Tempêtes boursières de juillet, août et septembre 2011

Tempêtes boursières de juillet, août et septembre 2011

Les bourses vont connaître un certain nombres de tempêtes boursières en juillet, août et septembre 2011, qui vont aboutir à l'une des plus sévères baisse de l'Histoire des bourses de valeurs. Ces profonds mouvements baissiers ont été causé par la crainte de voir la reprise économique mondiale s'essouffler après seulement un an de croissance, ce qui déclencherait une aggravation des déficits publics alors que la crise économique de 2008, la plus profonde depuis 70 ans, les avait déjà creusés subitement.

Le krach s'est traduit par une baisse très forte de la plupart des grands marchés boursiers occidentaux, mais répartie sur plusieurs semaines, avec des variations quotidiennes dépassant 6 %. À Paris, une chute de 25 % du CAC 40 s'est produite entre le début juillet et la mi-août. La baisse des actions a été jugée d'autant plus forte que les marchés obligataires ont au contraire connu des progressions record sur la même période.

Sommaire

Le contexte économique

La plupart des grands pays industriels ont connu une année de croissance en 2009, mais modeste, qui est loin d'effacer l'ampleur de la récession subie en 2008. C'est particulièrement le cas aux États-Unis, dont le produit intérieur brut (PIB) a reculé de 2,4 % en 2009, la plus forte baisse recensée depuis 1946[1], malgré un rebond de 5,7 % sur le quatrième trimestre.

L'inquiétude concerne aussi l'Espagne, mal remise du dégonflement d'une bulle immobilière record, qui a vu son PIB reculer de 0,1 % en 2010 après 3,7 % en 2009, alors que n'étaient pas encore entrées en vigueur les mesures d'austérité budgétaires décidées en 2010, parmi lesquelles la baisse de 5 % du traitement des fonctionnaires et des coupes dans les remboursements de médicaments.

Le contexte financier

Les banques ont subi de très lourdes pertes financières en raison de la crise des subprime, qui les ont obligés à se recapitaliser. Un conflit est cependant apparu entre les banques et les régulateurs internationaux en raison de la réticence de plusieurs d'entre-elles à accepter des normes internationales de capitalisation plus sévères, appelées Bâle III car décidées lors des accords de Bâle III, rendus publics le 16 décembre 2010.

La faiblesse des grandes banques opérant sur les marchés financiers, qui doivent pour cela détenir des stocks d'emprunts publics, a été aggravée par la crise grecque, qui voit la valeur des obligations grecques s'effondrer. Elle deviennent plus exposées aux rumeurs sur leur santé financière, en particulier en France, où elles n'ont pas été recapitalisées, le gouvernement ayant préféré leur prêter de l'argent, qu'elles ont rapidement remboursé. Le krach boursier de juillet et août 2011 voit ainsi le CAC 40 perdre un quart de sa valeur entre le 30 juin et le 19 août, et passer plusieurs fois en séance sous le seuil de 3000 points.

Les premières tempêtes

Plusieurs facteurs se sont conjugués pour déclencher une forte baisse fin juillet 2011 : la mise sous surveillance de la dette de l'Espagne par une agence de notation, l'accord européen d'aide à la Grèce du 21 juillet 2011, qui voulait limiter l'impact du défaut de paiement découlant de la crise grecque, puis la réaction d'une agence de notation à l'accord politique aux États-Unis sur le relèvement du plafond d'endettement du pays, et enfin une série de mauvais indicateurs économiques ayant amené la banque Morgan Stanley à prévoir que la croissance économique ne dépasserait pas 0,5 % dans l'Union européenne en 2012, alors qu'elle tablait jusque-là sur +1,2 %.

Acte I, l'accord européen d'aide à la Grèce du 20 juillet

Lors du sommet européen du 12 mars, la Grèce avait accepté d'accélérer son programme de privatisations dans l'espoir que la durée des emprunts des pays européens passe de 4,5 ans à 7,5 ans, et que les taux d'intérêt reviennent à 4,2 % contre 5,2 %. Mais dès le 6 mai, un autre sommet « secret », limité à six ministres des Finances[2] au château de Sennigen au Luxembourg, révélé par le magazine allemand Der Spiegel et le Wall Street Journal, évoque un nouveau plan de sauvetage, avec l'éventualité d'un départ de la Grèce de l'euro, sans pouvoir empêcher Standard and Poor's d'abaisser la note grecque à "CCC", pour « défaut de paiement », un mois après, le 13 juin. Le 15 juin, Moody's place sous surveillance négative BNP Paribas (Aa2), Société générale (Aa2) et Crédit agricole (Aa1) du fait de leur exposition à la dette grecque[3].

Réunis le 20 juillet à Bruxelles, les dirigeants de la zone euro sont parvenus à un accord sur un nouveau plan d'aide pour la Grèce, de 158 milliards d'euros, dont 109 milliards par l'Europe et le FMI, combinant allégement de la dette et nouveaux outils pour le Fonds européen de stabilité financière (FESF), désormais autorisé à racheter de la dette publique sur le marché secondaire[4]. Ce plan se traduit par « un défaut de paiement partiel du pays », selon la BCE : « mis à contribution » les créanciers doivent assumer une partie des pertes sur les obligations de la crise grecque, même si ce n'est fixé que globalement, sous forme d'estimation.

L'accord a été précédé par des discussions opposant l'Allemagne et la France. Pour ne pas créer de précédent, la chancelière Angela Merkel voulait une aide qui n'interviendrait qu'« en dernier ressort », avec intervention exclusive du FMI, excluant la mise en place de prêts bilatéraux. Sur ce point, elle a du reculer mais a imposé à la France une concession : la perte partielle imposée aux financiers détenant des obligations grecques. Dans le doute, l'agence de notation financière Moody's invoque ce détail 8 jours après pour placer sous surveillance négative l'Espagne, dont le déficit budgétaire est d'autant plus dur à résorber que la croissance n'est pas revenue en 2010, et reste proche de la stagnation en 2011, après une terrible année 2009.

Acte II, l'Espagne qui n'a plus de AAA, mise sous surveillance le 29 juillet

L'agence de notation Moody's avait déjà retiré à la fin septembre 2010 sa note maximale "AAA" à l'Espagne, puis prévenu deux mois après qu'elle envisageait de l'abaisser à nouveau la note, en raison de ses « besoins élevés de refinancement en 2011 » du pays, « susceptible de connaître de nouvelles périodes de tension pour se financer sur le marché ». Ce scénario est mis à exécution le 10 mars 2011: Moody's abaisse d'un cran la note de l'Espagne, à "Aa2" contre "Aa1" auparavant.

Trois mois après, le 29 juillet 2011, Moody's affirme qu'elle envisage d'abaisser la note de la dette souveraine de l'Espagne[5], car elle a de la difficulté à appliquer une rigueur budgétaire du fait d'un « environnement de faible croissance » : seulement +0,3 % au premier trimestre 2011, contre +1,5 % pour l'Allemagne et +1 % pour la France[6]. Le pays vise un déficit budgétaire 2011 à 6 % du PIB, après l'avoir ramené à 9,2 % en 2010 contre 11,1 % en 2009. Mais le PIB espagnol, après avoir connu en 2009 une des plus fortes baisses au monde (-3,7 %), n'a pas en rebondi en 2010, se repliant même de 0,1 %[6].

La seconde raison avancée par Moody's est l'accord européen d'aide à la Grèce, annoncé le 20 juillet, qui a « créé un précédent » en impliquant le secteur privé et ainsi marqué un accroissement du risque pour les investisseurs détenteurs d'obligations publiques.

Acte III, l'accord sur le relèvement du plafond de la dette américaine, le 1er août

Le 1er août, dernier jour pour trouver un accord sur le relèvement du plafond de la dette des États-Unis, un plan de la dernière chance est proposé, pour permettre le versement des salaires des fonctionnaires en juillet. Trois jours plus tôt, les sénateur démocrates américains et leurs alliés avaient de nouveau rejeté le projet de loi de finances, voté par les représentants républicains, majoritaires d'une très courte tête[7]. Les conservateurs du Tea Party ont gagné, en conditionnant le relèvement du plafond de la dette américaine à une baisse importante des dépenses fédérales, sans hausses d'impôts, ce qui ouvre la voie de nouvelles baisse des dépenses l'année suivante[8]

Le fonds d'investissement américain BlackRock accueille prudemment l'accord, en prenant l'initiative d'un communiqué pour déclarer que "la composition précise et le calendrier de toutes les réductions de dépenses détermineront si cette proposition produit une réduction réelle et significative du déficit"[9]. Une semaine après, les craintes pour la croissance américaine s'avivent, après la perte par les États-Unis, le 8 août, de la notation AAA par l'agence de notation financière Standard and Poor's. L'agence de notation avait enclenché la première étape du processus le 18 avril en plaçant les États-Unis sous surveillance négative.

Auditionné par une commission de la Chambre des représentants américains le 27 juillet, Deven Sharma, président de l'agence de notation financière Standard and Poor's avait rappelé que les États-Unis ne devraient pas faire défaut sur leur dette malgré la persistance de l'impasse politique[10]. "Nos analystes ne pensent pas qu'un défaut aura lieu", a déclaré

Acte IV, les rumeurs sur les banques, à partir du 10 août

À partir du 10 août, la plupart des valeurs banques françaises sont la cible de rumeurs alarmistes sur les marchés boursiers. La plus touchée est la Société générale, à la suite d'un article du Mail on Sunday, un tabloïd londonien qui avait affirmé avoir parlé à « une source gouvernementale de haut rang », en Angleterre, et que la banque se trouvait « au bord du désastre après d'énormes pertes » en Grèce, tout comme l'italienne UniCredit[11]. Le Mail on Sunday avait rapidement présenté ses excuses et retiré l'article de son site Internet. Dans la foulée, d'autres rumeurs s'étaient ajoutées, affirmant qu'une des agences de notation financière allait retirer sa notation "AAA" à la France et que cette perspective pesait sur le cours des banques. Des démentis catégoriques ont écarté aussi ce scénario. Mais le 18 août, l'action Société générale perd encore 12,3 % et celle du Crédit agricole 7,29 %.

Pour stabiliser la situation et mettre fin à ces rumeurs l'ex-investisseur Georges Soros estime que les banques doivent se donner plus de capitaux propres, car les établissements « sont trop fragiles (…) sous-capitalisés et détiennent beaucoup de titres de dettes européennes, jusqu'ici considérés comme des produits sans risque. En particulier concernant les titres espagnols et italiens. Il faut lever ce risque avec des euro-obligations et recapitaliser les banques », explique-t-il dans un entretien au quotidien Le Monde[12]. Mais pour se recapitaliser, les banques doivent créer de nouvelles actions, ce qui risque de faire baisser leurs bénéfice par action, l'indicateur de performance des marchés boursiers.

Acte V, le ralentissement économique confirmé

Les chiffres qui témoignent d'un ralentissement économique significatif sont à partir de la mi-août des estimations du PIB pour le deuxième trimestre en Allemagne (+0,2 % contre +1 % au premier trimestre) et en France (stagnation contre +1 % au premier trimestre), puis pour l'ensemble de la zone euro (+0,2 %). Ils confirment les chiffres mensuels très médiocres de la production industrielle de juin, déjà connus depuis juillet, et ajoutent une mauvaise nouvelle: la morosité s'est étendue au secteur des services. À cela s'ajoutent les premiers baromètres d'activité pour le mois d'août aux États-Unis, dans les régions de New York et surtout Philadelphie. Ils indiquent une forte chute, surtout à Philadelphie, à laquelle on pouvait s'attendre, car les inquiétudes des entrepreneurs sur la situation financière ont contribué à la chute des commandes, tandis que l'investissement est de toute façon pénalisé par des surcapacités de production.

Acte VI, nouvelles difficultés bancaires

Dès son arrivée à la direction du Fonds monétaire international, la nouvelle directrice Christine Lagarde a estimé que les banques européennes devaient se recapitaliser pour être plus rassurantes. Des observateurs mettent en avant l'exposition des banques à la baisse de la valeur des emprunts d'Etat en Grèce et en Italie. « Certaines en ont sans doute besoin », a reconnu Michel Pébereau, président de la BNP,[13] mais des réticences à effectuer de nouvelles recapitalisations se multiplient. L'action de la banque Dexia baisse pendant tout l'été puis tombe le 4 octobre à 0,97 euros, après un conseil d'administration d'urgence sur fond de spéculations de démantèlement du groupe[14], alors qu'elle valait encore 24,5 euros au début mai 2007.

Hausse et baisse des emprunts publics sur les marchés obligataires

La crise va provoquer une baisse des taux d'intérêt et donc une hausse des obligations des pays dans lequel les marchés ont confiance et une hausse des taux d'intérêt et une baisse des cours des obligations des autres pays. Malgré la baisse de la note de la dette de la note de la dette souveraine américaine par une des agences de notation, l 'une obligation publique américaine à dix ans passe pour la première fois sous le seuil de 2 %[15], un phénomène qui se produit le même jour également en Allemagne[16]. Par contre on assiste à un phénomène inverse sur la Grèce, l'Italie et d'autres pays. Les opérateurs du marché, quant-à-eux continuent à faire des gains ou des pertes en fonction de leurs prises de position.

Pays France Allemagne Italie Espagne Grèce États-Unis
7 avril[17] 3,75% 3,42% 4,83% 5,22% 12,72% 3,56%
30 juin 3,42 % 3,02 % 4,88 % 5,44 % 15,61 % 3,18 %
18 juillet 3,36 % 2,64 % 5,95 % 6,29 % 17,68 % 2,91 %
26 juillet 3,34 % 2,74 % 5,62 % 5,93 % 14,33 % 2,95 %
2 août[18] 3,16 % 2,41 % 6,15 % 6,26 % 14,454 2,64 %
9 août[19] 3,16 % 2,36 % 5,16 5,05 % 14,83 % 2,39 %
17 août[20] 2,82 % 2,20 % 4,92 % 4,91 % 17% 2,23 %
19 août 2,76 % 2,10 % 4,92 % 4,94 % 16,17 % 2,08 %
1er septembre[21] 2,91 % 2,21 % 5,12 % 5,03 % 18,51%[22] 2,22%[23]
5 septembre[24] 2,67 % 1,85 % 5,54 % 5,24 % 18,45 % 1,98 %
9 septembre 2,42 %[25] 1,69 % 5,46 % 5,33 % 21,40 % 1,92 %
22 septembre 2,47 % 1,61 % 5,61 % 5,24 % 25,97 % 1,72 %

En seulement cinq mois, du 7 avril au 9 septembre, le rendement des obligation américaine à dix ans a été divisé par deux, passant de 3,75% % à 1,89%. En Allemagne, il a aussi été divisé par deux, passant de 3,36% le 7 avril à 1,69% le 9 septembre[26]. Cette chute signifie que le cours des emprunts d'État a doublé aux États-Unis comme en Allemagne, en seulement cinq mois, une performance jamais égalée dans l'histoire des marchés obligataires.

Un investissement dans un lot de 100 millions de dollars d'obligations allemandes rapportait début avril des intérêts de 3,4 millions de dollars, soit 3,4%. Mais comme le lot valait ensuite 200 millions de dollars le 9 septembre, ces 3,4 millions de dollars d'intérêt ne représentaient plus alors que 1,7%.

Chronologie

  • 24 janvier 2008 : SP abaisse la note de Société générale de "AA" à "AA-"
  • 28 janvier 2009 : SP abaisse la note de BNP Paribas de "AA+" à "AA"
  • 7 mai 2009 : SP abaisse la note de Société générale de "AA-" à "A+"
  • 11 mai 2009 : Fitch abaisse la note de Société générale de "AA-" à "A+"
  • 20 janvier 2010 : Moody's abaisse la note de BNP Paribas de "Aa1" à "Aa2"
  • 22 janvier 2010 : Fitch abaisse la note de BNP Paribas de "AA" à "AA-"
  • 21 juin 2010 : Fitch abaisse la note de BNP Paribas de "AA" à "AA-"
  • 20 mai 2009 : SP abaisse la note du Crédit agricole de "AA-" à "A+", sur exposition en Grèce
  • 12 mars 2011 : sommet européen sur la Grèce
  • 6 mai 2011 : sommet européen « secret » sur la Grèce
  • 13 juin 2011 : la note grecque placée en « défaut de paiement » ("CCC")
  • 15 juin 2011 : Moody's envisage d'abaisser la note de BNP Paribas (Aa2), Société générale (Aa2) et Crédit agricole (Aa1)
  • 17 juin 2011 : Moody's envisage d'abaisser la note italienne, fixée à "Aa2".
  • 12 septembre 2011 : Moody's menace d'abaisser la note de BNP Paribas, Société générale et Crédit agricole[27].

Articles connexes

Références

  1. "En 2009, le PIB américain a enregistré sa plus forte chute depuis 1946" par France 24, le 29 janvier 2010
  2. « Pour Jean-Claude Juncker, le démenti de la réunion de Senningen était dans l’intérêt des citoyens et de leur monnaie commune », le 12 mai 2011
  3. « Trois banques françaises dans le collimateur de Moody's », dans La Tribune du 15 juin 2001
  4. Le Monde du 22 juillet 2011
  5. « Moody's menace de dégrader l'Espagne », par l'AFP, le 29/07/2011
  6. a et b « La croissance espagnole se contracte à nouveau », dans Challenges du 16 août 2011
  7. « Dette : le bras de fer continue entre élus américains », par Guillaume Errard, dans Le Figaro du 19 juillet 2011
  8. « Le Tea Party gagne le bras de fer sur la dette mais à quel prix ? », par Tangi Salaün, pour Reuters, dans L'Express du 02/08/2011
  9. « Félicitations nuancées après l'accord aux États-Unis », dans Le Figaro du 1er août 2011
  10. « Le bras de fer sur la dette des États-Unis pèse sur les marchés », par Andy Sullivan et Catherine Monin pour Reuters, le 27 juillet 2011
  11. « Société générale : la rumeur, l’autre rumeur... et "Le Monde" », par Clément Lacombe dans Le Monde du 12 août 2011
  12. "L'Europe est en danger", par Georges Soros, dans Le Monde du 17 août 2011
  13. "Quels scénarios pour les banques françaises ?", dans Ouest-France du mercredi 14 septembre 2011
  14. "Dexia s'effondre en Bourse, spéculations sur un démantèlement", par Reuters, le le 04/10/2011
  15. « Un nouveau jeudi noir sur les places financières mondiales », par Sébastien Dubas, dans Le Temps du 19 août 2011
  16. « Taux records pour le Bund et les bons US », dans Le Figaro du 18 août 2011
  17. Courbe des emprunts à 10 ans sur Gecodia
  18. "Obligations: les taux à 10 ans espagnols et italiens au plus haut historique", par l'Agence France-Presse, 2 août 2011
  19. "Obligations: les taux à 10 ans de l'Espagne et l'Italie renouent avec les 5%", par l'Agence France-Presse, le 9 août 2011
  20. "Le marché poursuit sa détente au lendemain du sommet Merkel-Sarkozy", par l'Agence France-Presse, le 17 août 2011
  21. "Les taux de l’OAT se tendent, attrait pour le risque" Par Lyon Pôle Immo, le 1er septembre 2011
  22. Courbe des emprunts à 10 ans sur Gecodia
  23. Courbe des emprunts à 10 ans sur Gecodia
  24. "Obligations : le Bund nettement sous les 2%, les taux italiens grimpent", par l'AFP, 5 septembre 2011
  25. "Nouveau plus bas historique pour le Bund 10 ans, les spreads s’écartent", sur Gecodia le 9/9/2011
  26. Courbe des emprunts à 10 ans sur Gecodia
  27. "Le CAC 40 chute de 4,03 %, les valeurs bancaires s'effondrent", dans Le Monde du 12 septembre 2011

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