Disciples de Bacchus, barrière des trois Couronnes.
  • La Capitainerie, barrière des trois Couronnes.
  • Les Amis des Dames, à la Courtille.
  • Les Soutiens de Momus, à la Courtille.
  • Les Joyeux Amis, barrière Rochechouart.
  • Société du Belvéder, à Ménilmontant.
  • La Goguette, chez Dormois, à la Courtille.

Une liste des sociétés chantantes de Paris et sa banlieue en 1898

Liste de 95 goguettes donnée par Jean Frollo, dans son article Paris qui chante, paru le 18 janvier 1898 dans Le Petit Parisien[11]. Jean Frollo indique que cette liste est loin d'être complète. Par exemple, il dit qu'en région parisienne il n'existe pas moins de trente goguettes utilisant des bigophones et organisées en sociétés bigophoniques. Et ne cite que les noms de neuf d'entre elles :

  • L'Accord parfait
  • L'Alouette
  • Les Altérés (à Stains[192])
  • Les Amateurs de la gaieté
  • Les Amis de la Gibelotte
  • Les Amis de la joie
  • Les Amis du plaisir
  • Les Amis des Rabelaisiens
  • La Bamboche[192]
  • Les Becs-Salés
  • Le Bengali
  • Les Beni-Bouffe
  • Les Bigotphones[192]
  • Les Bigotphonistes Rigolos[192]
  • Le Bluet
  • Le Bluet (d'Asnières)
  • Les Boute-en-train
  • Les Camaros
  • Le Camélia blanc
  • La Chaîne d'acier
  • La Charmeuse
  • Les Chevaliers du Gui
  • Le Chrysanthème
  • La Cigale
  • La Cigale (à Saint-Denis)
  • La Cigale (à Alfort)
  • Le Clair de lune
  • La Clef d'Ut
  • La Czarine
  • Le Dahlia
  • Le Do-mi-sol-do
  • L'Éclat de rire
  • L'Émeraude
  • Les Enfants de Bacchus (à Ivry)
  • L'Étoile (à Paris)
  • La Fanfare excentrique[192]
  • La Farandole
  • Les Fauvettes (Gentilly)
  • Les Fauvettes (14ème arrdt)
  • Les Fauvettes (Neuilly)
  • Les Fauvettes (Palais Royal)
  • Les Fauvettes (Plaisance)
  • Les Fauvettes (plateau de Vanves)
  • Les Fauvettes (à Reuilly)
  • Le Froufrou
  • Les Gais Enfants de La Plaine (à Saint-Denis)
  • Les Gais Lurons[193]
  • Les Gais pinsons du champ de Corbilly (à Créteil)
  • Les Gais Troubadours
  • La Gaudriole[192]
  • La Gavotte
  • Les Gosiers-Secs
  • Les Grillons parisiens
  • L'Idéal des Familles
  • L'Iris
  • Le Jasmin
  • Les Joyeux Lapins
  • La Libellule
  • La Lisette de Béranger
  • La Lisette des Grésillons
  • Le Luron-Club
  • La Lyre
  • La Marguerite (du Perreux)
  • Le Merle
  • Le Mimosa
  • Le Mirliton
  • La Mouche
  • Le Muguet (au Parc-Saint-Maur)
  • La Muse du Bois
  • Le Myosotis (du Perreux)
  • Les Papillons bleus
  • La Pâquerette
  • La Parisette
  • La Pervenche
  • Le Pinson[194]
  • La Pinsonnette
  • Le Pi-ouit
  • Le Point d'orgue
  • La Pomponnette (à Paris)
  • Les Rabelaisiens
  • La Rieuse
  • Les Rigolos de Cayenne[192]
  • La Risette
  • Rose et bluet
  • Le Rossignol
  • Les Sans-Souci parisiens
  • Le Saphir
  • Le Sourire
  • La Topaze
  • Les Tout Petits
  • La Turquoise
  • Les Typo-Cartophones[192]
  • La Vanille
  • La Violette
  • Les Zingophonistes[192]

Goguettes de Paris, des barrières et de la banlieue de Paris

Liste non exhaustive de 646 goguettes de Paris, des barrières et de la banlieue de Paris :

  • L'Académie culinaire ou : Les Étourdis[195]
  • L'Accord parfait[11]
  • L'Alliance de Belleville
  • L'Alouette[11]
  • Les Altérés[196]
  • Les Altérés (à Stains[11],[192])
  • Les Altérés de Vains[197]
  • Les Amateurs de la gaieté[11]
  • L'Amicale de Belleville[198]
  • Amicale de Bigophones du quartier de la place Hérold (à Courbevoie[199])
  • Amicale Bigophone de Neuilly-Plaisance[200]
  • Les Amis
  • Les Amis des Arts
  • Les Amis de Béranger
  • Les Amis Bienfaisants
  • Les Amis de la bouteille[201]
  • Les Amis des Buttes Chaumont[201]
  • Les Amis de la Canelle[202]
  • Les Amis de la Chanson
  • Les Amis de la Chaumière
  • Les Amis du Commerce
  • Les Amis de la Concorde
  • Les Amis des Dames
  • Les Amis de l'Enfance
  • Les Amis de l'Entonnoir
  • Les Amis de l'Espérance
  • Les Amis de l'Étoile
  • Les Amis du faubourg Antoine[201]
  • Les Amis de la gaiété française
  • Les Amis de la gaité de Montmartre
  • Les Amis de la Gibelotte[11]
  • Les Amis de la Gloire
  • Les Amis de la Grappe
  • Les Amis Inséparables
  • Les Amis de la joie[11]
  • Les Amis de la Lyre
  • Les Amis de la Pensée
  • Les Amis de la Pipe
  • Les Amis du plaisir[11]
  • Les Amis du Progrès
  • Les Amis des Rabelaisiens[11]
  • Les Amis de la Renaissance
  • Les Amis Réunis
  • Les Amis de la Rose
  • Les Amis de Saint-Fargeau[201]
  • Les Amis de la Seine
  • Les Amis du XVIe[197]
  • Les Amis du Siècle
  • Les Amis de la table ronde[203]
  • Les Amis du Travail
  • Les Amis de la Treille
  • Les Amis de la Vigne
  • L'Amitié
  • L'Amitié Artistique
  • L'ancien Cercle dramatique[204]
  • Les Animaux ou La Ménagerie
  • Les Artistes Lyonnais
  • L'Art musical
  • L'Art Musical et Dramatique
  • L'Association Littéraire et Musicale
  • Association Valenciennoise[205]
  • L'Assomoir[206]
  • L'Athénée
  • Au coup du milieu
  • L'Avant-Garde des Bigophones Bretons[207]
  • L'Avenir du XVIIe arrondissement
  • L'Avenir Artistique
  • La Bamboche[192],[11]
  • Le Banquet du Jeudi ou les Lapiniers[208]
  • Le Banquet de Momus[209]
  • La Bassinoire du XIIIe[210]
  • Les Bébés
  • Les Becs-Salés[11]
  • Le Bengali[11]
  • Les Beni-Bouffe[11]
  • Les Béni-Bouffe-Toujours[211]
  • Les Bergers de Syracuse
  • Les Bêtomanes[212]
  • Association amicale des Enfants du Nord et du Pas-de-Calais, dite La Betterave[205]
  • Les Biberons
  • Les Bigotphones[192],[11]
  • Les Bigophones d'Alfortville[213]
  • Les Bigophones des Arènes de Lutèce[214]
  • Les Bigophones d'Argenteuil[215]
  • Les Bigotphones d'Aubervilliers[197]
  • Les Bigophones de Bezons[216]
  • Les Bigophones du Casino des concierges[217]
  • Les Bigophones de Clichy[218]
  • Les Bigophones de la Commune libre du Haras (à Viroflay[219])
  • Les Bigophones de la Commune libre du Vésinet[220]
  • Les Bigophones des Coudreaux (à Montfermeil[221])
  • Les bigophones de Drancy[222]
  • Bigophones de l'État libre de Picpus[223]
  • Les Bigophones de l'Étoile Rouge Sportive[224]
  • Les Bigophones gaulois (à Trappes[225])
  • Les Bigophones de Gennevilliers[226]
  • Les Bigotphones de la Montagne-Sainte-Geneviève[201]
  • Les bigophones des Monts-Cuchets (à Villejuif[227])
  • Les Bigophones du Pont-de-la-Puce[228]
  • Les Bigophones rabelaisiens (à Meudon[229])
  • Les Bigophones rouges des Champioux (à Argenteuil[230])
  • Les Bigotphones du XVIème[201]
  • Les Bigotphones rigolos de Cayenne[231]
  • Les Bigotphones rigolos du Point-du-Jour[231]
  • Les Bigophones de Saint-Ouen[232]
  • Les Bigophones des taxis[233]
  • Les Bigotphones de Thiais[234]
  • Les Bigophones des T.C.R.P.[235],[236]
  • Les Bigophoneux (à Montmartre[237])
  • Les Bigotphonistes d'Aubervilliers[238]
  • Les bigophonistes de la Commune libre de Persan[239]
  • Les Bigotphonistes levalloisiens Le Hareng sort (à Levallois-Perret[240])
  • Les Bigotphonistes de Montfermeil[241]
  • Les Bigotphonistes Rigolos[192],[11]
  • Le Bluet[11]
  • Le Bluet (d'Asnières[11])
  • Les Boit-sans-soif[196]
  • Le Bon-Bock
  • Les Bons Diables
  • Les Bons Drilles[242]
  • Les Bons Vivants[243]
  • Les Bons Vivants (à Épinay-sur-Seine[244])
  • Les Bons Vivants (à Pantin[245])
  • Les Boute-en-train[11]
  • Les Boyaux Rigouillards de Plaisance[245]
  • Les Braillards
  • Les Brule-Gueule
  • La Camaraderie
  • Les Camaros[11]
  • Le Camélia blanc[11]
  • Le Canif
  • Les Canotiers
  • La Capitainerie
  • Le Caprice
  • La Capricieuse
  • Le Capucin
  • Les Cascadeurs de Ménilmuche[245]
  • Le Caveau moderne
  • Les Céciliens
  • Les Cent Couacs de Bois-Colombes[197]
  • Les Ceps de Vigne
  • Le Cercle de l'Amitié
  • Le Cercle artistique du XIXe arrondissement
  • Le Cercle artistique du XIVe arrondissement
  • Le Cercle Béranger
  • Le Cercle du Cotillon
  • Le Cercle de l'Espérance
  • Le Cercle de l'Étoile
  • Cercle des Francs-Picards[205]
  • Le Cercle Gaulois
  • Le Cercle Intime
  • Le Cercle lyrique
  • Le Cercle lyrique de Belleville
  • Le Cercle Mozart
  • Le Cercle Murger
  • Le Cercle Musset
  • Le Cercle Pigalle
  • Le Cercle de l'Union
  • Le Cercle universel
  • Le Cercle des Volontaires
  • Fanfare bigophonique C'est Caïman trop Marrant ![10]
  • La Chaîne d'acier[11]
  • Les Champignols[201]
  • La Chanson de Paris[212]
  • Chantecler (à Étampes[246])
  • Les Chardonnerets (à Paris[247])
  • Les Charmants Viveurs (à l'Ile d'Amour[242])
  • Les Bigophonistes de la Commune libre de Milly-la-Forêt[248]
  • La Charmeuse[11]
  • Les Chevaliers de la Gaité
  • Les Chevaliers du Gui[11]
  • Les Chevaliers de la Thum
  • La Chopinette
  • Le Chrysanthème[11]
  • La Cigale[11]
  • La Cigale (à Saint-Denis[11])
  • La Cigale (à Alfort[11])
  • Le Clair de lune[11]
  • La Clef d'Ut[11]
  • La Clémence Isaure
  • Le Club des Éponges[201]
  • Les Combattants de la Mélancolie de Gonesse[249]
  • La Conférence[250]
  • La Cordiale
  • Le Cornet[251]
  • La Cour des ânes[252].
  • La Cour des Miracles
  • La Couronne chansonnière
  • Les Cyclopes
  • La Czarine[11]
  • Le Dahlia[11]
  • Les Déjeuners des Garçons de bonne humeur[253]
  • Les Démocrites
  • Diner ardennois[205]
  • Le Diner du crime[254]
  • Dîner des Enfants du Nord
  • Les Diners du Vaudeville
  • Les Disciples de Bacchus
  • Les Disciples de Béranger
  • Le Do-mi-sol-do[11]
  • L'Écho de la Chanson
  • L'Écho des concerts
  • L'Éclat de rire[11]
  • Les Écureuils
  • Les Écureuils déchainés
  • L'Émeraude[11]
  • Les Enfants de l'Amitié
  • Les Enfants d'Anacréon
  • Les Enfants d'Apollon[255]
  • Les Enfants d'Apollon (créée en 1868)
  • Les Enfants de l'Avenir
  • Les Enfants de Bacchus
  • Les Enfants de Bacchus (à Ivry[11])
  • Les Enfants de Bacchus (à Versailles[152])
  • Les Enfants de la Belgique
  • Les Enfants de Bellone
  • Les Enfants du Caveau (puis : Le Caveau)[256]
  • Les Enfants de Charonne
  • Les Enfants du Délire
  • Les Enfants du Désert[257]
  • Les Enfants de l'Entonnoir
  • Les Enfants d'Erigone[190]
  • Les Enfants du Franc-Rire
  • Les Enfants de la Gaité
  • Les Enfants de la Gloire
  • Les Enfants de la Goguette
  • Les Enfants de la Halle
  • Les Enfants de la Harpe
  • Les Enfants de Jaurès[258]
  • Les Enfants de la Joie
  • Les Enfants de Linus
  • Les Enfants de Lutèce
  • Les Enfants du Luth[259]
  • Les Enfants de la Lyre
  • Les Enfants du Marais
  • Les Enfants de Ménilmontant
  • Les Enfants de Momus[191]
  • Les Enfants de Montmartre
  • Les Enfants du Nord
  • Les Enfants de la Patrie[242]
  • Les Enfants du père Trinquefort[260]
  • Les Enfants de Phébus
  • Les Enfants de Philia
  • Les Enfants du plaisir[201]
  • Les Enfants de Sambre-et-Meuse
  • Les Enfants du Sans Souci[261]
  • Les Enfants de la Seine
  • Les Enfants de Silène[262]
  • Les Enfants du Soleil
  • Les Enfants du Temple
  • Les Enfants du Vaudeville
  • L'Enfer
  • Les Entonnoirs
  • L'Épée Royale (à Belleville[242])
  • Les Épicuriens[263]
  • Les Ermites
  • Les Ermites du Pré-aux-Clercs
  • L'Escholière
  • L'Espoir du XIVe arrondissement[264]
  • L'Estudiantina
  • L'Étoile (à Levallois-Perret)
  • L'Étoile (à Paris[11])
  • L'Étoile d'or (à Cachan[265])
  • L'Étoile Parisienne
  • L'Étoile Rouge, société bigophonique et artistique[266]
  • Les Étourdis de Paris[267]
  • Les Familles
  • La Fanfare des Beaux-Arts
  • Fanfare des bigophones de « la Brême de Puteaux »[268]
  • Fanfare de la commune libre de Milly (à Milly-la-Forêt[269])
  • Fanfare de la commune libre de Porchefontaine[270]
  • La Fanfare de Choisy-les-Rosières[264]
  • La Fanfare excentrique[192],[11]
  • La Fantaisie Lyrique
  • La Farandole[11]
  • Les Farfadets
  • La Fauvette
  • Les Fauvettes (Gentilly[11])
  • Les Fauvettes (14e arrdt[11])
  • Les Fauvettes (Neuilly[11])
  • Les Fauvettes (Palais Royal[11])
  • Les Fauvettes (Plaisance[11])
  • Les Fauvettes (plateau de Vanves[11])
  • Les Fauvettes (à Reuilly[11])
  • La Fauvette Parisienne
  • La Favorite
  • La Folie Française
  • La France Moderne
  • Le Franc-Rire
  • Les Francs-Lurons (à Montreuil-sous-Bois[247])
  • Les Fin-de-Siècle des Batignolles (aux Batignolles[271])
  • Les Fils d'Anacréon
  • Les Fils du Diable[272]
  • Les Flambards
  • Les Fleurs
  • Les Fleurs et Plumes du faubourg Saint-Denis[231]
  • Le Foyer
  • La Franche Gaîté d'Argenteuil (à Argenteuil[197])
  • La Franche Gaieté des Quinze-Vingts[201]
  • Les Francs Buveurs
  • Les Francs Canonniers
  • Les Francs Gaillards
  • La Franvilloise (à Sevran-Livry[201])
  • Les Frères de la Côte[273]
  • Les Fricoteurs[202]
  • Les Frileux[274]
  • Le Froufrou[11]
  • Les Gais Enfants de La Plaine (à Saint-Denis[11])
  • Les Gais lurons (en 1824[275])
  • Les Gais lurons (en 1898[11])
  • Les Gais Lurons (en 1938[276])
  • Les Gais lurons de Villaine[277]
  • Les Gais Mélomanes[1]
  • Les Gais Momusiens
  • Les Gais Parisiens
  • Les Gais pinsons du champ de Corbilly (à Créteil[11])
  • Les Gais Pipeaux[278]
  • Les Gais Souffleurs (à Épinay-sur-Seine[279])
  • Les Gais Troubadours[11]
  • La Gaieté Bigotphonique du XIe[280]
  • La Gaîté, société mixte et amicale des bigophones (à Fontenay-sous-Bois)[240]
  • La Gaité bellevilloise
  • La Gaîté française
  • La Gaieté de Montmartre
  • La Gaité parisienne
  • Les Galants verts villepintois (à Villepinte[281])
  • Les Gamins
  • Les Gamins de Paris
  • La Gaudriole[192],[11]
  • La Gauloise
  • La Gavotte[11]
  • Les Gigomènes
  • Le Gigot
  • Le Gigot enflammé[254]
  • Les Gnoufs-Gnoufs[282]
  • Les Gobe-Mouches[212]
  • La Goguette
  • La Goguette du Chat Noir
  • La Goguette française
  • La Goguette moderne
  • La Goguette de la rue Neuve-St-Jean
  • Les Gosiers-Secs[11]
  • La Gousse[254]
  • La Grappe de Raisin[247]
  • Les Grognards
  • Les Grillons parisiens[11]
  • Le Hanneton Légumivore[197]
  • L'Harmonie bigotphonique[197]
  • L'Harmonie du Commerce
  • Harmonie des gueules à ressorts (à Saint-Maur-des-Fossés[283])
  • L'Idéal des Familles[11]
  • Les Indépendants de la table ronde
  • Les Infernaux
  • Les Insectes[284]
  • Les Inséparables
  • L'Institut
  • L'Institut lyrique
  • Les Intimes
  • L'Iris[11]
  • Le Jardin d'Hébé
  • Les Jardiniers (à Asnières[9])
  • Le Jasmin[11]
  • La Jeune Chanson[212]
  • Les Jeunes Amis
  • La Jeunesse Artistique
  • La Jeunesse Artistique de Vincennes (à Vincennes)
  • La Jeunesse lyrique et dramatique
  • La Jeunesse Parisienne
  • La Joviale du XIIème[201]
  • Les Joyeux à Belleville
  • Les Joyeux (à Javel[1])
  • Les Joyeux Bigotphones[201]
  • Les Joyeux Bigotphones d'Alfortville - Société Tirbouchonnatoire et Anti-Neurasthénique[197],[285]
  • Les Joyeux Bigophones Fertois (à la Ferté-Gaucher[286]
  • Les Joyeux Bigotphonistes (à Boulogne[201])
  • Les Joyeux Amis (à Asnières puis Paris[287])
  • Les joyeux Amis des Dames
  • Les Joyeux du XVIIIe[197]
  • Les Joyeux Bigotphones[201]
  • Les Joyeux Bigotphones d'Alfortville[197]
  • Les Joyeux Bigotphonistes (à Boulogne[201])
  • Les Joyeux Bigots du XIIIème[201]
  • Les Joyeux Boulotteurs[249]
  • Les Joyeux Buveurs
  • Le Joyeux Coteau (à Cachan)
  • Les Joyeux de Croissy (à Croissy[201])
  • Les Joyeux Kremlinois (Le Kremlin-Bicêtre[288])
  • Les Joyeux Lapins[11]
  • Les Joyeux Lointains[247]
  • Les Joyeux Lurons (à Saint-Denis[289])
  • Les Joyeux Pantinois (à Pantin[290])
  • Les Joyeux du pont de Flandres, puis : Les Joyeux du Pont-de-Flandre[197]
  • Les Joyeux Prolos[291]
  • Les Joyeux de Saint-Fargeau[201]
  • Les Joyeux Tonneliers
  • Le Lac Saint-Fargeau
  • La Main fleurie[201]
  • Les Lapins
  • Les Lapins du Midi
  • Les Lapins du Nord
  • Les Lapins Verts
  • Les Légumophones[201]
  • La Libellule[11]
  • La Lice chansonnière
  • Les Liche-à-mort[196]
  • Le Lièvre
  • Le Lièvre et le Lapin
  • La Lisette de Béranger[11]
  • La Lisette des Grésillons[11]
  • Le Luron-Club[11]
  • Les Lurons
  • Le Luth galant
  • Les Lutins
  • La Lyre[11]
  • La Lyre Amicale
  • La Lyre amicale de Paris
  • La Lyre Bienfaisante
  • La Lyre bigotphonique du dixième (à Paris 10e[231])
  • La Lyre bigotphonique (Faubourg-Saint-Antoine[234])
  • La Lyre bigotphonique de Pantin (à Pantin[292])
  • La Lyre Chansonnière[259]
  • La Lyre du Commerce
  • La Lyre excentrique[197]
  • La Lyre Française
  • La Lyre de la Gaité
  • La Lyre Joyeuse
  • La Lyre du Marais
  • La Lyre Méridionale
  • La Lyre d'Orphée
  • La Lyre populaire[293]
  • La Lyre Républicaine
  • La Lyre des Travailleurs
  • Les Lyriques
  • La Maison Verte
  • La Mandoline
  • Les Mardis Limousins
  • La Marguerite (du Perreux)[11]
  • La Matelote
  • Le Matafan[294]
  • Les Matifa
  • Les Méli-Mélo[201]
  • Les Ménestrels
  • Les Ménestrels (de Belleville)[295]
  • Les Ménestrels républicains[296]
  • La Mère Goguette
  • Le Merle[11]
  • Le Mimosa[11]
  • Le Mirliton[11]
  • Les Moissonneurs
  • Les Momusiens
  • Les Monuments
  • La Mouche[11]
  • Le Muguet (au Parc-Saint-Maur[11])
  • La Muse des Arts-et-Métiers
  • La Muse Bellevilloise[297]
  • La Muse de la Butte
  • La Muse du Bois[11]
  • La Muse Gauloise
  • La Muse républicaine
  • La Muse rouge[298]
  • La Muse Saint-Cyrienne (à Saint-Cyr[299])
  • Musique bigophonique de Noisy-le-Sec[300]
  • La Mutualité Commerciale
  • Le Myosotis (du Perreux[11])
  • La Nationale
  • Le Naufrage de Régulus
  • Les Nourrissons de Bacchus
  • Les Nourrissons des Muses
  • Les Oiseaux
  • Orchestre de bigophones de l'armée du chahut[301]
  • Ordre de la Boisson[212]
  • Les Palefreniers du cheval d'Apollon
  • Le Papillon
  • Les Papillons bleus[11]
  • La Pâquerette[11]
  • La Parisette[11]
  • Les Pas Bileux (à Antony)
  • Les Pas Bileux (à Épinay-sur-Seine[247])
  • Les Pas Bileux (à Levallois-Perret[302])
  • Les Pas-bileux de Saint-Ouen (à Saint-Ouen[303])
  • Les Pas Bileux fanfare bigotphonique du onzième arrondissement (à Paris 11ème[292])
  • La Pastorale
  • Les Pékins bellevillois[238]
  • La Pensée
  • La Pépinière
  • La Pervenche[11]
  • Les Petites Plumes
  • Le Petit Tambour (quai de la Tournelle[242])
  • Les Petits Agneaux[254]
  • Les Petits Oiseaux
  • La Philarmonique du Ve arrondissement
  • Les Philosophes de la Bastille[249]
  • Les Philosophes en belle humeur[212]
  • Les Pieds de vigne de Montreuil[249]
  • Les Pierrots
  • Le Pinson[194]
  • La Pinsonnette[11]
  • Le Pi-ouit[11]
  • La Pipe
  • Les Pipeaux[243]
  • Le Point d'orgue[11]
  • Les Poissons de l'Hippocrène[304]
  • La Pomponnette (à Paris[11] )
  • La Pomponnette (à Rueil-sur-Seine)
  • Le Pot-Blanc (rue du Fbg-St-Honoré[242])
  • Le Pot-au-Feu
  • Le Poulet sauté
  • Le Quartier Latin[305]
  • Les Rabelaisiens[11]
  • Le Radis
  • Le Raffut (à Nanterre[247])
  • Les Ramusiens
  • Les Rantanplans d'Ivry[306]
  • Les Rats
  • La Renaissance
  • La Réunion des Familles
  • Le Réveil du Caveau
  • La Rieuse[11]
  • Les Rigolards de Sarcelles[201]
  • Les Rigoleurs
  • Les Rigolotophones[201]
  • Les « Rigols'Mann », Société Bigophonique, et son groupe artistique « Henri Barbusse »[307]
  • Les Rigolos[308]
  • Les Rigolos (à Gennevilliers[247])
  • Les Rigolos de la Butte (à Montmartre[309])
  • Les Rigolos de Cayenne[192],[11]
  • Les Rigolos d'Ivry-le-Port (à Ivry[247])
  • Les Rigolos de la Petite Biche[310]
  • Les Rigolos (à Sucy-en-Brie[247])
  • Le Rire gaulois[311]
  • La Risette[11]
  • Les Rosati[205]
  • Rose et bluet[11]
  • Le Rossignol[11]
  • Le Sacrifice d'Abraham
  • La Samaritaine[312]
  • Sambre-et-Meuse
  • Les Sans-Bile de la plaine Saint-Denis[201]
  • Les Sans-Couacs de Saint-Ouen[249]
  • Les Sans-Gêne du XVIIIème[201]
  • Les Sans-Gêne (à Saint-Denis)
  • Les Sans nom[201]
  • Les Sans Souci
  • Les Sans-Soucis de Corbeil[201]
  • Les Sans-Soucis grésillonnais[201]
  • Les Sans-Soucis de Levallois-Perret[201]
  • Les Sans-Soucis de Mons[201]
  • Les Sans-Soucis montmartrois[313]
  • Les Sans-Souci parisiens[11]
  • Les Sans-Soucis (à Saint-Ouen[314])
  • Le Saphir[11]
  • Section bigophonique de la Commune libre d'Arnouville[315]
  • La Seringue de la Butte (société bigophonique des Culs-de-Plomb de Montmartre[316])
  • Société des admirateurs de la valeur française[317]
  • Société des Amis de la Petite Bouteille (à Versailles[318])
  • Société des Amis de la Renaissance (à Versailles[318])
  • La Société d'Anacréon
  • Société d'Apollon (à Saint-Germain-en-Laye[318])
  • La Société du Belvéder
  • Société des Bêtes[319]
  • La Société de Bigotphones patronnée par MM. les membres du comité du Faubourg-Saint-Denis et organisée par MM. Bourgeois, Moine fils, Robert[238]
  • Société de bigophones de l'Églantine artistique montreuilloise (à Montreuil-sous-Bois[320])
  • Société des bigophones de la commune libre du Petit-Montesson [321]
  • Société de Bigophones les Troubadours du Nouveau Domont (à Domont[322])
  • La Société bigotphonique[323]
  • Société bigotphonique « les Joyeux Pantinois » (à Pantin[324])
  • Société bigophonique de Saint-Ouen[325]
  • Société du Bon Accord (à Saint-Germain-en-Laye[318])
  • Société du Bon Accord (à Viarmes[318])
  • La Société des Bons vivants[238]
  • Société du Caveau
  • Deuxième société du Caveau
  • Société du Chat qui chie[326]
  • Société chorale bigophonique vincennoise (à Vincennes[327])
  • Les Bigophones de la Société des Conscrits de Clichy (à Clichy-sous-Bois[235])
  • La Société de Cormeilles-en-Parisis[247]
  • Société Dramatique de Récréation
  • Société des Enfants d'Apollon (à Argenteuil[318])
  • Société des Enfants d'Erigone (à Saint-Germain-en-Laye[318])
  • Société des Enfants de Momus (à Meudon[318])
  • Société des Enfants de Momus (à Saint-Germain-en-Laye[318])
  • Société des Enfants de Momus (à Versailles[318])
  • Société du Franc rire
  • Société lyrique des Amis de la lyre de l'Immortel Béranger (au Chesnay[318])
  • Société lyrique des Amis de Mars (à Ville-d'Avray[318])
  • Société lyrique de M. Lepilleur[328].
  • Société lyrique de Vincennes-Saint-Mandé[329]
  • Société des Mercredis[212]
  • Société des Mirlitons ou des Bigophones[330]
  • Société normanno-bretonne de la Pomme[331]
  • Société des Quatre-Saisons[332]
  • Société de la Rive Gauche
  • Les Soiffophones de Belleville[202]
  • Les Soirées de Famille
  • Les Soirées Grégoriennes
  • Les Soirées lyriques
  • Les Soirées de Momus[333]
  • Les Souffle-à-Mort[249]
  • Les Souffleurs déchainés (à Fontenay-sous-Bois[247])
  • La Soupe et le Bœuf
  • Les Soupers
  • Les Soupers de Momus[334]
  • Les soupeurs de Madame Gourdan, dite la Comtesse[335]
  • Le Sourire[11]
  • Les Soutiens de Momus
  • Les Soutiens de Philia
  • Les Soutiens de Silène
  • Les Suce-canelle[242]
  • Le Temple[196]
  • Les Templiers[336]
  • La Timbale
  • Les Tonneliers
  • La Topaze[11]
  • Les Tout Petits[11]
  • Les Triboulets
  • Les Trombones du Nouveau-Domont (à Domont[247])
  • La Turquoise[11]
  • Les Typo-Cartophones[192],[11]
  • Les Typographophones[238]
  • L'Union Artistique
  • Union des Enfants du plaisir[201]
  • L'Union Française
  • L'Union de la Gaité
  • Union et Gaité
  • L'Union de la Jeunesse
  • L'Union Joyeuse
  • L'Union joyeuse (de Montrouge)
  • L'Union lyrique
  • Union Parisienne
  • Union Républicaine du vingtième arrondissement
  • La Vache enragée[212]
  • Les Va-de-bon-cœur
  • La Vanille[11]
  • Les Va-Nu-Pieds[337]
  • La vieille Goguette[338]
  • Les Vieux Amis
  • Les Vieux Buveurs
  • Les Vieux Grognards
  • Les Vingt et un
  • La Violette[11]
  • Les Violoneux[339]
  • Les Viveurs
  • Les Vrais Amis
  • Les Vrais Français
  • Les Vrais Joyeux
  • Les vrais Soutiens de la gaieté française
  • Les Z'énervés[8]
  • Les Zingophonistes[192],[11]

Goguette patroclienne

  • Les bigophones (à Saint-Parres-aux-Tertres[41])

Goguette périgourdine

  • L'Écho de la Boissière

Goguette plouarétaise

Goguettes poitevines

  • Les Bigotphoneux de Montierneuf[341]
  • Les Bigotphoneux du Pont-Neuf[342]
  • Les Pierrots bigophoneux de la Cueille[343]

Goguette pontivyenne

  • Société de Bigophones [344]

Goguettes raphaëloises

  • Orchestre bigophonique de Mestre Roubert[345]
  • Orchestre bigophonique Valescurois (à Valescure, quartier de Saint-Raphaël[346])

Goguettes rennaises

  • Bigophones de l'Amicale du personnel de la brasserie Graff[347]
  • Bigophones des Équipages de la Flotte[348]
  • Les Coupe-Eau[349]
  • La Gelée Harmonique[350], renommée ensuite : la Gaieté Bigophonique Rennaise[351]

Goguette rochefortaise

Goguette rouennaise

  • Bigophonistes les Bons Enfants[353]

Goguette rouillacaise

Goguette rozéenne

  • Gaîté Bigophonique Rozéenne (à Roz-Landrieux[355])

Goguette rurangeoise

Goguette sagienne

Goguettes saintaises

  • Joyeux Bigophones Saintongeais[357]
  • Les Neurasthenic's[358]

Goguette saint-mengeoise

Goguette sauzéenne

  • Les Bigotphoneux Sauséens[360]

Goguettes soissonaises

  • Société des Bigophones des cheminots de Soissons[361]
  • Les bigophonistes des ateliers Melin[362]

Goguette sospelloise

Goguettes stéphanoises et foréziennes

En 1883, le poète patoisant Jacques Vacher fonde à Saint-Étienne le Caveau stéphanois ou Caveau de Saint-Étienne. Il existe durant 31 ans et disparaît en 1914 17 ans après son fondateur[363].

Il compta dans ses membres le poète forézien Jules Troccon[364] qui en fut également président.

Dans son Histoire de la chanson stéphanoise et forézienne depuis son origine jusqu'à notre époque., Jean-François Gonon[365] parle de plusieurs goguettes : la goguette stéphanoise Argaud, les goguettes Lyonnet, Coste, Hippolyte, Marcou, Marcel, la Goguette Française[97].

A cette liste on peut ajouter le Temple de la Chanson de Saint-Étienne[366].

Goguette strasbourgeoise

La Société Bigophonique des Bords de la Creuse « La Pépie » à Tournon-Saint-Martin.
  • Académie du Petit Cheval noir[367]

Goguette ternoise

Goguette thouarsaise

Goguette toucassine

Goguettes toulousaines

Noms de quelques-unes d'entre elles[371] :

  • Académie poétique de Mont-Réal[372]
  • Gymnase littéraire[373]
  • Muse républicaine[374]
  • Muse toulousaine[375]

Goguette tournonnaise

Goguette troyenne

  • Le Mirliton Troyen[377]

Goguette vallonnaise (Vallon-en-Sully)

Goguette vallonnaise (Vallon-sur-Gée)

Goguette vendeuvroise

Goguettes vendômoises

  • Les Gueurnaziaux[381]
  • Société des Bigophones de la « Perche Vendômoise[382] »

Goguette vernolienne

Goguette vierzonnaise

  • Les Bigophones de la société de pêche le « Gardon rouge » (à Vierzon[384])

Goguettes yonnaises

Goguette yvréenne

Localisation indéterminée

Notes

  1. a, b et c Nom cité par Jean Frollo, La Chanson Française, Le Petit Parisien, 1er avril 1902, page 1, 2e colonne.
  2. Eugène Imbert La Goguette et les goguettiers, Paris 1873.
  3. a et b On trouve les coordonnées de la société bigophonique « Les Barbaillans » dans la liste des associations lucoises figurant sur le site Internet du Luc. Barbaillan est le nom en provençal d'une variété de grosses abeilles très bourdonnantes.
  4. a et b L'Orphéon des Bigophones participe entre autres aux défilés de la Saint Nicolas, à Metz, le 2 décembre 2007, le 7 décembre 2008, le 6 décembre 2009. Le Républicain Lorrain parle fréquemment des activités de cette société bigophonique, par exemple : Rurange-lès-Thionville, Les bénévoles des bigophones sont choyés, 25 janvier 2011 ; Rurange-lès-Thionville, Médaille princière après le carnaval, 11 juillet 2011, etc.
  5. a et b Encore du grand délire en perspective, article de La Nouvelle République du Centre-Ouest, 21 janvier 2011. Souhaitant recevoir en réciprocité des jeunes Allemands de Velbert, l'association des Fous Volants dont dépend la fanfare des Bigotphoneux a reçu de la ville de Châtellerault le 19 mai 2011 une subvention de 20 euros par jeune Allemand reçu à Châtellerault.
  6. a et b Les Rigolados au Carnaval de Châtellerault 2011.
  7. a et b Déclaration au Journal Officiel le 1er juillet 2000 des cougourdons sospellois. Cette association est toujours active en 2011, voir son nom dans la liste des associations de la commune sur le site Internet officiel de Sospel.
  8. a et b Créée en décembre 2004 par Christian Paccoud au Limonaire dans la tradition des goguettes politiques d'opposition.
  9. a et b Fondée en juin 2010 par Alexandra Bristiel à la Cité Jardins d'Asnières.
  10. a et b Extrait du tract d'annonce de la création de la fanfare, imprimé sur papier vert en référence au crocodile : « Le 9 octobre 2011, Alexandra Bristiel dite Bamada Reine du Carnaval de Paris et des bigophones et son compagnon Basile Pachkoff dit le Cocodrill Prince qu'on sort ont fondé à Paris la Fanfare bigophonique C'est Caïman trop Marrant. »
  11. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z, aa, ab, ac, ad, ae, af, ag, ah, ai, aj, ak, al, am, an, ao, ap, aq, ar, as, at, au, av, aw, ax, ay, az, ba, bb, bc, bd, be, bf, bg, bh, bi, bj, bk, bl, bm, bn, bo, bp, bq, br, bs, bt, bu, bv, bw, bx, by, bz, ca, cb, cc, cd, ce, cf, cg, ch, ci, cj, ck, cl, cm, cn, co, cp, cq et cr Jean Frollo, Paris qui chante, Le Petit Parisien, 18 janvier 1898, page 1. Article transcrit dans Wikisource : Paris qui Chante
  12. La Muse du peuple, Écho des sociétés chantantes, avec illustration, Adolphe Lévèque Éditeur, Paris 1848.
  13. L'Humanité, 1er décembre 1922, page 4, rubrique Fêtes et Conférences.
  14. Illustration du texte de Louis-Auguste Berthaud, Le goguettier, paru dans le tome 4 de l'ouvrage Les Français peints par eux-mêmes, Encyclopédie morale du dix-neuvième siècle. Louis Curmer éditeur, Paris 1841, pages 313-321, avec deux illustrations pleine page non numérotée hors texte.
  15. Dessin extrait de La grande ville : nouveau tableau de Paris, comique, critique et philosophique par MM. Paul de Kock, Balzac, Dumas, etc. illustrations de Gavarni, Victor Adam, Daumier, etc. Marescq éditeur, Paris 1844.
  16. Page Internet en allemand avec une photo de la Katzenmusik, musique bigophonique des chats, à Sigmaringen en 1923.
  17. Photo du Bigotphone Band de Seaton Delaval vers 1910 dans : Alan Metcalfe, Leisure and recreation in a Victorian mining community, the social economy of Leisure in North-East England, 1820-1914, Routledge 2006, au bas de la page 49.
  18. News and notes, The West Australian, Perth, 23 septembre 1903, page 4, 6e colonne. Social notes, The West Australian, Perth, 24 septembre 1903, page 9, 5e colonne.
  19. Estaimpuis, On n'entend plus les Bigophones
  20. Le Haut-Judas est le nom d'un quartier de Mouscron.
  21. Véronique Van de Voorde La Vie Musicale Mouscronnoise, La chanson dans la communauté ouvrière
  22. Une carte-postale figurant les Joyeux Bigophones du Tuquet.
  23. Voir à propos de cette goguette belge de la ville de Verviers un article dans La Chanson, 12 décembre 1880, 3e année, numéro 31, page 244 et un autre dans La Chanson, 26 décembre 1880, numéro 33, page 261.
  24. Le Soutien de Saint-Gilles, musique bigophonique composée de 153 pierrots et pierrettes belges, est citée dans l'article La Mi-Carême, Le Petit Parisien, 12 mars 1926, page 2, 1re colonne :
    Le succès, cependant, allait aux pierrots blancs, aux pierrettes blanches de l'Harmonie burlesque belge: le Soutien de Saint-Gilles – imposant orchestre où dominaient les bigophones surmontés d'ustensiles de cuisine. On les applaudissait. On criait « Vive la Belgique ! »
    Sur la base Gallica on trouve 4 photos du Soutien de Saint-Gilles participant aux défilés de la Mi-Carême à Paris : une prise le 11 mars 1926, et trois autres prises le 24 mars 1927 : 1, 2, 3.
  25. Voir une annonce pour diverses marchandises parue le 24 avril 1888 dans The Hawaiian gazette, 24 avril 1888, page 7, 4e colonne, publiée à Honolulu. Elle vante les Bigotphones : « Bigotphones, a new and comical instrument, can be played by anyone; » : Les Bigotphones, un instrument nouveau et comique dont tout le monde peut jouer; ». Voir aussi une annonce pour la vente d'articles festifs, au nombre desquels des kazoos et bigotphones, parue dans le Palestine Daily Herald, publié à Palestine, ville du Texas, volume 2, numéro 54, 5 septembre 1903, 5e colonne.
  26. Une page Internet en anglais très documentée, avec textes, photos et dessins existe sur l'histoire du zobo ou songophone.
  27. Voir un site Internet où figurent divers modèles de vocophones.
  28. a et b Une publicité 1901 pour les zobos. Elle parle de la Church Band (fanfare d'église) de Paterson (New Jersey). Elle indique aussi qu'existent avec elle des centaines d'autres fanfares de zobos.
  29. a et b Photo de la Vocophone Band de Verndale, Minnesota.
  30. Photo du Metlakahtla girls' Zobo Band.
  31. a, b, c, d et e La Music Trade Review du 7 novembre 1896 signale l'existence de cet ensemble de zobos dans cet établissement d'enseignement, sans préciser s'il porte un nom particulier autre que Zobo Band : Fanfare de Zobos.
  32. Music Trade Review, 22 février 1896.
  33. Le Bonner County Daily Bee mentionne en 1903 le Zobo Band de Sandpoint :
    Zibbie and Robert Coons were married in 1903 when he was station agent for the Northern Pacific in Sandpoint. Zibbie had lived in town and worked at various jobs before she met Robert. She was a member of a musical group called the “Zobo Band.”
  34. Music Trade Review, 1926. Il s'agit d'un ensemble vocophonique formé par des membres du personnel d'une fabrique de pianos.
  35. The Tech., Vol XII, n°2, 13 octobre 1892, page 1, 2e colonne.
  36. a et b Source : Catalogue de W. L. Hatch, New York 1899.
  37. a et b Un dessin figurant la fanfare de zobos cyclistes illustrant un article paru dans : Music Trade Review, 25 juillet 1896.
  38. KZ festival, The Fulton County Republican, 5e colonne.
  39. Une photo de la First Zobo Band of New York, parue dans Music Trade Review en 1897.
  40. New York Times, 27 septembre 1896.
  41. a, b et c Page Internet consacrée au Carnaval de Creney, programme du Carnaval de Creney 1985.
  42. Michel Debatisse, « Les Joyeux Bigophones d’Aigueperse », revue Sparsae, 2e semestre 2008, ISSN 0763-0190, n°62, pages 57-66. La société des Joyeux Bigophones d'Aigueperse a été fondée à Aigueperse en 1933.
  43. « Une catégorie nouvelle, groupes bigophoniques a été créée, elle sera représentée par la Garde Républicaine de la commune libre de Balthazar, qui comprend un nombre important d'exécutants. » Carnaval d'Aix, Le Mémorial d'Aix, Journal Politique Commercial Littéraire et Mondain, Feuille d'Annonces Judiciaires et Légales, 8 février 1931, page 1, 5e colonne.
  44. Christophe Berger, Amiens, L'histoire d'un « tchot » coin oublié, Courrier picard, 30 août 2009.
  45. La Société Humoristique et Bigophonique d'Antibes-Juan-les-Pins La Vespa sur le site de l'annuaire collaboratif toutpourlesassociations.com.
  46. Une carte-postale figurant les Bigophones Astériens.
  47. Une carte-postale montrant la Lyre Joyeuse d'Avoine.
  48. Une carte-postale figurant les Bigophones du Gassouille à Barbezieux.
  49. Extrait de la rubrique La Baule, L'inauguration du boulodrome des A. S. B. baulois, L'Ouest-Éclair, 22 mai 1928, page 5, 5e colonne :
    Citons ce qui, à notre avis, a été le plus réussi : la partie artistique, qui obtenait le concours de l'Harmonie Municipale de la Baule, des Bigotphones Baulois et de nombreux artistes.
  50. Récit des premières Fêtes de la Vigne et du Vin à Beaune, les 17 et 18 octobre 1925. Description de la cavalcade, faite dans le Journal de Beaune :
    Mais voici un intermède comique fourni par la Chorale de Beaune qui a délégué sa section « Bigophone ». Ils passent les bigophonistes, vêtus de leur grande biaude bleue, le chef orné de bonnet à pompon. Le président, Monsieur Roblin, le directeur et le porte-bannière sont coiffés d'un huit reflets.
    Ce texte est reproduit en page 11 du bulletin trimestriel, numéro 107, mai 2009, du Centre Beaunois d'études historiques, Société d'histoire et d'archéologie de Beaune.
  51. Carte-postale figurant le char des Bigotphones Les Jovials.
  52. Une carte-postale figurant la Fanfare bigotphonique de la commune des Chaprais est conservée aux archives départementales du Doubs sous la cote 6FI25056NP3
  53. Une carte-postale figurant la Société des Bigophones de Le Blanc.
  54. Voir à ce propos ce qu'en rapporte Arthur Dinaux dans Les sociétés badines, bachiques, littéraires et chantantes, leur histoire et leurs travaux, Bachelin-Deflorenne, Paris 1867, pages 152-153.
  55. Voir : Les enfans sans soucis, ou L'art de banir la tristesse, lettre écrite par M. le président des disciples de Bacchus, aux amis de la joie de la ville de Bordeaux, suivie de la Vie de Grégoire, chanson de table. Par M. Verdié, Bordeaux 1818.
  56. Elle est mentionnée en 1811 dans la liste des Troubadours associés à la goguette marseillaise de la Société des Troubadours de Marseille. Deux des Troubadours associés font partie de cette société de Bordeaux.
  57. Les fêtes du Chapus, Le P'tit Chapusais, n°30 (trimestriel), mai 2008, page 6, avec deux photos où on aperçoit les Écervelés Bigophones de la Commune libre du Chapu.
  58. Pornichet, A la Société des Fêtes, L'Ouest-Éclair, 12 septembre 1932, page 8, bas de la 1re colonne.
  59. Article : Association amicale « Les Gas du Ch'Nord » du Finistère, L'Ouest-Éclair, 4 avril 1935, page 5, 3e colonne.
  60. Une carte postale figurant les Bigophones de Bruyères-le-Châtel.
  61. Voir une description des bigophones de la Trivalle, quartier de Carcassonne, dans : Raymond Gougaud, Gualdo, le Troubadour de la Trivalle, Édition Pontilh, Carcassonne 1991, page 12.
  62. Les Pandores carcassonnais, Commentaires
  63. L'Express du Midi, 11 avril 1896, page 2, 3e colonne.
  64. L'Indépendant du Berry, 8 août 1936, page 2, 5e colonne
  65. Photo de l' Amicale bigotphonique chartraine.
  66. a, b et c L'Argus Carré Plus, catalogue de cartes-postales, comporte la mention de trois sociétés bigophoniques châtelleraudaises : « Fanfare de Bigophones de Trifouilles-les-Nénés (Mi-Carême 1908 - Fanfare des Bigotphones de Trifouilles-les-Nenés) », « La Gaule Musicale - Société Bigotphonique de Châtellerault », « Société des Bigotphoneux Châtelleraudais ».
  67. L'Ouest-Éclair, 19 juillet 1926, page 2, 5e colonne.
  68. Carte-postale montrant le joyeux bigotphone Saint Jacquais vers 1928.
  69. Rubrique Combourg, Programme de la grande fête des fleurs, L'Ouest-Éclair, 15 mai 1929, page 7, 6e colonne.
  70. Dans la région parisienne, Aisne, Le Petit Parisien, 18 septembre 1932, page 3, 4e colonne :
    Coincy. - Une société de bigophones, les « Rigolos », vient d'être créée.
  71. L'Ouest-Éclair, 9 mai 1937, page 5, 5e colonne.
  72. Les Charentais de Toulouse, A la Montagne noire, L'Express du Midi, 17 juin 1933, page 4, 4e colonne.
  73. Une carte-postale figurant la Fanfare des Bigophones de l' Amicale Michelet
  74. Article La semaine du poisson obtient à Dieppe un succès considérable, L'Ouest-Éclair, 9 septembre 1929.
  75. a, b, c et d Rubrique Dinan, Dimanche 4 septembre fête du quartier de la gare, L'Ouest-Éclair, 3 septembre 1938, page 7, 1re colonne.
  76. Dans la région parisienne, Aisne, Le Petit Parisien, 2 janvier 1930, page 3, 6e colonne :
    EPAUX-BEZU. — La Société des bigophones donnera son premier concert de la saison dimanche prochain.
  77. Voir l'annonce donnée par elle dans La Chanson numéro 17, page 136, 5 septembre 1880.
  78. Page Internet avec deux photos des Marins du Clos
  79. Rubrique Fougères, L'Ouest-Éclair, 29 août 1930, page 5, 5e colonne. Dans la rubrique Fougères du 24 août 1931, page 7, 1re colonne de L'Ouest-Éclair, on parle de ces bigophones dans l'article : Un beau dimanche, Le splendide succès des fêtes de l'Espérance.
  80. Une carte-postale figurant la Société des Bigotphones « Les Sans Souci » de Gaillon-Aubevoye est passée dans le commerce en ligne en octobre 2011.
  81. La vie des C. D. H. et des Amis de « l'Humanité », L'Humanité, 9 septembre 1938, page 4, 6e colonne.
  82. Compte en octobre 1873 six membres fondateurs et un an plus tard 26 membres, au nombre desquels des chanteurs et des musiciens. Voir à ce propos La Chanson Havraise, Première Livraison.
  83. Une carte postale figurant les Bitons de Jharnat est passée dans le commerce en ligne en octobre 2011.
  84. Photo du char des bigophones de Jupilles.
  85. Le Carnaval à Laval, Ouest-Éclair, 17 février 1931, page 7, 4e colonne.
  86. Rubrique Caen, La clôture de la Foire-Exposition, L'Ouest-Éclair, 4 septembre 1933, page 4, 2e colonne : La clôture de la Foire-Exposition, La journée des reines et, 3e colonne : Le concours de costumes.
  87. « Les jeunes gens désirant faire partie des « bigophonistes » de la commune libre des Trois Croix sont priés de se faire inscrire chez M. Péronnet, rue Lavergne, dimanche prochain, de 10 h. à midi. », extrait de l'article « La fête des Trois Croix », L'Ouest-Éclair, 4 mai 1939, édition des Côtes du Nord, page 7, 5e colonne.
  88. La Chanson illustrée, 1870, numéro 66, page 2, début d'un article de Célestin Gauthier dit Jules Célès.
  89. Georges Droux La chanson lyonnaise, histoire de la chanson à Lyon, les sociétés chansonnières, Revue d'histoire de Lyon, A. Rey et Cie éditeurs, Lyon 1907, 113 pages.
  90. La Muse gauloise. Journal de la chanson par tous et pour tous, 15 juin 1863, numéro 8, pages 58-59.
  91. Célestin Gauthier dit Jules Célès Histoire de la Société des Amis de la Chanson, Bouchard éditeur, Lyon 1892, in-12. Le poète lyonnais Célestin Gauthier dit Jules Célès était liseur de dessins dans la soierie lyonnaise au 34 rue des Tables Claudiennes.
  92. Robert Brécy, Florilège de la Chanson Révolutionnaire, De 1789 au Front Populaire, Éditions Ouvrières, Paris 1990, page 169.
  93. La Chanson illustrée, 1870, numéro 66, page 2.
  94. La Chanson, numéro 29, page 228, 28 novembre 1880.
  95. La Chanson, numéro 29, 28 novembre 1880, page 232.
  96. La Fanfare des bigophones lyonnais est mentionnée dans la rubrique Tribune ouvrière, L'Écho de Lyon, 9 octobre 1891, page 3, 5e colonne.
  97. a et b Jean-François Gonon, Histoire de la chanson stéphanoise et forézienne depuis son origine jusqu'à notre époque., Éditée par l'imprimerie coopérative « L'Union Typographique », Saint-Étienne, 1906.
  98. Une soirée de fête dans le quartier de Routhouan, rubrique Saint-Malo, L'Ouest-Éclair, 25 juin 1936, page 7, 5e colonne.
  99. SAINT-MALO, La Cavalcade de la Mi-Carême 1936 a connu un beau succès, L'Ouest-Éclair, 16 mars 1936, page 7, 6e colonne. Cette société bigophonique défile à Saint-Malo, mais vient peut-être d'une autre ville.
  100. La Gaieté Bigophonique du Clos-Cadot, L'Ouest-Eclair, 30 juillet 1932, page 7, 1re et 2e colonnes. Gaité bigophonique, Ouest-Éclair, 15 janvier 1938, page 8, 1re colonne.
  101. Article Plouer, L'Ouest-Éclair, 3 juin 1934, page 13, 4e colonne. Il existe d'autres mentions de cette société dans ce journal, par exemple dans la rubrique Syndicats et sociétés, L'Ouest-Éclair, 24 juin 1939, page 9, 3e colonne.
  102. L'Ouest-Éclair, 19 février 1922, page 3, 4e colonne.
  103. Une carte-postale figurant la Société des Bigophones du Mans.
  104. La Ferté-Bernard, La grande fête historique du 11 juin, L'Ouest-Éclair, édition Orne Sarthe Mayenne, 31 mai 1933, page 6, 1re colonne.
  105. Edgar Léon Newman Quand les mouchards ne riaient pas : les ouvriers-chansonniers, la justice et la liberté pendant la monarchie de Juillet, page 298 du livre Répression et Prison Politiques en France et en Europe au XIXe Siècle, publié sous la direction de Philippe Vigier par la Société d'histoire de la révolution de 1848 et des révolutions du XIXe siècle, Créaphis éditions, Grâne 1990.
  106. Rapports et délibérations - Conseil général du département des Bouches-du-Rhône, séance du 7 novembre 1931 : Les Bigophones, 16, rue Clotilde, Marseille ... 500
  107. Rapports et délibérations - Conseil général du département des Bouches-du-Rhône, séance du 7 novembre 1931 : Groupe artistique Les Bigophones, 2, chemin des Chartreux, Marseille … 300 francs ; dans le même ouvrage on trouve aussi : Groupe sportif Les Bigophones, 2, chemin des Chartreux, Marseille ... 300
  108. Rapports et délibérations - Conseil général du département des Bouches-du-Rhône, séance du 7 novembre 1931 : Les Bigophones Argentés, 3, rue du Petit-Puits, Marseille ... 500 ; autre mention des Bigophones argentés dans le même ouvrage : [1]
  109. Rapports et délibérations - Conseil général du département des Bouches-du-Rhône, séance du 7 novembre 1931 : Les Bigophones du chemin de Montolivet, Marseille ; dans le même ouvrage est mentionné un : Groupe sportif Les Bigophones du chemin de Montolivet, Marseille ... 300
  110. Rapports et délibérations - Conseil général du département des Bouches-du-Rhône, séance du 7 novembre 1931 : Groupe « Les Bigophones de la République », Mazarade, Marseille ... 500
  111. Liste des subventions accordées par le Conseil général, article 56, subventions et encouragements divers, séance du 5 juin 1930, cité dans Le Mutilé de l'Algérie. Journal des mutilés, réformés et blessés de guerre de l'Afrique du Nord ou Le Mutilé algérien, 13 mai 1934, n°870, page 2, 3e colonne. Les Boulomanes Bigophones sont également cités en septembre 1933 par la revue La Culture physique.
  112. La République des Maurins, sur le site Internet Le Transbordeur de Marseille, Le site de l'Association des Marseillais du Monde.
  113. Connaissez-vous Zoé ? Elle entre en scène !, Match, 2 juillet 1935, Paris, page 9, 1re colonne.
  114. Rubrique Le Courrier de la Midinette, Midinette. Journal illustré, 7 septembre 1934, page 31, 1re colonne.
  115. Rapports et délibérations - Conseil général du département des Bouches-du-Rhône : subvention de mille francs votée le 16 mai 1929 pour la Lyre bigotphonique de Marseille. Le 7 novembre 1931, la subvention votée est de 1 500 francs. Le siège de l'association se trouve 2 avenue Pasteur à Marseille.
  116. Société fondée le 6 décembre 1809 par Louis de Permon, Fortuné Marie, Dudemaine fils et Casimir Rostan qui adoptent le Règlement général de la société des Troubadours de Marseille. en vers et en chanson.
  117. Carte-postale figurant la fanfare de Bigotphones Aux Bons Amis Paulnay.
  118. L'Amicale des bigophones mazériens est mentionnée dans la rubrique Haute Garonne, Le Midi Socialiste, 10 août 1924, page 3, 6e colonne.
  119. Melesse, Grande fête annuelle, L'Ouest-Éclair, 4 octobre 1931, page 10, 2e colonne.
  120. La Société des Bigotphones de Mende est mentionnée sur le site Internet Arguscarréplus, avec la référence d'une carte-postale publiée en 1903 :
    FÊTE VOTIVE DE MENDE. - Couronnement de La Rosière d'Ici-les-Canards avec le concours de la Société des Bigotphones.
  121. Voir tiré à part GDP n°84 - La Cité Libre de Mohon (pdf - 1,04 Mo), consultable sur le site Internet officiel de la ville de Charleville-Mezières.
  122. « 3. Le Front populaire de la Vienne, 21 mars 1936 : « Montmorillon. Nos bigophoneux. Dimanche dernier, notre société de bigophoneux a organisé dans les rues de la ville une pittoresque noce villageoise agrémentée en cavalcade. »… Noëlle Géröme, Les loisirs populaires de Poitiers, JSTOR, Vingtième siècle, Revue d'histoire, numéro 27, juillet-septembre 1990, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, Paris.
  123. Rubrique Mortain, L'Ouest-Éclair, édition Orne Sarthe Mayenne, 21 mars 1925, page 6, 3e colonne.
  124. Barbara L. Kelly, French music, culture, and national identity, 1870-1939, University Rochester Press, 2008, page 237.
  125. Photo des Joyeux Bigophones Saintongeais en 1931.
  126. La fête de Ribray a remporté son succès habituel, L'Ouest-Éclair, 8 juin 1937, page 7, 3e et 4e colonne. Les Poulbots du quartier de Ribray participent à l'animation de la fête du quartier de Ribray 1937. Cette association de quartier paraît regrouper des enfants et des très jeunes. Le quartier de Ribray présente à cette occasion toutes les caractéristiques propres à une Commune libre : dans le défilé sont présents le maire, le garde-champêtre, le lieutenant de pompiers porteur d'un arrosoir, etc.
  127. On lit, dans l'article La fête au profit du préventorium a remporté un grand succès, paru dans L'Ouest-Éclair du 18 décembre 1934, page 8, 1re colonne :
    Vers 21 heures, l'orchestre (des officiers de Saint-Maixent qui accompagne le bal de la fête au profit du préventorium local) offrit un intermède qui fut fort gouté du public, et chacun trouva très amusant d'écouter cette musique de bigophones.
  128. Une chanson des Enfants de Gambrinus
  129. La cherté de vivre, Chantée par la Société des Rigolos établie à la ville de Dunkerque à Armentières (rivage)
  130. Auguste Dubois, Le Désagrément d'un ménage, Chanson nouvelle en patois d'Armentières, Chantée par la Société des Risquons-tout, Réunie à l'Estaminet du Progrès, Entrée des Prés Duhem. Éditeur : imprimerie de Cadot-Petit (Armentières).
  131. La société Les bigophones d'Auchy-les-Mines est mentionnée le 6 septembre 1927 par le Réveil du Nord, dans son article rapportant l’inauguration du monument aux morts de la cité du n°8 des mines de Lens. Cet article est reproduit sur la page Internet Mémoires de pierre, Vendin-le-Vieil
  132. Journal officiel de la République française, 1954, page 4320 :
    23 janvier 1954. Déclaration à la sous-préfecture de Béthune. L'Association de bigophones Les Joyeux de Billy transfère son siège social de chez M. Dubois-Peucelle, Grande-Rue, à Billy-Berclau, chez M. Lemire-Benoit Mannessier, Grande-Rue, Billy-Berclau.
  133. Fondée au début du 20e siècle, devient en 1921 une fanfare. Voir le site de la fanfare l'Avenir de Billy-Montigny.
  134. Une chanson de la Société des Enfants de Bouloigne : Les trieurs de laine, Mi-Carême 1875.
  135. Une chanson des Amis Réunis du Breucq
  136. Ce groupe édite en 1895 la chanson d'Henri Carré dit Dartagnan La grève de Carmaux, reproduite page 161 de l'ouvrage de Robert Brécy, Florilège de la Chanson révolutionnaire, De 1789 au Front Populaire, Éditions Ouvrières, Paris 1990.
  137. Le bicentenaire de la bataille de Denain, Journal des débats politiques et litteraires, 29 juillet 1912, page 3, 2e colonne.
  138. La photo des Bigophones au Carnaval de Denain 1938, costumés en pâtissiers et pâtissières, figure dans Denain aujourd'hui, n°14, mars 2003, page 9.
  139. Voir le premier couplet de la chanson Aux Enfants du Nord de V. Derode, Dunkerque 1856 :
    Salut, nobles enfants de notre noble mère !
    Depuis long-temps ce jour à mon bonheur manquait ;
    Que vous m'avez ému, quand vous m'avez dit : « Frère
    » Viens t'assoir à notre banquet !
  140. Trois chansons conservées mentionnent cette goguette : Auguste Philippe, Couplets, Chantés par l'auteur, le jour de sa réception au Petit Couvert de Momus, 1848 ; Pierre Simon, Mes Regrets. Couplets chantés à l'un des banquets de la Société littéraire du Petit Couvert de Momus. ; Carlier Aîné. A mon ancien Camarade du Petit Couvert de Momus à Dunkerque en 1815, Bernaert aîné, à Bruxelles, 1845.
  141. Petit-Genet, Couplets chantés au banquet annuel de la Société du Salon littéraire de Dunkerque, le 15 janvier 1818.
  142. Arthur Dinaux en parle dans son ouvrage Les sociétés badines, bachiques, littéraires et chantantes, leur histoire et leurs travaux, Bachelin-Deflorenne éditeur, Paris 1867, pages 143.
  143. a et b Créée en 1864.
  144. a et b Voir [2].
  145. Danielle Tartakowsky, Les manifestations de rue en France, 1918-1968, page 386 :
    AN F7 13012, 11 novembre 1923, cérémonie à Montigny-en-Gohelle. La société communiste des bigophones d'Harnes doit aux circonstances d'exécuter La Marseillaise mais la fait suivre de L'Internationale, au cimetière.
  146. a, b et c Fêtes de Gayant, 6, 7, 8, 9 et 14 juillet 1929, Douai-sportif, journal hebdomadaire de l'arrondissement de Douai, 4 juillet 1929, page 4, 2e colonne.
  147. Photo des Cœurs Joyeux
  148. Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1903, 17e année, page 913, 1re colonne.
  149. Chansonnier des jours gras, recueil de chansons faites pour égayer les réunions pendant le carnaval, par Simon-François Blocquel, Lille 1819, 146 pages. Il est précisé sur la couverture qu'il est vendu à Lille et à Paris.
  150. Les biaux métiers d'Lille, une chanson des Amis-Réunis des petits groins.
  151. La Médiathèque de Roubaix conserve une Chanson nouvelle : en patois de Lille émanant de cette goguette.
  152. a et b 2 chansons des Enfants de Bacchus goguette de Lille et 2 autres des Enfants de Bacchus goguette de Lillois rassemblés à Versailles près de Paris : [3].
  153. 15 chansons des Enfants Chinois : [4].
  154. 4 chansons des Enfants de la Gaité : [5], et une 5ème commentant la question d'Orient.
  155. 2 chansons des Enfants de la Joie : [6].
  156. Son nom est mentionné en-tête d'une chanson imprimée en feuille volante : Chant patriotique, Chœur chanté à Lille, le 9 octobre 1845 par la Société de Momus, paroles de M. F. Danel, musique d'Alfred Postian.
  157. Le Mardi Gras, chanson en patois de Lille, composée par Félicien Glorieux.
  158. Par exemple : 37 chansons de goguettes lilloises et autres dans Gallica :[7] [8] [9]
  159. Description des Gais lurons de Meurchin.
  160. Une chanson des Amis du vieux château d'or.
  161. a et b Le Pile est un quartier de Roubaix.
  162. Manière d'engager ses amis à souper, une chanson chantée dans cette goguette.
  163. a, b et c Mentionnée dans le catalogue de l'exposition Chantons... mais en patois ! tenue du 8 juin au 1er juillet 2010 à la Médiathèque de Roubaix.
  164. Les garçons débochés, chanson nouvelle en patois de Roubaix, chantée par la Société des Amis réunis chez Hypolite Etienne, rue d'Inkermann, à l'occasion de la Mi-Carême 1865.
  165. Société bigophonique du quartier du Bas St-Pierre à Roubaix, mentionnée dans : Echo de la Fête des Allumoirs, A l'Épeule – Bas St-Pierre – Fresnoy, L'Essor de l'Épeule, octobre 1927, page 3, 2e colonne.
  166. Rubrique notre quartier « hier », Épeule-Alouette-Trichon, Quartier libre, revue de l'association Epeule-Alouette-Trichon, n°10, novembre 1982, page 2.
  167. Un mariage monqtchi, Chanson nouvelle en patois de Roubaix, chantée par les Enfants de chez Barot, à l'occasion de la Mi-Carême 1865, Composée par Henri B. Une autre chanson des Enfants de chez Barot.
  168. Une chanson des Enfants de la Folie au Carnaval de 1861.
  169. Robert Brécy, Florilège de la Chanson Révolutionnaire, De 1789 au Front Populaire, Éditions Ouvrières, Paris 1990, page 160.
  170. Les Annales politiques et littéraires, volume 85, 1925, page 478. L'Ommelet est le nom d'un quartier Roubaix, dont le nom s'orthographie à présent « Hommelet ».
  171. Une chanson de la Société du Canard.
  172. Une chanson de la société Saint Grégoire.
  173. Agglomération de Valenciennes, La Saint Fiacre, fête des maraîchers, est célébrée le 30 août, La Voix du Nord, 16 août 2009.
  174. Une chanson de cette société sans nom
  175. Une chanson de la Société des Enfants de la Gaîté
  176. Une chanson des Enfants de la Liberté
  177. Une chanson de la Société des Enfants du Moulin d'or : Le chômage du lundi, paroles de Bonnart, sur l'air de C'est l'amour, l'amour, l'amour, Mi-Carême 1873.
  178. Une chanson de la Société de la Descente de Linselles
  179. une chanson de la Société du Pot d'Etain
  180. Une chanson de la Société de la Trompette
  181. Une chanson de la Société du Veau-d'Or
  182. Références dans Gallica de deux chansons éditées par les Amis Réunis à Bâle-en-Suisse : [10] [11]
  183. Ils auraient fait partie en 1870 des 2600 militaires français rapatriés à travers la Suisse.
  184. Cette société est mentionnée dans les Remerciements, L'Essor de l'Épeule, novembre 1927, page 1, 2e colonne.
  185. Une chanson de la Société des Enfants de Bouloigne.
  186. La Chanson, 1re année, numéro 4, août 1878, page 52.
  187. Le Troubadour, recueil de chansons inédites, par J.-B. Gougé, édité par l'auteur, Paris 1824, pages 65-68.
  188. La Chanson, septembre 1878, 1re année, numéro 5, page 65.
  189. Promenade à tous les bals publics de Paris, barrières et guinguettes de cette capitale, ou revue historique et descriptive de ces lieux par M. R***, habitué de toutes les sociétés dansantes de Paris et des barrières - Paris, Terry jeune, Libraire 1830, pages 278 à 281. (Bibliothèque nationale de France : RES. 8°Li159).
  190. a et b Neveux a écrit une Ronde dédiée aux Enfants d'Erigone.
  191. a et b Louis Festeau a écrit une chanson en l'honneur de cette goguette : Les Enfans de Momus.
  192. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q et r Ensemble de bigotphones. Cité par Jean Frollo en janvier 1898 dans son article pour Le Petit Parisien Paris qui chante.
  193. Jean Frollo indique que cette goguette a repris le nom d'une autre bien plus ancienne. C'est pourquoi, dans la liste générale des goguettes de Paris, des barrières et de la banlieue de Paris, elle est mentionnée comme Les Gais Lurons (en 1898).
  194. a et b Le nom de cette goguette est cité au moins par deux sources, dont l'une est l'article de Jean Frollo paru dans Le Petit Parisien le 18 janvier 1898 : Paris qui chante.
  195. Le Petit Journal, 19 mars 1906.
  196. a, b, c et d Eugène Baillet cite cette goguette dans La Goguette, numéro 5, 2 mars 1885, page 1.
  197. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Le Petit Parisien, 4 juillet 1898, page 3, 3e colonne.
  198. Le Temps, 14 juin 1887, page 3, 1re et 2e colonnes.
  199. Une carte-postale figurant le char de l' Amicale des Bigophones du quartier de la place Hérold à Courbevoie vers 1910.
  200. Mentionnée dans le Journal des mutilés & réformés, des anciens combattants et des veuves de guerre, 2 octobre 1920, page 3, 4e colonne.
  201. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y, z, aa, ab, ac, ad, ae et af Société bigophonique mentionnée dans le Bulletin officiel de l'union bigophonique de France, n°1.
  202. a, b et c Société bigophonique mentionnée dans le Bulletin officiel de l'union bigophonique de France, n°3.
  203. Une chanson d'Auguste Alais est dédiée à cette goguette. Il l'a publié dans La lyre du peuple, Publication mensuelle, Première livraison, Paris 1846.
  204. Un recueil de l'ancien Cercle dramatique, 1867.
  205. a, b, c, d et e En 1893, cette société a pour organe, avec quatre autres : l'Armena des Enfants du Nord.
  206. Mentionné dans un article d'Albert Cim sur Émile Debraux paru dans Le Menestrel du 31 juillet 1909.
  207. Rubrique Divers, L'Humanité, 13 mai 1936, page 6, 6e colonne. A la grande fête bretonne de Villeneuve-le-Roi, L'Humanité, 1er juin 1936, page 4, 1re colonne.
  208. Charles Gille considérant que la salle longue et basse où se réunit la goguette le Banquet du Jeudi ressemble plutôt à un terrier a donné à cette goguette et à ses membres le nom des Lapiniers (Source : Henri Avenel Chansons et chansonniers, C. Marpon et E. Flammarion Éditeurs, Paris 1890, page 198. Texte écrit en 1889 et parut en 1890).
  209. Société à laquelle Marc-Antoine Madeleine Désaugiers fut invité le 6 mai 1825. Il écrivit à cette occasion une chanson : Couplets chantés au Banquet de Momus où je fus invité le 6 mai 1825.
  210. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, juillet 1919, page 673. Objet : société bigophonique. Siège social : 163, avenue d'Italie. Date de la déclaration : 13 juin 1919.
  211. En 1885, la délégation de cette société apparaît dans une description des obsèques de Victor Hugo : « Aussi la députation des nègres et celle des Chinois ont-elles eu beaucoup de succès. Le groupe des vidangeurs, celui des torpilleurs, l'aimable société des Béni-Bouffe-Toujours, la députation des cafés-chantants, ont de même été très goûtés. » Citation extraite de : Louis Veuillot, Études sur Victor Hugo, éditions Palomé, 1886, cité par Raymond Escholier dans : Victor Hugo raconté par ceux qui l'ont vu, Souvenirs, Lettres, Documents réunis, annotés et accompagnés de résumés biographiques, Librairie Stock, Delamain et Boutelleau, Paris 1931, chapitre Hiver, page 406.
  212. a, b, c, d, e, f, g et h Société citée par Brigitte Level dans son ouvrage À travers deux siècles, le Caveau, société bachique et chantante, 1726-1939, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, Paris 1988.
  213. Article http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4017491/f2.image.r=bigophones.langFR Quinze mille Travailleurs participent à la Fête populaire d'Ivry-sur-Seine, L'Humanité, 29 juin 1925, page 2, 3e colonne.
  214. Les fêtes de la Mi-Carême, Les petits cortèges, Le Petit Parisien, 25 mars 1927, page 3, 5e colonne.
  215. La société des Bigophones d'Argenteuil est mentionnée dans l'article A la fête des Bretons de Saint-Cyr, L'Humanité, 18 juin 1935, page 2, 2e colonne.
  216. L'Humanité, 14 juillet 1934, page 2, 7e colonne.
  217. Chapitre Agit'Prop' , dans Maxime Lisbonne, le « d'Artagnan » de la Commune, La Dionyversité, 2 octobre 2011.
  218. Argenteuil célébrait, hier, le millénaire de son vin, Le Petit Parisien, 1er octobre 1923, page 2, 3e colonne.
  219. Cette société est mentionnée sur la page Internet de l' Association des cartophiles : Viroflay au fil du temps par l'image
  220. Lorsque Joséphine était des nôtres, page Internet faisant le récit d'une fête au Vésinet le 28 juin 1931.
  221. Voir la photo d'un concert en plein air donné par les Bigophones des Coudreaux dans Les Premiers banlieusards, aux origines des banlieues de Paris, 1860-1940, ouvrage publié sous la direction d'Alain Faure, Creaphis éditions, Grâne 1991, page 213.
  222. La commune libre de Montmartre fête son cinquième anniversaire, Le Petit Parisien, 22 septembre 1924, page 2, 4e colonne.
  223. La création de l'« État libre de Picpus » date du mois de septembre 1924 : ...et l'Etat libre de Picpus célèbre sa jeune indépendance, Le Petit Parisien, 22 septembre 1924, page 2, 3e et 4e colonnes. Ses bigophones sont mentionnés à plusieurs reprises durant l'année :
    État libre de Picpus: 21 h. retraite aux flambeaux des « Bigophones ».
  224. Rubrique Fêtes et conférences, L'Humanité, 3 janvier 1923, page 4, 4e colonne.
  225. Bernard Hugo, maire honoraire de Trappes, 42 ans de mandat municipal, Aperçu historique à partir de réflexions inspirées par la TABLE RONDE TV-Fil du 23 février 2004 sur l’image de Trappes : « 2, Principales réalisations, culturel ... aide aux «  Bigophones gaulois »(association créée par l’amicale du personnel ONM qui participera à toutes les fêtes de Trappes et à de nombreux carnavals en France et à l’étranger) »
  226. L'Humanité, 20 juin 1926, page 2, 7e colonne.
  227. Rubrique Fêtes et conférences, L'Humanité, 12 septembre 1925, page 6, 4e colonne. Cette société bigophonique qui participe à la fête du quartier du Petit-Ivry à Ivry, le 13 septembre 1925, porte le nom et vient certainement des Monts Cuchets, quartier de la ville voisine de Villejuif.
  228. Le centenaire de l'asperge, Le Figaro, 10 juillet 1922, page 2, 2e colonne.
  229. Carte-postale figurant les Bigotphones rabelaisiens.
  230. Témoignage de Claude Weber, Le Manifeste, janvier 2004, n°3, page 17.
  231. a, b, c et d Courrier Orphéonique, Le Petit Parisien, 10 octobre 1897, page 3, 3e colonne
  232. Rubrique Fêtes et conférences, L'Humanité, 2 juillet 1924, page 4, 5e colonne.
  233. L'Humanité, 25 février 1934, page 2, 5e colonne, extrait de l'article La manifestation de 25.000 chauffeurs de taxis :
    Le comité central de grève en avant du cortège, entoure le mannequin à double tête, et s'enfonce avec lui sur la droite dans l'avenue Octave-Gréard.
    Par derrière, viennent les Bigophones des taxis, le joyeux orchestre (le seul qui n'ait jamais reçu de prix dans les concours de musique) qu'on voit chaque année à Garches.
    Puis l'énorme masse des chauffeurs avec des pancartes, huant Rouvier et Walewski, acclament la grève. On atteint l'avenue de Suffren, on tourne vers la Seine.
  234. a et b Affiche pour « Le dimanche 24 octobre 1897 grand concours de bigotphones organisé par "Les joyeux boulotteurs" sous les auspices de la municipalité dans le préau des écoles cours Chavigny » Conservée aux archives de la ville de Saint-Denis, Imp. générale. Noir et blanc. 65 x 94,5 cm. Cote : 20 Fi 1803 (ancienne cote CT 418).
  235. a et b Deux sociétés bigophoniques : les Bigophones des T.C.R.P. et les Bigophones de la Société des Conscrits de Clichy sont mentionnées dans l'article Dimanche 1er août les travailleurs de la région parisienne iront à Garches, Le programme de la journée, L'Humanité, 26 juillet 1926, page 2, 1re colonne.
  236. Ces bigophones sont cités comme les Bigophones des Transports dans l'annonce T.C.R.P., Métro, Nord-Sud, Grande fête champêtre, L'Humanité, 4 juillet 1926, page 2, 4e colonne.
  237. La participation en 1962-1963 de la fanfare montmartroise Les Bigophoneux à la fête de la Commune libre du Cayon de bois à Jaunay-Clan est rapportée dans l'article Jaunay-Clan, Le Cayon de bois ou l'histoire éphémère d'un quartier dissident, paru le 14 août 2011 sur le site de la Nouvelle République.fr.
  238. a, b, c, d et e Le Petit Parisien15 juillet 1898, page 2, 3e colonne.
  239. Photo des bigophonistes de la Commune libre de Persan (Val d'Oise) au début des années 1930.
  240. a et b La création de cette société bigophonique est annoncée dans la rubrique Les Echos, Le Gaulois, 17 février 1922, page 1, 4e colonne.
  241. Une carte-postale montrant les bigotphonistes de Montfermeil.
  242. a, b, c, d, e, f et g Goguette existant vers 1820, mentionnée par Eugène Baillet, Chansons et petits poèmes, Préface ou extrait de l'Histoire de la Goguette, Nouvelle édition entièrement revue par l'auteur, L. Labbé éditeur, Paris 1885, pages I à XXVIII.
  243. a et b Cette société fut présidée par Ciolina auteur des paroles et musique de la chanson Les gais pipeaux publiée dans Les échos de la gaité française, recueil de chansons, chansonnettes, romances anciennes et modernes, Éditeur : B. Béchet, Paris, 1858.
  244. Une carte-postale figurant la Reine du Carnaval d'Épinay avec ses dauphines et les musiciens de la lyre et l'harmonie des bigophoneux Les Bons Vivants.
  245. a, b et c De nos lecteurs, Mutuelles, clubs, associations, ligues, etc., Le Pêle-mêle, 17 novembre 1907, page 13.
  246. En 1944, la chanson Le rire de Guinette, One step, paroles de Valiere et Mallet, musique de Paul Mallet, est créée par l'Orchestre du Dancing d’Étampes, elle est dédiée « A mes amis de CHANTECLER, société bigophonique d'Etampes ».
  247. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Un concours de bigophones, Le Petit Parisien, 8 juin 1931, page 3, 4e colonne.
  248. Photo des Bigophonistes de la Commune libre de Milly-la-Forêt
  249. a, b, c, d, e et f Extrait de la rubrique Nouvelles diverses, Journal des débats politiques et littéraires, 29 août 1898, page 3, 4e et 5e colonnes.
  250. Une publication de la Conférence, 22 février 1861.
  251. Société fondée en 1896 par Georges Courteline, Paul Delmet, Millanvoye et Albert Michaut.
  252. Cette goguette est créée en 1992 par Christian Paccoud, dans la salle de son café La folie en tête, dans le quartier de la Butte-aux-Cailles. Elle existe durant plusieurs années avant de disparaître. Un article de Claire Moreau-Shirbon, Goguette au FestiVal !, parue dans La Vie n°2510 du 7 octobre 1993, parle de la Cour des ânes.
  253. En 1802, la goguette les Déjeuners des garçons de bonne humeur a publié deux recueils chez Pierre Capelle : Déjeuners des garçons de bonne humeur N°. I. et Déjeuners des garçons de bonne humeur N°. II. Le premier recueil s'ouvre avec la liste nominative des 14 membres, soit 11 chansonniers : Dumaniant, Désaugiers, Étienne, Francis, Gosse, Ligier, Martainville, Morel, Serviere, Sewrin, et 3 musiciens : Plantade, Persuis et Piccini fils.
  254. a, b, c et d Ce nom figure dans une liste de quatre Diners chantants donnée dans La Chanson illustrée, 1869, 1re année, numéro 16.
  255. Créée avant le 13 juillet 1811, date du décès de l'académicien Pierre Laujon qui en était membre.
  256. Déclaration de fondation des Enfants du Caveau, le 4 avril 1834. Elle reprend par la suite le nom de la Société du Caveau.
  257. Il est dit que cette goguette se réunissait chaussée de Clignancourt, dans la page intitulée RÉUNIONS CHANTANTES, DITES GOGUETTES, CONSTITUÉES AU CABARET PAR CERTAINS OUVRIERS PARISIENS., dans : Les ouvriers européens : étude sur les travaux, la vie domestique et la condition morale des populations ouvrières de l'Europe ; précédées d'un exposé de la méthode d'observation. Tome 6, par F. Le Play, A. Mame et fils éditeur, Tours 1877-1879.
  258. Il s'agit d'une goguette enfantine qui n'est certainement pas la seule du genre. L'annonce d'une réunion de cette goguette est dans L'Humanité du 14 janvier 1922, rubrique Fêtes et conférences, page 2.
  259. a et b Jules Vallès L'Enfant, page 360.
  260. Nom faisant référence à la chanson à succès d'Amédée de Beauplan Le Père Trinquefort.
  261. Cette goguette est mentionnée dans la page intitulée RÉUNIONS CHANTANTES, DITES GOGUETTES, CONSTITUÉES AU CABARET PAR CERTAINS OUVRIERS PARISIENS., dans : Les ouvriers européens : étude sur les travaux, la vie domestique et la condition morale des populations ouvrières de l'Europe ; précédées d'un exposé de la méthode d'observation. Tome 6, par F. Le Play, A. Mame et fils éditeur, Tours 1877-1879.
  262. Il existe une chanson de Ad. Porte : Les Enfants de Silène, publiée en 1834, qui parle de cette goguette.
  263. Cette goguette, comme d'autres, a une très longue existence. En 1878, la revue La Chanson fait la publicité de ses réunions en indiquant qu'elle a été fondée en 1819.
  264. a et b G. Davenay. AU JOUR LE JOUR, Les destinées du mirliton, Le Figaro, 16 août 1895, page 1, 2e et 3e colonnes.
  265. Vie de René-Léon Pétel racontée par son fils Claude d'après les relations orales faites par René-Léon ainsi que par les souvenirs de ses enfants..., page 13.
  266. Pensons à la misère de nos « vieux »..., l'Humanité, 13 mars 1939, page 8, 1re colonne.
  267. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, février 1920, page 154. Objet : société bigophonique. Siège social : 2, rue des Épinettes. Date de la déclaration : 8 décembre 1919.
  268. Un concours de pêche à Saint-Denis, Le Petit Parisien, 28 juin 1920, page 3, 1re colonne.
  269. Histoire et actualité de Milly-la-Forêt, La « Commune Libre de Milly » à la Mi-Carême 1925.
  270. Une carte-postale figurant la Commune libre de Porchefontaine et fanfare bigophonique.
  271. Extrait de la rubrique Petites informations, Le Petit Parisien, 17 décembre 1910, page 4, 4e colonne : « Les Fin-de-Siècle des Batignolles (société bigotphonique). Banquet annuel, concert et bal de nuit, salons Coquet, 80, boulevard de Clichy. » Une fête identique de cette société est annoncée dans la rubrique Petites informations, Le Petit Parisien, 25 décembre 1909, page 4, 6e colonne.
  272. Fondée par Eugène Vieillefond, ouvrier et chansonnier parisien, ami d'Eugène Pottier. Source Biographie de Louis-Auguste Blanqui
  273. Société bigophonique mentionnée dans Le Réveil républicain, 14 juin 1896, page 2, 2e colonne.
  274. Cette goguette prend le nom des Frileux du 1er novembre au 1er mai et des Joyeux le reste de l'année.
  275. Les gais lurons est une goguette mentionnée notamment par le goguettier Jean-Baptiste Gougé qui indique en 1824 qu'il y a chanté une de ses chansons en 1818.
  276. Photo de presse de l'orchestre de bigophones les Gais Lurons jouant dans l'île Saint-Louis le 14 juillet 1938.
  277. Société bigophonique de Villaine, qui est aujourd'hui un quartier de Massy. Sur Internet figure la photo d'un bigophone fabriqué par les Gais lurons de Villaine.
  278. Goguette exclusivement féminine où les hommes étaient admis seulement en qualité de visiteurs.
  279. Journal officiel de l'État Français du 25 février 1941, rubrique SÉQUESTRES, pages 913-915 :
    Par jugement en date du 26 décembre 1940, M. Moulin a été dessaisi des fonctions d'administrateur séquestre de tous les biens détenus par le Parti communiste et par toutes les associations ou groupements agissant aux mêmes fins et situés tant dans le département de la Seine que sur tout le territoire français : (début de la liste d'associations ou groupements)
    Et M. Charles Gervais a été dessaisi des fonctions d'administrateur séquestre et de liquidateur judiciaire : (fin de la liste d'associations ou groupements)
    Les noms du Club d'humour et de gaîté et de la société bigophonique Les Gais Souffleurs, d'Épinay-sur-Seine, figurent dans la liste, page 914, 3e colonne.
  280. Une photo de la Gaieté Bigotphonique du XIe jouant devant le 46 rue Saint-Sébastien, Paris XIe, figure dans :
    Hélène Pouppeville, Mémoires des rues - Paris 11e Arrondissement - 1900-1940, éditions Parimagine, ISBN : 2-916195-09-2
  281. Journal officiel de la République française, 5 juin 1936, page 6016, 3e colonne.
  282. Sont consacrés aux Gnoufs-Gnoufs deux articles, l'un dans La Chanson illustrée du 2 mai 1869, l'autre dans La Chanson illustrée du 9 mai 1869.
  283. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, décembre 1923, page 1243. Objets : société lyrique, bigophonique, récréative. Siège social : 15, boulevard de la Marne, à Saint-Maur-des-Fossés. Date de la déclaration : 26 décembre 1923.
  284. Dalès ainé a écrit une chanson comique sur cette goguette : Les Insectes. Bourdonnement lyrique.
  285. Mentionnée comme les Joyeux Bigotphones d'Alfortville, cette société voit son nom complet inscrit sur une carte-postale référencée sur le site arguscarréplus.com, rubrique Alfortville 94140
  286. Les Joyeux Bigophones Fertois se transforme vers 1965 en une fanfare classique : la Fanfare Réveil Fertois, qui conserve ce nom jusqu'en 1986, puis devient Fanfare municipale. Elle disparaît en 1994. Source : site lafertegaucher.com, chapitre « Les bigophones ».
  287. Fondée en juillet 1876 à Asnières-sur-Seine, reformé en février 1878 au café des Négociants, 99 boulevard Sébastopol à Paris.
  288. « Et méconnaître la réputation de « l' Harmonic-Express » des Chemins de fer de l'Est ou des « Joyeux Kremlinois », célèbre société bigophonique fixée à Kremlin-Bicêtre, eût passé à l'époque, aux yeux de certains, pour une ignorance »... Jean-François Barrielle, Quand dimanche était jour de fête, Balland éditeur, Paris 1982.
  289. La société des Bigophones de Saint-Denis est mentionnée dans l'article Au Casino de Saint-Denis, 1.500 travailleurs acclament Duclos et Marcel Cachin, L'Humanité, 5 mai 1935, page 2, 1re colonne. Le nom de cette société bigophonique est précisé dans L'Humanité, 3 juin 1935, page 1, 7e colonne.
  290. Suite de la Souscription nationale pour l'aviation militaire, Le Matin, 22 mars 1912, page 6, 2e colonne.
  291. Annonce à propos des Joyeux Prolos, parue dans la rubrique Fêtes, meetings et conférences du journal L'Humanité, 18 septembre 1926, page 2, 7e colonne.
  292. a et b Le 14 juillet, Le Petit Parisien, 14 juillet 1898, page 1, 4e colonne.
  293. Son nom est cité dans un article sur les ouvrières dans la rubrique Curiosités de la Science et de l'Histoire du Petit Journal du 25 janvier 1866, page 3.
  294. Le Matafan rassemble des Savoyards de Paris.
  295. Des précisions sont données sur cette goguette dans : Arthur Dinaux Les sociétés badines, bachiques, littéraires et chantantes : leur histoire et leurs travaux, Bachelin-Deflorenne éditeur Paris 1867, page 28.
  296. Fondée en 1848 par Eugène Baillet ancien auditeur à la goguette des Animaux et ami de Charles Gille fondateur de la goguette des Animaux.
  297. Une réunion de cette goguette est annoncée dans l'Humanité du 7 septembre 1922.
  298. Robert Brécy, Autour de la Muse Rouge 1901-1939, Éditions Christian Pirot, Saint-Cyr-sur-Loire 1991.
  299. L'annonce de sa réunion du 2 décembre 1922 se trouve dans L'Humanité du 1er décembre 1922, rubrique Fêtes et Conférences, page 4.
  300. On lit dans l'article Le Concours international de pêche à la ligne de Guingamp, L'Ouest-Éclair, 24 juillet 1935, page 5, 5e colonne :
    Dimanche prochain, à 8 heures, un grand défilé composé des Trompettes Rennaises, de la musique bigophonique de Noisy-le-Sec et de la musique du 48e R. I. de Guingamp partira de la gare et traversera aux sons d'airs entrainants les principales artères de la ville.
    Tous à Guingamp samedi 27 et dimanche 28 juillet !
  301. On lit dans la description du cortège de la Mi-Carême 1893 à Paris : « L'armée du chahut avec son orchestre de bigophones et ses vendeuses en chapeau miss Helyett du journal En Arrière, forment un ensemble des plus réjouissants. » La mi-carême, Les boulevards, Le Temps, 10 mars 1893, page 4, 5e colonne.
  302. Autour de Paris, Le Petit Parisien, page 4, 3e colonne.
  303. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, octobre 1923, page 975. Titre : les Pas-bileux de Saint-Ouen. Objet : société bigophonique. Siège social : 89, rue Émile-Zola, à Saint-Ouen. Date de la déclaration : 27 septembre 1923.
  304. Ce nom fait référence à la mythologique source du cheval ou Hippocrène et à la poésie :

    PÉGASE n. m.

    Cheval fabuleux auquel les anciens poètes ont donné des ailes et qui, selon eux, fit jaillir d'un coup de pied les eaux de l'Hippocrène. On ne met ici ce nom que parce qu'il s'emploie figurément dans plusieurs expressions poétiques ou relatives à la poésie. Monter sur Pégase, enfourcher Pégase, S'adonner à la poésie. Pégase est rétif pour lui, son Pégase est rétif, C'est un mauvais poète.

    (Extrait de l'article Pégase de la 8e édition du Dictionnaire de l'Académie française).

  305. Voir l'annonce de la création de ce « Cercle Musical et Dramatique » dans La Chanson du 29 août 1880.
  306. Extrait de la rubrique Faits divers, Le Petit Parisien, 7 septembre 1927, page 4, 2e colonne.
  307. Rubrique Fêtes, meetings, conférences, l'Humanité, 5 octobre 1935, page 2, 7e colonne.
  308. Goguette mentionnée par Eugène Baillet, Chansons et petits poèmes, Préface ou extrait de l'Histoire de la Goguette, Nouvelle édition entièrement revue par l'auteur, L. Labbé éditeur, Paris 1885, pages I à XXVIII.
  309. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, page 157. Objet : société musicale bigophonique. Siège social : 13, rue Ramey. Date de la déclaration : 30 décembre 1919.
  310. Rubrique : Pour les Victimes de Courrières, Le Petit Parisien, 29 mars 1906, page 6, 1re colonne.
  311. Fondée par le chansonnier montmartrois Jules Jouy le 4 juillet 1878, voir La Chanson, Revue mensuelle, Archives de la chanson, Écho des sociétés lyriques, août 1878, numéro 4, page 52.
  312. La Samaritaine a laissé par la suite la place au Café-Concert de la Samaritaine. Voir à ce propos l'article Paris-Concert paru page 78 de La Chanson, Revue mensuelle, Archives de la chanson, Écho des sociétés lyriques, 1re année, numéro 5, septembre 1878.
  313. Fin de l'article Montmartre s'amuse, Le Petit Parisien, 15 novembre 1926, page 2, 1re colonne.
  314. Les congrès, Fédération Bigotphonique, Le Petit Parisien, 3 février 1930, page 3, 7e colonne.
  315. Patrimoine en Val de France, n°8, septembre 2010, supplément à Vivre en Val-d'Oise n°122, page 9.
  316. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, juin 1909, page 451. Siège social : 3 rue Ramey Paris. Date de la déclaration : 27 mai 1909.
  317. Promenade à tous les bals publics de Paris, barrières et guinguettes de cette capitale, ou revue historique et descriptive de ces lieux par M. R***, habitué de toutes les sociétés dansantes de Paris et des barrières - Paris, Terry jeune, Libraire 1830, chapitre XLIV Barrière de la Chopinettepages 216-217.
  318. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k et l Nom mentionné dans l'article de Robert Balland Les goguettes rurales autour de Paris au milieu du XIXe siècle, dans Ethnologie française, no  3, tome 12, juillet-septembre 1982, pages 247-260.
  319. Marc-Antoine Madeleine Désaugiers en fit partie et écrivit une « Chanson à l'occasion de ma réception à la Société dite des Bêtes. »
  320. « EGLANTINE ARTISTIQUE MONTREUILLOISE. A 20 h. 30. Conseil d'administration. Tous les camarades voulant adhérer à la Société de bigophones sont priés d'être présents. » L'Humanité, 23 avril 1926, page 6, 4e colonne.
  321. Une fête de la vieillesse a eu lieu, hier, à Montesson, Le Petit Parisien, 28 septembre 1928,page 3, 5e colonne.
  322. Photo de la Société de Bigophones les Troubadours du Nouveau Domont.
  323. Concours de gymnastique, Le Petit Parisien, 9 juillet 1900, page 3, 4e colonne.
  324. On trouve le nom de la Société bigotphonique « les Joyeux Pantinois » dans la liste de souscripteurs à la souscription nationale pour l'aviation militaire, dans Le Matin, 22 mars 1912, page 6, 2e colonne. Elle a souscrit pour 5 francs.
  325. Fédération de Seine-et-Oise, Grande fête champêtre de Ris-Orangis, l'Humanité, 8 juillet 1922, page 2, 6e colonne.
  326. Henri Monnier dans les Mémoires de Monsieur Joseph Prudhomme. Tome 1, refuse de donner le nom complet de la société. Il se borne à écrire : Société du Chat qui... Conjecturalement le nom est ici complété, en référence à la guinguette du Petit bonhomme qui chie à la Courtille.
  327. Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, avril 1909, page 275. Objets : société lyrique, bigophonique, récréative. Siège social : 10 rue du Midi à Vincennes (Seine). Date de la déclaration : 1er octobre 1908.
  328. Elle est mentionnée sous ce nom en 1866 dans l'unique numéro de la revue La Chanson. En 1889, Henri Avenel la mentionne comme « la goguette de Lepilleur » et précise qu'elle se trouve derrière le théâtre de Belleville (voir : Henri Avenel Chanson et Chansonniers, C. Marpon et E. Flammarion éditeurs, Paris 1890, page 326).
  329. À Vincennes et Saint-Mandé.
  330. La Société des Mirlitons ou des Bigophones est mentionnée par Alain Faure, Les Premiers banlieusards, aux origines des banlieues de Paris, 1860-1940, page 151.
  331. Son nom complet est donné dans La Chanson du 1er mars 1879. Cette société est composée de Bretons et Normands résidant à Paris, un concours qu'elle organise est annoncé dans La Chanson du 16 août 1879, 2e année, numéro 26, page 64. La remise solennelle des prix a lieu à Nantes.
  332. La Société des Quatre-Saisons organisait des banquets trimestriels.
  333. La Bibliothèque nationale de France conserve un Cahier lyrique de la Société des soirées de Momus par plusieurs membres de la société pour Mars 1818, Imprimerie de Delaguette, Paris, In-8°, 13 pages.
  334. On peut lire sur Internet un Cahier lyrique de la Société des Soupers de Momus, pour le mois de mars 1818.
  335. Voir l'ouvrage Correspondance de madame Gourdan, dite la Comtesse, avec un recueil de chansons à l'usage des soupeurs de chez madame Gourdan., édité chez Jean Nourse, Londres 1784. Référencé dans la Bibliographie parisienne. Tableaux de mœurs (1600-1880), par Paul Lacombe, Parisien ; avec une préface par M. Jules Cousin, Pierre Rouquette éditeur, Paris 1887, page 40.
  336. En 1846 cette goguette éditait ses chansons : Les Templiers, Recueil de chansons inédites publié par la société lyrique des Templiers, paraissant par livraisons tous les quinze jours, chez Eyssautier, Éditeur de Musiques, Paris 1846.
  337. Société bigophonique mentionnée dans le Bulletin officiel de l'union bigophonique de France, n°4, juillet 1900.
  338. Le compte-rendu d'une soirée offerte le 8 mai 1879 par la vieille Goguette au doyen de ses présidents « le bon vieux Delort » est paru dans le journal La Chanson, 2e année, numéro 20, 16 mai 1879, page 15.
  339. Voir l'article sur sa soirée d'inauguration dans La Chanson, numéro 32, 19 décembre 1880, page 255, 1re colonne.
  340. Rubrique Lannion, L'Ouest-Éclair, 2 août 1939, page 8, 5e colonne.
  341. Une carte-postale vers 1930 montrant les Bigotphoneux de Montierneuf, quartier de Poitiers.
  342. Gérard Simmat, La Vienne, 1900-1930, page 164 : … « trois sociétés de bigophones (Les Joyeux Pierrots de la Cueille, les Bigotphoneux de Montierneuf et les Bigotphoneux du Pont-Neuf). »
  343. Déclaration au Journal officiel de la République française, 1953, page 10012 : « 28 octobre 1953. Déclaration à la Préfecture de la Vienne. Les Pierrots bigophoneux de la Cueille. But : venir en aide aux œuvres scolaires et aux vieux du quartier. Siège social: 3, faubourg de la Cueille, Poitiers. »
  344. Une carte-postale figurant la Société de Bigophones, Pontivy, rue de Neulliac est passée en vente à Drouot, le 22 juin 2000, lot n°268, page 2 du catalogue.
  345. Cet ensemble bigophonique était actif en 2000. Voir la page Internet Comment j'ai découvert et abordé le galoubet.....
  346. Site Internet de la Commune libre de Valescure
  347. L'Ouest-Éclair, 26 août 1934, page 4.
  348. L'Ouest-Éclair, 27 août 1928, page 4, 4e colonne.
  349. Cette goguette existe durant au moins 34 ans et est célèbre à Rennes. Rubrique Syndicats et sociétés, L'Ouest-Éclair, édition de Rennes, 21 décembre 1913, page 3, 5e colonne :
    CHEZ LES COUPE-EAU. - A l'occasion de Noël la Société des Coupe-eau organise le 24 décembre, à 9 heures du soir, son 12e bal-réveillon, avec banquet à minuit, chez M. Gadby, aux Trois-Marches, faubourg d'Antrain.
    • L'article sur La Fête des fleurs, parue dans L'Ouest-Éclair, édition de Rennes, 16 mai 1921, page 3, nous apprend à la 4e colonne que le siège des Coupe-Eau se trouve rue Pont-aux-Foulons.
    La vieille société bigophonique « Les Coupe-Eau », qui existe depuis 1900, prêtera son concours à la fête. On est donc assuré d'avoir de la gaité, car on sait que « Les Coupe-Eau » en ont à revendre.
  350. Syndicats et sociétés, L'Ouest-Eclair, 27 janvier 1925, page 4, 3e colonne.
  351. LA MI-CARÊME DES ÉTUDIANTS, LE PITTORESQUE CORTÈGE S'EST DÉROULÉ DANS LES RUES DE RENNES AU MILIEU DUNE FOULE IMMENSE, L'Ouest-Éclair, 27 mars 1933, page 5, 3e colonne. Ce journal nomme cet ensemble bigophonique la Gaieté Bigophonique Rennaise excepté dans cet article.
  352. Carte-postale figurant les Bigotphones Rochefortais.
  353. « Aux défilés folkloriques de 1930 (Bigophonistes les Bons Enfants, Normands et Normandes 1830) se substituent bientôt des concerts plus classiques au Théâtre français de la place du Vieux-Marché voire en dehors du quartier »... Loïc Vadelorge, Rouen sous la IIIe République, politiques et pratiques culturelles, Presses universitaires de Rennes, 2005, page 159.
  354. Une carte postale figurant les Bitons de Chant'grole.
  355. Roz-Landrieux, Fête annuelle du 15 août, L'Ouest-Éclair, 4 août 1938, page 9, 2e colonne. Une faute typographique attribue ici à cette société bigophonique de Roz-Landrieux dont les habitants sont les Rozéens et Rozéennes le nom de Gaîté Bigophonique Dozéenne.
  356. Rubrique Sées, L'Ouest-Éclair, 28 octobre 1933, page 8, 2e colonne.
  357. L'Ouest-Éclair, 20 janvier 1932, page 1. Photo des Joyeux Bigotphones Saintongeais
  358. Rubrique Saintes, L'Ouest-Éclair, 1( septembre 1928, page 5, 3e colonne.
  359. Jean-Marie Mabillon, Les joyeux bigophones de Saint-Menges, Terres ardennaises, Histoire et géographie locales, n°60, octobre 1997, page 41, une ill. en noir.
  360. Une carte-postale ancienne montre les Bigophoneux Sauséens. Sauzé-Vaussais se trouve dans le département des Deux-Sèvres.
  361. Carte-postale montrant la Société des Bigophones des cheminots de Soissons.
  362. Extrait de l'article « Est-ce bien la Saint Eloi que le personnel des ATELIERS MELIN fêtait ce premier dimanche de décembre ? », L'Argus du Soissonnais, 17 décembre 1938 : « Monsieur Jaufret et ses 12 bigophonistes se taillent un joli succès et la gaieté devient générale quand Monsieur Édouard, qui avait laissé ignorer jusqu’alors ses qualités de boute-en-train, prend la direction de l'orchestre. »
  363. Voir à ce propos Jacques Vacher (1842 -1897), cet inconnu ; Chloé Dufour Le Caveau Stéphanois de 1883 à 1914 - Mémoire de master 1 d'histoire à l'université de Lyon II, année 2006, conservé à la Bibliothèque des Archives municipales de Saint-Étienne - Série S : fonds privés, 2 S 323.
  364. Voir une page sur Jules Troccon.
  365. Né en 1856.
  366. Mentionné dans une liste de sociétés artistiques et littéraires, avec la Lice chansonnière, le Caveau, dans L'Écho des jeunes, numéro 153, 11 janvier 1896.
  367. Fondée en janvier 1860, voir : Arthur Dinaux Les sociétés badines, bachiques, littéraires et chantantes : leur histoire et leurs travaux, Bachelin-Deflorenne éditeur Paris 1867, page 133.
  368. Dans les souvenirs de Davroux sur le Carnaval de Tergnier en 1928, on lit : « J'avais participé à la création d'un groupe de bigophones en carton dur fonctionnant parfaitement. Nous étions une trentaine à animer ces distractions. » Source : Tranches de ville, Morceaux choisis de la vie ternoise, À l'origine de la fête des Maqueux d'saurets
  369. La fête des Communaux, L'Ouest-Éclair, 17 septembre 1936, page 5, 1re colonne.
  370. Société bigophonique fondée en 1974 par Yvette et Michel Sismondini. Elle compte plus de 60 membres et anime la plupart des corsos et carnavals de la région. En 1987, la société abandonne les bigophones pour faire du théâtre. En 1989, elle change de nom pour devenir Les Baladins de Solliès-Toucas, modification déposée le 6 avril 1989 en préfecture. Source : Les Baladins de Solliès-Toucas : 20 ans sur les planches
  371. Source : Caroline Barrera Les sociétés savantes de Toulouse au XIXe siècle (1797-1865)
  372. Fondée en 1881.
  373. Existe brièvement vers 1806-1807.
  374. Fondée en 1889.
  375. Fondée en 1886.
  376. Une carte postale figurant la Société Bigophonique des Bords de Creuse « La Pépie ».
  377. Carte-postale montrant le défilé du Mirliton Troyen au Carnaval de Troyes 1911.
  378. Dans le bulletin d'histoire locale de Vallon-en-Sully, sur son répertoire est référencé un article sur les Bigophones de Vallon-en-Sully : Bulletin d'histoire locale de Vallon-en-Sully, N°15, pages 25-26.
  379. Le 15 août à Fillé, rubrique Le Mans, L'Ouest-Éclair, 17 août 1927, page 5, 3e colonne.
  380. Dominique Fradet, 8 avril 1911 : en route pour Troyes, A Vendeuvre, extrait du livre 1911 en Champagne, chronique d'une révolution, Éditions Fradet, Reims 2011.
  381. Déclaration au Journal officiel de la République française, 1933, page 544 : « 14 janvier 1933. Les Gueurnaziaux. But : amicale bigophonique vendômoise. Siège social : 19 rue du Bourg-Neuf, Vendôme (Loir-et-Cher). » Cette amicale avait sa chanson : programmes et chansons des fêtes de Vendôme et Savigny-sur-Braye années 1926-1927 et 1931-1934, incluant les paroles des chansons « En écoutant les Gueurnaziaux » (amicale bigophonique de Vendôme) et « Légende d'un pêcheur » (Société des Bigophones de la Perche Vendômoise).
  382. Sur cette page Internet, photo de la Société des Bigophones de la « Perche Vendômoise ».
  383. Georges Rémy, Verneuil contact, janvier 2005, n°15, page 4, 3e colonne.
  384. Biographie de Georges Rousseau dit « Cabochon », fondateur des Bigophones de la société de pêche le « Gardon rouge ».
  385. La fête des fleurs, L'Ouest-Éclair, 28 juin 1932, page 6, 2e colonne.
  386. Fête aérostatique, rubrique La Roche-sur-Yon, L'Ouest-Éclair, 15 mai 1926, page 4, 5e colonne.
  387. La Fanfare de Bigophones de la Commune Libre de Béner, fondée en 1936, était dirigée par R. Fouret. Jacqueline Ménager, chapitre 1936 : création de la Société de la Commune Libre de Béner, page 3 de : Au commencement était... Benais, historique du quartier de Béner à Yvré-l'Évêque, ville voisine du Mans.
  388. Puteaux (programme de la fête communale de Puteaux), La Presse, 27 avril 1920, page 4, 4e colonne.
  389. La Société des Bigophones de Tharin est mentionnée dans L'Ouest-Éclair, 10 août 1927, page 7, 2e colonne.

Sources

  • Promenade à tous les bals publics de Paris, barrières et guinguettes de cette capitale, ou revue historique et descriptive de ces lieux par M. R***, habitué de toutes les sociétés dansantes de Paris et des barrières - Paris, Terry jeune, Libraire 1830.
  • L'Écho lyrique, feuille d'annonces, journal littéraire, artistique, théâtral et chantant, paraissant le dimanche., 1843.
  • La grande ville : nouveau tableau de Paris, comique, critique et philosophique, par MM. Paul de Kock, Balzac, Dumas etc... ; illustrations de Gavarni, Victor Adam, Daumier... etc., Marescq éditeur, Paris 1844.
  • Marc Fournier, etc. Paris chantant, Romances, chansons et chansonnettes contemporaines, Lavigne éditeur, Paris 1845, pages 12 et 22.
  • Gérard de Nerval Les soirées d'octobre, Paris 1852.
  • Émile de Labédollière Le Nouveau Paris, Gustave Barba Libraire-Éditeur Paris 1860, pages 222-223.
  • Le Caveau, Société lyrique et littéraire, Table générale des chansons et poésies diverses publiées en 26 volumes par la Société du Caveau de 1834 à 1860.
  • Alfred Delvau Les Cythères parisiennes : histoire anecdotique des bals de Paris. Avec 24 eaux-fortes et un frontispice de Félicien Rops et Émile Théron, E. Dentu Éditeur, Paris 1864.
  • La Chanson illustrée, paraissant tous les dimanches, directeur : François Polo ; rédacteur en chef : Alexandre Flan, Paris 1869–1870.
  • Eugène Imbert La Goguette et les goguettiers, Étude parisienne, in-8, 121 pages, Paris 1873.
  • La Chanson, Revue mensuelle, Archives de la chanson, Écho des sociétés lyriques, années 1878-1880.
  • Charles Vincent Chansons, mois et toasts, E. Dentu Éditeur, Paris 1882.
  • Eugène Baillet, Chansons et petits poèmes, Préface ou extrait de l'Histoire de la Goguette,  Nouvelle édition entièrement revue par l'auteur, L. Labbé éditeur, Paris 1885, pages I à XXVIII.
  • Henri Avenel Chansons et chansonniers, C. Marpon et E. Flammarion Éditeurs, Paris 1890, page 197-198.
  • Nouvel Écho, Revue littéraire & dramatique illustré bi-mensuelle. numéros 4, 5, 7, 1892.
  • Jean Frollo, Paris qui chante, article paru dans Le Petit Parisien, 18 janvier 1898.
  • Jean-François Gonon, Histoire de la chanson stéphanoise et forézienne depuis son origine jusqu'à notre époque., Éditée par l'imprimerie coopérative « L'Union Typographique », Saint-Étienne, 1906.
  • Georges Droux La chanson lyonnaise, histoire de la chanson à Lyon, les sociétés chansonnières, Revue d'histoire de Lyon, A. Rey et Cie éditeurs, Lyon 1907, 113 pages.
  • Jacques Rougerie Le mouvement associatif populaire comme facteur d'acculturation politique à Paris de la révolution aux années 1840 : continuité, discontinuités.
  • Robert Brécy Florilège de la Chanson Révolutionnaire, De 1789 au Front Populaire, Éditions Ouvrières, Paris 1990.
  • Documentation fournie par l'Office de Tourisme de Dunkerque en janvier 1997.
  • Corpsyphoniog [12].

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